L’Observatoire européen de l’audiovisuel publie un nouveau rapport sur la proportion de femmes dans les métiers de l’industrie cinématographique européenne où il apparait qu’entre 2018 et 2022, 26 % des longs métrages ont été réalisés et seulement 11 % photographiés par des femmes.
Ecoprod, qui regroupe des institutions telles que Film France, Audiens, le CNC, Film Paris Region, France TV, Pôle Media Grand Paris, la CST, TF1 et Canal+, a pour but de fédérer, développer, innover et former aux pratiques environnementales. Ce collectif a publié la synthèse d’une nouvelle étude (novembre 2020) qui dévoile la nécessité tant économique que réglementaire et climatique, pour le secteur audiovisuel – dont le cinéma –, de s’adapter aux enjeux liés à l’environnement.
L’Observatoire européen de l’audiovisuel, organisme de service public paneuropéen basé au Conseil de l’Europe, à Strasbourg, a publié, mardi 13 février 2018, un rapport qui fait état du nombre de films produits en Europe, en nette augmentation de 47 % depuis 2007 puisqu’il passe de 1 444 à 2 124 en 2016.
En 2016, la production de films cinématographiques a connu son deuxième niveau le plus élevé depuis 1952. Elle recule très légèrement avec 17 films de moins à 283 films agréés mais demeure à un niveau élevé. Le nombre de films d’initiative française recule de 5,6 % à 221 films. Les premiers et deuxièmes films représentent 51,6% des films d’initiative française en 2016. Le nombre de premiers films d’initiative française diminue pour atteindre 80 titres en 2016 (cinq de moins qu’en 2015), celui des deuxièmes films recule également et s’établit à 34 titres (quatre de moins qu’en 2015).
Depuis près de dix ans, le Fonds d’Aides aux Projets pour les Nouveaux Médias soutient des œuvres audiovisuelles innovantes spécifiquement conçues pour le numérique. Il accompagne toutes les phases de réalisation d’un projet (écriture, développement, production) et cible autant les auteurs que les producteurs. Une proposition de réforme de ce fonds a été adoptée par le CNC courant avril 2016.
Le CNC (Centre national du cinéma et de l’image animée) publie un communiqué de l’Observatoire de la production cinématographique estimant que 2015 fut une année de forte reprise et de diversité pour la production française.
En comparaison du premier semestre 2014, le CNC constate une tendance à la hausse du volume de production et des budgets des films. Les investissements totaux augmentent ainsi de 35 %, le budget moyen des films de 16 % et le nombre de films à gros budget est aussi en augmentation.
Chaque année, le Festival de Cannes a été l’occasion pour le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) de publier son rapport annuel concernant l’année écoulée. D’une manière générale, la fréquentation des salles – nombre d’entrées générées par les longs métrages, films courts et "hors film" – et leurs recettes ont progressé courant 2014 alors que le prix moyen du billet a diminué, ainsi que, dans le domaine de la production, le nombre des jours de tournage.
Pluie de chiffres cette première semaine de février 2015 sur le secteur de la production cinématographique française en 2014 ! Think and Act vous propose un double numéro spécial de sa Newsletter d’analyse et de comparaison des chiffres du CNC et et de la Ficam pour réussir à se projeter dans l’avenir. Episode 1 : le bilan 2014.
En 2014, la fréquentation des salles de cinéma augmente de 7,7 % et dépasse les 200 millions d’entrées. 208,43 millions d’entrées ont ainsi été réalisées, soit le deuxième plus haut niveau depuis 47 ans (211,5 millions d’entrées en 1967 et 217,2 millions en 2011) : un résultat très au-dessus du niveau moyen des dix dernières années (196,47 millions).
Au cours des neuf premiers mois de 2014, les investissements dans les films agréés par le CNC baissent de 22,7 % et le nombre de films agréés eux-mêmes diminue de 8,3 % pour un total de 177 films. Entre 2013 et 2014, la production de longs métrages de fiction d’initiative française est en retrait de 17 %, comptant 110 projets contre 133 en 2013.
Le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) publie sur son site Internet une étude d’évaluation des retombées économiques directes et indirectes des crédits d’impôts cinéma, audiovisuel, jeu vidéo et international. Cette étude dresse une présentation détaillée des dispositifs et de leurs évolutions depuis leur mise en œuvre et évalue les effets de ces dispositifs sur la localisation des dépenses, la dynamique industrielle, l’impact sur l’emploi. Plus précisément, elle évalue les retombées économiques et fiscales induites par ces dispositifs.
Mardi 15 juillet 2014 Précisions méthodologiques à propos des chiffres CNC / FICAM L’Observatoire " Métiers et Marchés " de la Ficam recense auprès des Industries techniques les productions de films de long métrage (FIF) dont le premier jour de tournage est constaté et déclaré par ses adhérents entre le 1er janvier et le 30 juin de l’année civile.
Paris, le 2 avril 2014 Le rapport public thématique de la Cour des comptes publié aujourd’hui souligne le succès « incontestable » de la politique de soutien à la production cinéma et audiovisuelle que la France a mise en place. C’est en effet cette politique active, étroitement corrélée à l’évolution économique du secteur, qui permet à la France de développer une filière industrielle créatrice d’emploi et de valeur (près de 1 % du PIB et 340 000 emplois sur notre territoire), capable de produire des œuvres qui participent à la construction et à la promotion de notre culture et de notre identité.
Le Centre national du cinéma et de l’image animée a réalisé une étude sur la place des femmes dans l’industrie cinématographique et audiovisuelle. Cette étude analyse les effectifs féminins présents au sein du CNC, dans les attributions d’aide, dans la réalisation de films et dans les sociétés de production audiovisuelle et cinématographique. Cette étude met en lumière l’évolution de la place des femmes dans les secteurs du cinéma et de l’audiovisuel, entre 2008 et 2012.
Les films d’initiative française : volume stable, financement en recul 209 films d’initiative française ont été agréés en 2013, comme en 2012. Les investissements réalisés dans la production de ces films diminuent de 4,3 % à 1,02 milliard d’euros en 2013 (-45,50 M€).
Selon les dernières estimations de la direction des études, des statistiques et de la prospective, la fréquentation cinématographique atteint 13,68 millions d’entrées au mois de juillet 2013, soit 19,4 % de moins qu’en juillet 2012.
Pour la dixième année consécutive, le CNC a réalisé une étude sur la structure des coûts de production des films d’initiative française ayant reçu un agrément de production.