Dans le cadre de la Semaine Cinéma du Québec

la CST, l’AFC et Thomson convient un grand nombre de professionnels

La Lettre AFC n°128

Dans le cadre de la Semaine Cinéma du Québec, la CST, en collaboration avec l’AFC et Thomson, avait convié un grand nombre de professionnels à venir parler de leur expérience en haute définition.
Toute la journée du jeudi 4 décembre 2003, le Cinéma des Cinéastes, dirigé et programmé par Laurent Hébert, a une fois encore été un lieu de débats animés.

Pour accueillir nos amis québécois, les nombreux invités et ouvrir ces rencontres, Pierre-William Glenn n’avait pu se déplacer. Président du jury au Festival d’Autrans, il fut représenté par Yves Louchez, délégué général de la CST.
Parmi les intervenants, les directeurs de la photo canadiens du Québec Serge Desrosiers (Nuts, Station Nord), Jean-Pierre Saint-Louis (Gaz Bar Blues, second film réalisé par Louis Bélanger, 20h17 rue Darling, Opération Cobra) et Daniel Vincelette (Nightlight, Le Marais, Leaving Métropolis).
Du côté français, Renato Berta, AFC, et Philippe Ros représentant du département image - prise de vues de la CST et qui prépare les Rencontres de la CST 2004.

Après la présentation de la Viper FilmStream par Frank Mougenot (Thomson), Jean-Jacques Bouhon, secrétaire général de l’AFC, présenta le comparatif Viper FilmStream - 35 mm réalisé conjointement par des membres de l’AFC et de la CST.
En maître de cérémonie ou " modérateur " un grand pro, spécialiste de postproduction cinéma numérique, effets spéciaux et étalonnage : Thierry Beaumel. Non seulement il mena remarquablement les débats, mais décida parfois de répondre personnellement à des questions très " pointues " posées par l’auditoire.

Dans une salle archi comble un grand nombre de producteurs, directeurs de production, responsables de laboratoires et de postproduction, les fabricants de pellicule, des directeurs de la photographie et leurs assistants caméra, des maquilleurs, des ingénieurs du son, des monteurs, des étudiants, etc.
Toute cette journée fut l’occasion d’échanger des points de vue passionnés et parfois contradictoires. Les chefs opérateurs ont donné certaines de leurs " recettes ", à moduler à bon escient et avec parcimonie quand elles sont destinées au cinéma ou à la télévision, à la fiction ou au documentaire, au reportage au clip ou à la pub. En précisant bien clairement, avec des " accents différents " et fort sympathiques, que les demandes des opérateurs doivent rester compatibles avec les budgets (...).
(Jules Santin, tournages-lesite.com)