Virginie Efira

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Articles (9)

Guillaume Schiffman, AFC, parle de son travail à l’image sur "Rien à perdre !", de Delphine Deloget
Par Brigitte Barbier, pour l’AFC

Conversations with cinematographers

En sélection à Un Certain Regard de ce 76e Festival de Cannes, Rien à perdre ! est le premier long métrage de la documentariste Delphine Deloget. Elle avait déjà traité de la relation filiale dans son documentaire L’Homme qui cherchait son fils, où un père à la recherche de son fils, probablement kidnappé, défie les autorités chinoises. Dans Rien à perdre !, Virginie Effira interprète une mère qui se bat contre la justice française et son manque de discernement envers la protection de l’enfance. Ce drame social, entièrement tourné à Brest, est accompagné par l’image sobre, réaliste, de Guillaume Schiffman AFC. Il développe ici son désir de proposer une image, certes réaliste mais de cinéma, comme il se plaît à le souligner. (BB)

Conversation with Stéphane Fontaine, AFC, about his work on "Paris Memories" by Alice Winocour

Les entretiens de Camerimage

In Paris Memories, Virginie Efira plays Mia, a victim of the 13 November 2015 attacks, who returns to Paris three months after the attack and attempts to recover her memories of the event. With sincerity and humility, the film paints the portrait of a young woman and a city, both of whom are trying to rebuild after the trauma. After having been presented at the Directors’ Fortnight at Cannes, the film was presented at Camerimage, in the Contemporary World selection. On that occasion, Margot Cavret met with Stéphane Fontaine, AFC, cinematographer on this film, to discuss his first project with director Alice Winocour.

Conversation avec Stéphane Fontaine, AFC, à propos de son travail sur "Revoir Paris”, d’Alice Winocour

Les entretiens de Camerimage

Dans Revoir Paris, Virginie Efira incarne Mia, une victime des attentats du 13 novembre 2015, revenant à Paris trois mois après l’attaque, et cherchant à retrouver ses souvenirs de l’événement. Avec sincérité et pudeur, le film dresse le portrait d’une jeune femme et d’une ville qui cherchent toutes deux à se reconstruire après le traumatisme. Après une sélection à la Quinzaine des réalisateurs, le film est présenté à Camerimage, dans la sélection Contemporary World. A cette occasion, Margot Cavret a rencontré Stéphane Fontaine, AFC, directeur de la photographie de ce film, pour évoquer avec lui cette première collaboration avec la réalisatrice Alice Winocour.

Mise en ligne de la captation de l’Appel à des États généraux du cinéma 2022, en formats courts ou longs

AFC-related activities

Vendredi 6 octobre 2022, des professionnels du cinéma, des organisations et des associations du secteur se sont réunies pour lancer un "Appel à des États généraux du cinéma", faisant suite à une tribune publiée en mai dernier dans Le Monde et intitulée "Les choix politiques de nos institutions fragilisent gravement le cinéma". Plus de 1 500 personnes ont suivi les débats à l’Institut du monde arabe et sur la plateforme YouTube. Ces échanges sont maintenant accessibles ici sous forme de trois modules de plus ou moins 40 minutes reprenant les thématiques de la journée, précédés de 24 "capsules" de quelques minutes reprenant les points forts des interventions.

Le travail de Sébastien Buchmann, AFC, sur "Don Juan", de Serge Bozon, dans les pages du "British Cinematographer" n° 112

Books and Magazines

Le n° 112 - juillet 2022 - de la revue British Cinematographer, initiée par la BSC (British Society of Cinematographers), publie dans ses pages consacrées au travail de chefs opérateurs sur un de leurs films les plus récents – Mandy Walker, ASC, ACS, Claudio Miranda, ASC, Anthony Dod Mantle, BSC, ASC, DFF, entre autres –, un article sur la façon dont Sébastien Buchmann, AFC, et le réalisateur Serge Bozon ont abordé la mise en images du film de ce dernier, Don Juan, tourné en pellicule.

