Une peau de chagrin Catherine Schwartz, chef monteuse

Dans ce climat délétère qui règne autour de l’extension de la Convention collective à la production cinématographique, je ne peux m’empêcher de revisiter mes trente années passées dans les salles de montage et ressentir une profonde amertume, voire un certain écœurement qui pourrait me laisser sans voix mais continuant à aimer mon métier, je choisis d’écrire ces quelques lignes.