Regards de L’Union des chefs opérateurs sur Camerimage 2020
• Camerimage 2020 : Le bilan, par Marion Rey, Pamela Albárran, Pascal Montjovent, Pascale Marin et Valérie Potonniée, Clémence Thurninger, Gertrude Baillot et Thomas Lallier.
• « Souvent, le cinéma latino-américain fait appel aux éléments magiques et métaphoriques pour parler de sa réalité complexe. C’est le cas du documentaire mexicain 499, réalisé par Rodrigo Reyes et mis en image par Alejandro Mejía, AMC. Ce dernier a reçu le prix de la Meilleure photographie au Festival de Tribeca et plus récemment la Grenouille d’or au Energa Camerimage dans la catégorie Docudrama. »
499, un équilibre poétique entre réel et fiction, par Pamela Albarrán
• « Présenté à Camerimage édition 2020, La Llorona, fiction de Jayro Bustamante, est mise en image par Nicolás Wong Díaz. »
La Llorona – Quand le réalisme magique vient au secours d’une réalité trop sombre, par Valérie Potonniée et Pamela Albarrán
• « Le cinéma polonais actuel est un cinéma du réel, en témoigne la sélection à Camerimage dans la catégorie Polish Films. »
Supernova – Destruction et/ou renaissance du cinéma polonais ?, par Clémence Thurninger
• « À l’occasion de la remise du Camerimage Lifetime Achivement Award à Philippe Rousselot, trois chefs opérateurs de l’AFC, Caroline Champetier, Jean-Marie Dreujou et Denis Lenoir, avaient préparé des extraits de films et des questions. L’occasion d’un hommage passionnant, teinté d’humour et très instructif. »
Conversation avec Philippe Rousselot, AFC, ASC, par Pascale Marin, AFC
• « Blood Rider est un court métrage documentaire réalisé par Jon Kasbe et mis en image par David Bolen. Leur film – visible ici sur Vimeo – est en compétition à Camerimage. »
Blood Rider – Le rouge, c’est la vie !, par Pascal Montjovent
• « J’ai eu la chance d’assister à Camerimage l’an dernier en "présenciel". Et à Camerimage, on sait que l’on peut voir des films "nordiques"… Dans la jolie ville de Toruń aussi le vent nous glace, la nuit tombe à 16h mais on peut toujours compter sur la chaleur des cafés : ce qui nous manque aujourd’hui ! Alors j’ai voulu choisir un film norvégien… »
Hope, vivre et aimer sans espoir, par Marion Rey
• « Le festival Camerimage, on en parle à l’Union depuis longtemps. Alors depuis deux jours, on est parti à Toruń, ça y est, on y est ! Bon, enfin pas vraiment... mais un peu quand même.
Je rêvais de retrouver les grands écrans, les files d’attente pour voir les films, j’avais pensé qu’on boirait peut-être même de la vodka ensemble pour se réchauffer le soir, au final on a opté pour un groupe Whatsapp et une accréditation pour un festival virtuel. Le monde change donc… »
Öndög, l’appel de l’horizon, par Valérie Potonniée
• « Falling était le film d’ouverture du festival Camerimage 2020. "Était" car, en raison de la pandémie, il n’a pas pu être diffusé. Il y avait cependant hier dimanche une rencontre avec Viggo Mortensen et son chef opérateur, Marcel Zyskind, leurs propos étaient traduits au fur et à mesure en polonais et le public pouvait poser des questions via la page Facebook du festival. »
Falling, un père blessant, un mari blessé, par Pascale Marin
• « Assister à Camerimage cette année, c’est participer à un festival de cinéma sans être en mesure de voir tous les films – pour des raisons de restrictions régionales – et qui plus est, un festival dont l’un des sponsors est l’office du tourisme d’une ville dans laquelle personne n’est présent. »
Camerimage 2020 : le festival paradoxal, par Pascal Montjovent
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