Cinematographer Alexis Kavyrchine evokes his collaboration with Albert Dupontel on "Bye Bye Morons"
Albert’s Little World

Conversations with cinematographers

For his seventh film as director, actor and director Albert Dupontel chose a rather pessimistic dark comedy in which, as is usual in his films, contemporary social reality sometimes slips into an expressionist world that is akin to that of comic books. Alexis Kavyrchine (Perdrix, La Douleur, Ce qui nous lie) was in control of the cinematography. He discusses the way the filmmaker works in order to construct his unique and personal universe. (FR)

Alexis Kavyrchine évoque sa collaboration avec Albert Dupontel sur "Adieu les cons"
Le petit monde d’Albert

Conversations with cinematographers

Pour son septième film en tant que metteur en scène, le comédien et réalisateur Albert Dupontel a choisi une comédie noire assez pessimiste où, comme à son habitude, la réalité sociale contemporaine vient parfois déraper au gré d’un univers expressionniste souvent proche de la bande dessinée. C’est Alexis Kavyrchine (Perdrix, La Douleur, Ce qui nous lie...) qui est cette fois-ci aux commandes de l’image. Il nous parle de la méthode de travail de ce cinéaste qui a su se construire un univers bien à lui. (FR)

Irruption à Stromboli
Entretien avec le directeur de la photographie Simon Beaufils à propos de son travail sur "Sibyl", de Justine Triet

Interviews

Le troisième long métrage de Justine Triet est un nouveau portrait de femme incarné par Virginie Efira, comme pour Victoria. C’est la chute vertigineuse de Sibyl dans la vie de l’autre, Margot - Adèle Exarchopoulos -, et une mise en abyme dans ses propres souvenirs qui va lui permettre de renouer avec sa vie.
Simon Beaufils signe ici une image hollywoodienne et jongle entre douceur de peau et effets de sodium dans la nuit urbaine. (BB)

Articles (30)

Alexis Kavyrchine évoque sa collaboration avec Albert Dupontel sur "Adieu les cons"
Le petit monde d’Albert

Conversations with cinematographers

Pour son septième film en tant que metteur en scène, le comédien et réalisateur Albert Dupontel a choisi une comédie noire assez pessimiste où, comme à son habitude, la réalité sociale contemporaine vient parfois déraper au gré d’un univers expressionniste souvent proche de la bande dessinée. C’est Alexis Kavyrchine (Perdrix, La Douleur, Ce qui nous lie...) qui est cette fois-ci aux commandes de l’image. Il nous parle de la méthode de travail de ce cinéaste qui a su se construire un univers bien à lui. (FR)

Second annual “Festival Chefs Op’ en lumière” at Chalon-sur-Saône

Chefs Op’ en Lumière Festival

The second annual “Festival Chefs Op’ en lumière” organized by La Bobine, took place at Chalon-sur-Saône, from 11 to 15 March 2020. The spotlight was shone on Jonathan Ricquebourg, AFC, and Elin Kirschfink, AFC, SBC, joined by Manu Dacosse, SBC, Sébastien Goepfert, Antoine Héberlé, AFC, Gilles Porte, AFC, Marie Spencer, AFC, SBC, and Virginie Surdej, SBC. Pierre Lhomme, AFC, has been honored at this event, and a photographic exposition dedicated to Roger Corbeau was also featured.

Les avantages à être une femme directrice de la photographie
Article écrit par Leslie Leyzour, publié en anglais sur le site Internet de la SBC

Columns

Quand j’ai intégré l’Insas en image, ma mère m’a ramené de Grande-Bretagne un tee-shirt rose fushia intitulé "The advantages of being a woman artist", créé par un groupe d’artistes féministes appelées les Gorilla Girls (photo ci-contre). Je l’ai porté fièrement, d’abord à l’école, puis sur les tournages, en me disant que c’était rigolo et un peu engagé, donc bien.

Au palmarès des Magritte du Cinéma 2020

Les Magritte

La 10e cérémonie des Magritte du Cinéma, organisée par l’Académie André Delvaux, a révélé son palmarès le samedi 1er février 2020. Étaient en lice pour le Prix de la Meilleure image : Hichame Alaouié, SBC, pour Duelles, d’Olivier Masset-Depasse, Benoît Debie, SBC, pour Les Frères sisters, de Jacques Audiard, et Virginie Surdej, SBC, pour Nuestras madres, de César Diaz. Signalons que parmi les nominations, toutes catégories confondues, six films ont été photographiés par des DP de l’AFC.

