Parenthèse
en guise de rectificatif...Notre consœur et amie Diane Baratier, que Jean-Jacques Bouhon nous a présentée dans la Lettre de septembre dernier, nous précise que « Nicolas Hayer n’est pas le précurseur d’un travail en lumière réfléchie, mais (qu’) il défendait l’éclairage logique. Pas d’ombres qui viennent de nulle part. »