Guillaume Rocheron

Dans son édition du samedi 22 février 2020, le quotidien Le Parisien a publié un article dans lequel Renaud Baronian revient sur l’Oscar des Effets visuels obtenu par Guillaume Rocheron (partagé avec Greg Butler et Dominic Tuohy) pour le travail effectué sur 1917, de Sam Mendes, « le seul Français récompensé le 9 février, après avoir déjà remporté une statuette en 2013 pour L’Odyssée de Pi, d’Ang Lee ».

With Planète B, filmmaker Aude Léa Rapin (Les héros ne meurent jamais, in 2018) offers us an ambitious tale of anticipation. Two dimensions - real and virtual - coexist in a paradoxical prison film where the inmates are placed in a very... summery atmosphere. Jeanne Lapoirie, AFC, and her gaffer Guillaume Ader were responsible for the cinematography of this plunge into a 15-year future where the government has devised new means of incarceration to counter a group of young activists bent on defending the planet. The director’s second film is presented out of competition as the opening film of Critics’ Week at the 81^st Venice Film Festival. (FR)

Avec Planète B, la cinéaste Aude Léa Rapin (Les héros ne meurent jamais, en 2018) propose un récit d’anticipation ambitieux. Deux dimensions - réelle et virtuelle - cohabitent dans un film de prison paradoxal où les incarcérés sont placés dans une ambiance très... estivale. C’est Jeanne Lapoirie, AFC, et son gaffer Guillaume Ader qui se sont chargés de mettre en image cette plongée dans un futur de 15 ans où l’État a mis en place des nouveaux moyens d’incarcération pour combattre un groupe de jeunes activistes voulant défendre la planète. Ce deuxième film de la réalisatrice est présenté Hors compétition en ouverture de la Semaine de la critique, dans le cadre de la 81e édition de la Mostra de Venise. (FR)

Dans un article publié sur son site Internet, le Centre du cinéma et de l’image animée (CNC) propose un entretien avec Guillaume Schiffman, AFC, dans lequel le directeur de la photographie revient sur son travail de restauration sur les films de Marcel Pagnol, dont une rétrospective est présentée dans les salles cet été. Extraits...

En juin, huit sorties en salles de films tournés avec les moyens techniques de TSF, dont six photographiés par des membres de l’AFC, et vingt-neuf longs métrages et fictions TV en tournage, dont dix photographiés par des membres de l’association.

Dimanche 19 mai, pour la cinquième émission en direct de CanneS prime Time, Alexia de Mari et Mathieu Guetta ont reçu Paul Guillaume, AFC, et Erwan Kerzanet, AFSI, respectivement chef opérateur image et chef opérateur son du film Emilia Perez, de Jacques Audiard, sélectionné en Compétition officielle.

Guillaume Lemerle fait partie de la jeune génération de chefs électriciens aussi à l’aise sur les grosses productions comme John Wick 4 ou OSS 117 que sur des films d’auteur tel L’Envol ou Mes frères et moi.

En février 2024, dix sorties cinéma de films tournés avec les moyens techniques de TSF, dont six photographiés par des membres de l’AFC, et treize longs métrages et fictions TV en tournage, dont huit photographiés par des membre de l’association.

En attendant la tenue du prochain Micro Salon, les 7 et 8 février 2024, et pour mettre en appétit ses futurs visiteurs, nous proposons, dans la suite de cet article, une sélection de l’édition 2023, sous le regard de Lola Cacciarella, photographe, suivie d’un lien vers l’album complet de son reportage, agrémenté d’un coup d’œil de David Quesemand, AFC, mis en ligne sur le site du Micro Salon.

Chaque année, Camerimage propose une sélection non compétitive de films d’écoles "Film and Art School Panorama". Cette année y est présenté le court métrage de fin d’études de l’ENS Louis-Lumière de Charly Lehuédé, Where Ravens Fly. Ce western sensible et lumineux dépeignant la relation liant une jeune femme à son cheval a été photographié par Guillaume Pradel, également diplômé de l’École en 2022. (MC)

Dans son édition du samedi 22 février 2020, le quotidien Le Parisien a publié un article dans lequel Renaud Baronian revient sur l’Oscar des Effets visuels obtenu par Guillaume Rocheron (partagé avec Greg Butler et Dominic Tuohy) pour le travail effectué sur 1917, de Sam Mendes, « le seul Français récompensé le 9 février, après avoir déjà remporté une statuette en 2013 pour L’Odyssée de Pi, d’Ang Lee ».