Éric Catelan

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Eric Gautier, AFC, un perpétuel désir
Par Ariane Damain Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

Quand il était enfant, Eric Gautier passait de longs moments à Bondy, dans le magasin de fleurs de sa grand-mère. Il rêvassait en dévorant les albums de Tintin, ne sachant pas encore que son désir de cinéma naîtrait là, au milieu des couronnes mortuaires, et qu’il dirait bien plus tard : « Je dois tout à Hergé ».

"Éric Rohmer au temps 
de la convention collective"
Par Diane Baratier, AFC

Revue de presse

L’Humanité, 19 avril 2013

Films à petits budgets condamnés ? Récemment dans la presse, la démarche courageuse d’Éric Rohmer comme cinéaste a été utilisée pour défendre un point de vue personnel de production. Il a été dit que Rohmer, si la nouvelle convention collective était appliquée le 1er juillet 2013, n’aurait pas pu faire ses films.

Eric Gautier, AFC, à l’honneur dans les pages du quotidien "Libération"

Revue de presse

Le quotidien Libération, qui consacre habituellement sa dernière page au portrait d’une personnalité digne d’intérêt, trace, dans son édition du mardi 3 novembre, celui de notre confrère le directeur de la photographie Eric Gautier, AFC.
« Eric me fait penser au premier poisson qui a mis l’œil dehors car il avait par hasard des pattes », dit de lui avec humour le réalisateur Alain Resnais, dont Eric a photographié le dernier film, Les Herbes folles. Et Alain Resnais de s’expliquer : « Curieux et ouvert à tout, dépourvu d’a priori, Eric sort perpétuellement la tête pour voir si c’est mieux de vivre dans ou hors de l’eau ».

Eric Gautier, AFC, tourne "The Mercy" en pellicule Kodak 35 mm

Kodak

Tourné en pellicule Kodak 35 mm par le directeur de la photographie français Eric Gautier, AFC, The Mercy est basé sur l’histoire vraie de l’homme d’affaires et navigateur américain Donald Crowhurst, et de sa tentative malheureuse de remporter le premier tour du monde sans escale, le Golden Globe du Sunday Times, en 1968. Le directeur de la photographie nous explique comment il a utilisé la pellicule Kodak 35 mm pour offrir au film une esthétique émouvante et sensuelle.

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