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L’agenda du mardi 20 mai

L’agenda de Cannes

  • Les films AFC
  • Sélection officielle, Un Certain Regard
  • Eleanor the Great, de Scarlett Johansson, photographié par Hélène Louvart, AFC, projection à 14h, Salle Debussy.
  • Le film sera de nouveau projeté le mercredi 21 mai à 8h30, Salle Debussy.
  • Une texte d’Hélène Louvart est à venir.
  • Quinzaine des Cinéastes
  • Indomptables, de Thomas Ngijol, photographié par Patrick Blossier, AFC, projection à 8h45 et 19h15, au Théâtre Croisette / JW Marriot.
  • Le film sera de nouveau projeté le mercredi 21 mai à 11h30, aux Arcades.
  • Un entretien avec Patrick Blossier est à venir.
  • Les films non AFC
  • Sélection officielle, en compétition
  • Fuori, de Mario Martone, photographié par Paolo Carnera, AIC - projection au Grand Théâtre Lumière à 16h.
  • Un simple accident, de Jafar Panahi, photographié par Amin Jafari, membre associé d’Imago - projection salle Debussy à 19h30.
  • Semaine de la Critique
  • Imago, de Déni Oumar Pitsaev, photographié par Sylvain Verdet et Joachim Philippe, SBC - projection au Grand Théâtre Lumière à 19h.
  • Hors compétition, Cannes Première
  • Das Verschwinden des Josef Mengele (The Disappearance of Josef Mengele), de Kirill Serebrennikov, photographié par Vladislav Opelyants, RGC - projection salle Debussy à 14h.
  • Vie Privée, de Rebecca Zlotowski, photographié par George Lechaptois - projection au Théâtre Croisette/ JW Marriott à 11h30.

Amine Berrada parle de ses choix artistiques & techniques sur "Banel et Adama", de Ramata-Toulaye Sy
Par Brigitte Barbier, pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

Tous deux sortis de La Fémis il y a une dizaine d’années, Ramata-Toulaye Sy tourne son premier film, Banel et Adama, avec Amine Berrada qui signe son quatrième long métrage comme directeur de la photographie. La jeune réalisatrice franco-sénégalaise originaire du peuple Peul dans la région du Fouta-Toro, au nord du Sénégal, témoigne de la difficulté de sortir des conventions de la communauté et de ses traditions à travers une histoire qui emprunte les codes du conte, du film catastrophe et de l’art romantique. Amine Berrada nous parle de ses choix artistiques pour accompagner ce film atypique, entre la rudesse du réel et l’évocation du mythe. Banel et Adama est en Compétition officielle et concourt également pour la Caméra d’or. (BB)

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