Libération, 17 avril 2013
Un parfum de veillée d’armes flotte sur le cinéma français. Avant l’entrée en vigueur de l’extension de la convention collective, en juillet, partisans et opposants se livrent bataille à coups de communiqués cinglants, de pétitions et d’appels à la mobilisation générale, voire à l’arbitrage du président de la République.