Déjà, en 2007, Céline Bozon avait répondu aux entretiens de l’AFC pour deux films sélectionnés à la Quinzaine des réalisateurs : La France, réalisé par son frère, Serge Bozon, et Un homme perdu de la cinéaste libanaise Danielle Arbid. Cette année, elle signe la photo du film d’Axelle Ropert, La Famille Wolberg, sélectionné à la Quinzaine également. À noter qu’elle a rejoint l’AFC fin 2007...
Les Herbes folles d’Alain Resnais, photographié par Eric Gautier, laboratoires LTC, projection au Grand Théâtre Lumière à 16h
Le film sera de nouveau projeté le jeudi 21 mai, salle du Soixantième à 21h30.
Sélection de la Quinzaine des réalisateurs
La Famille Wolberg d’Axelle Ropert, photographié par Céline Bozon, laboratoires Eclair, projections Palais Stéphanie, Théâtre Croisette à 11h et 19h15.
Et aussi...
Syrin, Ibrahim, Malo et tous les autres..., exposition de photographies de Gilles Porte, avec la participation de Juliette Robert, Château des mineurs - Mandelieu la Napoule.
Rémy Chevrin démarre sa carrière de directeur de la photo en même temps que les réalisateurs Yvan Attal et Christophe Honoré tournent leurs premiers films (respectivement, Ma femme est une actrice et 17 fois Cécile Cassard). Il continuera à éclairer leurs films suivants... Il travaille aussi avec François Dupeyron, Yann Moix, et Radu Milhaileanu pour le très beau film Va, vis et deviens. Sa rencontre avec Denis Dercourt, qui réalise avec Demain dès l’aube son sixième long métrage, lui donne l’occasion d’oublier tout ce qu’il a appris auparavant.
Demain dès l’aube de Denis Dercourt, photograhié par Rémy Chevrin, labotatoires Eclair, projections salle Debussy à 14h et 22h
Le film sera de nouveau projeté le mercredi 20 mai, salle Bazin à 18h.
Et aussi...
Syrin, Ibrahim, Malo et tous les autres..., exposition de photographies de Gilles Porte, avec la participation de Juliette Robert, Château des mineurs - Mandelieu la Napoule
Raya A. Martin est un jeune réalisateur philippin très remarqué dans les festivals. Un hommage lui était consacré au dernier Festival du Réel. Ses films évoquent l’histoire de son pays sous des formes très expérimentales. Jeanne Lapoirie l’a rencontré au Festival du documentaire de Marseille (FID) et a été séduite par son film Indio Nacional, un film en noir et blanc, muet, accompagné au piano. Après la lecture du scénario d’Independencia, elle accepte l’aventure d’un film entièrement tourné aux Philippines.
Independencia de Raya Martin, photograhié par Jeanne Lapoirie, projection salle Debussy à 14h
Le film sera de nouveau projeté le mardi 19 mai, salle du Soixantième à 15h30.
Et aussi...
Syrin, Ibrahim, Malo et tous les autres..., exposition de photographies de Gilles Porte, avec la participation de Juliette Robert, Château des mineurs - Mandelieu la Napoule
Tzar (Le Tsar) de Pavel Lounguine, photographié par Tom Stern, ASC, projections salle Debussy à 14h et 22h
Le film sera de nouveau projeté le lundi 18 mai, salle Bazin à 17h45.
Sélection officielle, Hors compétition
L’Armée du crime de Robert Guédiguian, photographié par Pierre Milon, copie laboratoires Arane Gulliver, projection salle du Soixantième à 19h45.
Sélection Cannes Junior
Neuilly, sa mère de Djamel Bensalah et Gabriel-Julien Laferrière, photographié par Pascal Gennesseaux, projection au Théâtre La Licorne, Cannes La Bocca à 17h.
Et aussi...
Syrin, Ibrahim, Malo et tous les autres..., exposition de photographies de Gilles Porte, avec la participation de Juliette Robert, Château des mineurs - Mandelieu la Napoule
Neuilly, sa mère, de Gabriel-Julien Laferrière, coréalisé et produit par Djamel Bensalah, est une comédie interprétée principalement par des " préados " entourés de comédiens reconnus, voire célèbres. Pascal Gennesseaux, collaborateur de Djamel Bensallah pour la quatrième fois, résume le film ainsi : « On peut rire des aventures de ce jeune garçon avec toute la candeur et presque la naïveté que Djamel donne à ses personnages. Plaisir et réflexion au passage sur des univers aussi contraires que ceux d’une cité de province et d’une école " libre " de Neuilly. C’est le beur et l’argent du beur… (rires…). Cette histoire est finalement proche de la vie de Djamel. »
De nouveau cette année, Tom Stern, ASC, AFC a enchaîné les tournages à travers la planète. Se consacrant la plupart du temps aux projets de son ami Clint Eastwood (Gran Torino et depuis Le Facteur humain), il s’est également autorisé un petit détour en Russie au coté de Pavel Lounguine pour les besoins de Tzar… Une chronique de la vie d’Ivan le Terrible présente cette année à Un Certain Regard… Entre deux avions, il nous accorde cet entretien téléphonique.
Directeur de la photo sur le film de Laurent Cantet Entre les murs, Palme d’or 2008, Pierre Milon revient à Cannes pour le film hors compétition de Robert Guédiguian L’Armée du crime. C’est sa troisième collaboration avec le réalisateur-producteur et une nouvelle expérience pour chacun d’eux, avec ce film d’époque et sa foisonnante distribution. Le film se situe dans le Paris occupé par les Allemands, autour de résistants devenus des héros, partisans étrangers qui vont harceler les nazis pour défendre le pays qu’ils aiment et qui symbolise pour eux la liberté.
A l’occasion de ce 62e Festival de Cannes, la Commission Nationale du Film France a présenté son Guide pratique des tournages 2009-2010, édité avec le soutien du CNC. La nouvelle édition de ce guide bilingue anglais-français propose aux productions étrangères désirant organiser un tournage en France un large éventail d’informations concernant la France dans son ensemble, les lieux de tournage, la logistique, l’hébergement, les moyens techniques, la législation et bien d’autres renseignements qui répondent aux besoins des professionnels. Au sommaire...
C’est en collaborant avec Mathieu Kassovitz (Métisse, La Haine, Assassin) que Pierre Aïm a démarré une carrière de directeur de la photographie de long métrage. Il a ensuite photographié plusieurs films d’Antoine de Caunes, de Samuel Benchetrit puis, dernièrement, il a travaillé sur Bienvenue chez les Ch’tis et Le Bal des actrices. Avec Jaffa de l’Israélienne Keren Yedaya, il expérimente une image stylisée pour un film engagé, politique et populaire.