Camerimage ou se souvenir de la puissance des images
Une contribution d’Emma Limon, étudiante à La Fémis

Students news

Dans le cadre de la présence à Camerimage d’étudiants de l’ENS Louis-Lumière et de La Fémis, l’AFC leur a proposé de contribuer d’une manière ou d’une autre aux articles publiés sur le site et relayés par les infolettres. Emma Limon, de La Fémis, fait part de ce qu’elle a éprouvé à la vision de deux films documentaires aux images, dit-elle, d’une puissance mémorable.

Au palmarès du 34e Festival du Film Francophone de Namur

AFC films in festivals

Les jurys du 34e FIFF ont décerné les Bayards et autres récompenses lors de la cérémonie de clôture qui s’est déroulée le vendredi 4 octobre 2019. Le Bayard d’Or du Meilleur film est revenu à Roubaix une lumière, d’Arnaud Desplechin, photographié par Irina Lubtchansky. Notons l’attribution du Bayard de la Meilleure photo à Virginie Surdej, SBC, pour By the Name of Tania, de Bénédicte Liénard et Mary Jiménez, et la présence de cinq membres de l’AFC parmi les films récompensés, toutes catégories confondues.

Au Palmarès du 72e Festival de Cannes

Cannes Film Festival 2019

Lors de la cérémonie du clôture de la 72e édition du Festival de Cannes, samedi 25 mai, le jury, présidé par Alejandro González Iñárritu, a annoncé son palmarès. La Palme d’or a été décernée à Parasite, de Bong Joon-ho, photographié par Hong Kyung-pyo, la Caméra d’or, à Nuestras Madres, de César DÍaz, photographié par Virginie Surdej, SBC, et le Prix CST de l’Artiste technicien, à Flora Volpelière pour le montage et Julien Poupard, AFC, pour le cadre et la lumière du film de Ladj Ly, Les Misérables.

Irruption à Stromboli
Entretien avec le directeur de la photographie Simon Beaufils à propos de son travail sur "Sibyl", de Justine Triet

Interviews

Le troisième long métrage de Justine Triet est un nouveau portrait de femme incarné par Virginie Efira, comme pour Victoria. C’est la chute vertigineuse de Sibyl dans la vie de l’autre, Margot - Adèle Exarchopoulos -, et une mise en abyme dans ses propres souvenirs qui va lui permettre de renouer avec sa vie.
Simon Beaufils signe ici une image hollywoodienne et jongle entre douceur de peau et effets de sodium dans la nuit urbaine. (BB)

Articles (2)

Laurent Tangy, AFC, évoque le tournage de "L’Amour et les forêts", de Valérie Donzelli
Par Brigitte Barbier, pour l’AFC

Conversations with cinematographers

Pour son sixième long métrage, la comédienne et réalisatrice Valérie Donzelli adapte le roman éponyme L’Amour et les forêts, d’Éric Reinhardt publié, en 2014. Ce thriller psychologique nous montre la mécanique de la culpabilité et de la maltraitance dans une mise en scène tenue et une direction d’acteurs impeccable. L’image qui accompagne la tension dramaturgique du film est signée par Laurent Tangy, AFC. Il revient sur ce tournage entre mer et forêt, entre argentique et numérique. L’Amour et les forêts est présenté à Cannes Première au Festival de Cannes 2023. (BB)

Guillaume Schiffman, AFC, parle de son travail à l’image sur "Rien à perdre !", de Delphine Deloget
Par Brigitte Barbier, pour l’AFC

Conversations with cinematographers

En sélection à Un Certain Regard de ce 76e Festival de Cannes, Rien à perdre ! est le premier long métrage de la documentariste Delphine Deloget. Elle avait déjà traité de la relation filiale dans son documentaire L’Homme qui cherchait son fils, où un père à la recherche de son fils, probablement kidnappé, défie les autorités chinoises. Dans Rien à perdre !, Virginie Effira interprète une mère qui se bat contre la justice française et son manque de discernement envers la protection de l’enfance. Ce drame social, entièrement tourné à Brest, est accompagné par l’image sobre, réaliste, de Guillaume Schiffman AFC. Il développe ici son désir de proposer une image, certes réaliste mais de cinéma, comme il se plaît à le souligner. (BB)

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