Fujifilm au 58e festival international du film à Cannes

suite 131, au 1er étage du Carlton
  • Dailland et Duroux à la CST
    - 10 jours de Quinzaine
    - 10 minutes pour refaire le monde
    - Le SPI et Fuji font encore parler d’eux
  • Dailland et Duroux à la CST
    C’est un privilège pour nous que d’accueillir et de mettre à l’honneur cette année, autour d’un verre de l’amitié porté sur le stand de la CST (espace Pantiero) le 18 mai à midi, Messieurs Laurent Dailland, AFC, dont le dernier long métrage qu’il a photographié, Man to man de Régis Warnier, est à l’affiche (conseil d’ami : si vous ne l’avez pas vu, ... courez-y ! Et si vous l’avez déjà vu, courez-y aussi !) et Patrick Duroux, directeur de la photographie d’innombrables films courts ou moins courts que vous ne pouvez pas ne pas avoir vu.
    Un grand merci à vous gentlemen du 7e art, d’avoir répondu à notre invitation.
  • 10 jours de Quinzaine
    Au fil des années, les affinités tendent à l’accord parfait. Fujifilm est donc plus que jamais fier d’être partenaire de la Quinzaine des Réalisateurs, une mélodie cannoise de l’orchestre de la SRF, sur une partition sélective d’Olivier Père, et la direction du chef Hubert Watrinet (orchestration de Caline Oscaby).
    Chaque jour, sur les hauteurs du Hilton, de concert avec la Quinzaine, toute l’équipe de Fujifilm vous accueillera autour de quelques notes gustatives (sur invitation). Mais si votre humeur est plutôt au dilettantisme ou même au free jazz, sentez-vous libres, le Club de la Quinzaine ou les films de la sélection vous seront ouverts sur de simples sésames que nous serons heureux de vous fournir.
    Enfin, choristes heureux de la sélection ainsi que metteurs en scène ne manqueront pas de se faire photographier au " photo call " inauguré cette année sur la terrasse d’un hôtel célèbre (cf. le film actuellement en salle : Anthony Zimmer de Jérôme Salle, photographié par Denis Rouden, AFC), le Carlton... en Fuji majeur.
  • 10 minutes pour refaire le monde
    Canal + en a rêvé, Fuji aussi.
    Mai 2004, Cannes.
    Le thème de la nouvelle collection de courts coproduite par Canal + est annoncé officiellement au Festival de Cannes, il faudra aux lauréats 10 minutes pour refaire le monde.
    Automne 2004, Paris.
    La sélection des scénarii s’achève, avec un outsider de dernière minute (demandez à Jean-Jacques Bouhon, magnifique !), 8 projets sont retenus.
    Fin octobre 2004, France.
    Les tournages commencent.
    Janvier 2005, 20h Issy-Les-Moulineaux
    Projection équipes dans les locaux de Canal +.
    3 février 2005 20h, Clermont-Ferrand
    Première de la sélection au Cinéma le Paris, pendant le Festival du Court Métrage, les films sont diffusés au même moment sur l’antenne.
    18 mai 2005, 20h, Cannes
    Projection spéciale, sur copie 35 mm, de l’ensemble de la collection, à l’espace Miramar, dans le cadre de la Semaine Internationale de la Critique. La séance est précédée, à 17 h, d’un apéritif offert par Fujifilm sur sa terrasse (Carlton, suite 131). Le thème de la prochaine collection y sera annoncé.
    28 juin, 18 h, Cinéma des Cinéastes, Paris 17e
    Reprise de la Collection pour une soirée spéciale Fuji tous Courts. La boucle est bouclée.
  • Le SPI et Fuji font encore parler d’eux
    En signe d’apaisement sans doute, Betrand Meheut, patron de la grande banque du cinéma français, Canal +, avait consacré l’année dernière quelques minutes de son temps au Syndicat des Producteurs Indépendants en trinquant aimablement avec les lobbyistes dans la suite Fuji (la fameuse 131). Nombre de décideurs et politiques plénipotentiaires avaient rejoint la troupe, sans doute par l’odeur du sushi alléchés. Cette année, le même tandem ressort les coupes en espérant toujours qu’à force de champagne, les films se feront mieux.
    Pour ceux qui veulent y croire (ou partager nos sushis), rendez-vous au même endroit le 16 mai à 18 h, côté longs métrages, ou le 17 mai à midi, côté courts.
    PS : L’Eterna fera son entrée en campagne à l’occasion du Festival, rendez-vous dans les quotidiens du film français et du technicien du film pour un clin d’œil à l’une des caractéristiques patrimoniales et principales de la pellicule : sa pérennité.