La Ligne blanche
Paru le La Lettre AFC n°211a
Grand plaisir à tourner à nouveau avec Olivier Torres avec qui j’avais collaboré sur un long court métrage qui eut le prix Jean Vigo, Quand je serai jeune, et explorait déjà la figure du père manquant... Dans La Ligne blanche, le père déficient est incarné par un acteur qui
est trop rare au cinéma et a été une de mes raisons d’accepter ce film,
Pascal Bongard.
est trop rare au cinéma et a été une de mes raisons d’accepter ce film,
Pascal Bongard.
Nous étions assez pauvres pour être libres, une Panasonic 2700 (je garderai
une grande nostalgie pour le 2/3 de pouce), des optiques légères, quelques
Kino et quelques quartzs, blondes et mandarines, nous nous étions même
autorisés un Gaffair d’Airstar pour les nuits.
C’est sur ce film que j’ai rencontré mon assistant d’aujourd’hui Stéphen Mack.
- Sur le site d’AlloCiné, sous la rubrique " Secrets de tournage ", Olivier Torres explique comment Caroline Champetier l’a guidé dans son travail sur le film. (NDLR)
« Caroline m’a simplement été indispensable, pour me montrer, me guider… Caroline a cette expérience, elle a amené une force, une vigueur, une spontanéité qui participe à la générosité du film. Elle m’a guidé dans mes choix formels et esthétiques, c’est comme cela que s’est fabriquée la définition du film, au plus proche des gens dont je voulais raconter l’histoire... Je pense qu’il devrait être obligatoire pour tous de travailler au moins une fois avec elle dans sa vie...! »
Technique
Matériel caméra : TSF CaméraMatériel lumière : TSF Lumière
Postproduction numérique : Scanlab