Actualités AFC

Autour de la projection du film de Claude Miller "Un secret" L’image en version originale
un entretien de Wilfrid Sempé avec Gérard de Battista

Entretiens avec des directeurs de la photographie

L’AFC et la CST organisaient, le 7 novembre à l’Espace Cardin, une soirée " Du numérique au 35 mm " autour de la projection du film de Claude Miller Un secret, en présence Gérard de Battista, son directeur de la photographie. Un débat suivait la projection.

Wilfrid Sempé a souhaité prolonger ce débat en s’entretenant avec Gérard qui " numérique " à nouveau sur un film de Claude Miller.

A l’aube d’un nouveau rendez-vous
par Dominique Gentil

Les Entretiens AFC

Depuis longtemps, je parlais de créer un rendez-vous sous forme d’entretiens avec nos associés, partenaires de l’AFC. Ce projet vient enfin de se concrétiser avec un premier entretien.

Nous avons choisi une forme de questions-réponses à plusieurs voix, un dialogue libre et spontané, pour permettre de mieux faire connaître une industrie technique particulièrement dynamique et souvent proche de nous, attentive aux exigences de nos tournages.

Entretien avec TSF, maison de location caméra, lumière, machinerie
par Dominique Gentil, Eric Guichard, Marc Koninckx

Entretiens avec les partenaires "industries techniques" de l’AFC

Cet entretien a eu lieu dans les locaux de TSF en juillet 2007 en présence de Danys Bruyère, directeur général adjoint Exploitation & Technologie de TSF, Frédéric André, directeur général adjoint Commercial – Développement, et Laurent Kleindienst, directeur commercial adjoint, ainsi que les directeurs de la photographie " AFC " Dominique Gentil, Eric Guichard et Marc Koninckx.

Editorial de la Lettre de novembre 2007
par Rémy Chevrin

Editoriaux de la Lettre

Internationalisation de notre profession, mixité culturelle des équipes de tournage ainsi que délocalisation multiples, les films ne se fabriquent plus de la même manière. Pour suivre cette évolution, les rencontres et les échanges des acteurs de la fabrication des films est indispensable.

Editorial de la Lettre d’octobre 2007
par Rémy Chevrin

Editoriaux de la Lettre

Après une première projection de septembre toute pleine de charme et de surprise (le très beau film d’Olivier Panchot éclairé par notre collègue Pierre Milon), nous retrouverons dans la continuité de l’énergie de cette rentrée le nouveau film de Jean-Jacques Annaud éclairé par Jean-Marie Dreujou. Ce rendez-vous mensuel reste, bien sûr, l’occasion de se retrouver et de découvrir le travail de nos membres mais aussi de continuer à faire vivre l’AFC par les échanges et les propositions de chacun.

Rencontres ENSLL-AFC
par Patrick Duroux et Gérard Stérin

Actualités AFC

Les élèves de la section Cinéma de l’Ecole nationale supérieure Louis-Lumière désirent rencontrer des directeurs de la photographie et aborder avec eux – à partir d’exemples concrets liés à des travaux récents – les différentes phases techniques et artistiques de conception et de fabrication d’une image (image de film, de pub, de clip, images composites ou virtuelles).

Editorial de la Lettre de juillet-août 2007
par Rémy Chevrin

Editoriaux de la Lettre

La période estivale a été entamée et déjà de nombreux tournages sont en cours. L’AFC a connu une activité forte ces dernières semaines et la vitalité de nos membres associés plus que soutenue : en effet, à l’approche des vacances pour certains et des tournages pour d’autres, TSF nous a fait découvrir sa toute nouvelle salle de projection 35 numérique lors d’une soirée où fut projeté le film L’ennemi intime photographié par notre confrère italien Giovanni Fiore Coltellacci, l’occasion d’un échange passionnant entre les opérateurs AFC et M. Coltellacci. De même, Panavision nous propose une journée Porte Ouverte le 6 juillet afin de découvrir leurs dernières acquisitions mais aussi de renforcer les liens qui nous unissent.

Editorial de la Lettre de juin 2007
par Rémy Chevrin

Editoriaux de la Lettre

Avec le soutien de la CST présidée par Pierre-William Glenn, de Laurent Hébert son délégué général, et du CNC, l’AFC a connu cette année au Festival de Cannes un dynamisme nouveau à travers les différents évènements et activités qui ont eu cours pendant la quinzaine. Cette présence n’aurait pu avoir lieu sans le soutien actif de nos membres associés.
C’est pourquoi je tiens avant tout à remercier chaleureusement tous ceux et toutes celles qui ont permis que nous existions encore plus que les années précédentes, Aaton, Agfa, Cininter, Fujifilm, Kodak, K5600, Maluna Productions, Panavision Alga Techno et Quinta Industries, ainsi qu’Apple Solution Expert Vidéo pour son aide exceptionnelle.

"Lumières, les Cahiers de l’AFC"
Les n°1 et n°2 de "Lumières" sont en vente ici

Revue "Lumières"

Découvrez et commandez les deux premiers numéros de la revue Lumières, les Cahiers de l’AFC. Chaque revue est accompagnée d’un CD présentant des extraits de films, des photogrammes et des photos.

Prix par numéro : 15 euros (CD inclus), hors frais d’envoi

Consultez le tableau des frais d’envoi ci-dessous
Facture sur demande jointe à votre commande

  • Vous pouvez aussi venir retirer votre commande à l’AFC, 8 rue Francœur - 75018 Paris
    - Lundi, mardi, jeudi et vendredi entre 10 et 18 heures.

Céline Bozon parle de son travail sur "La France" et "Un homme perdu"

Entretiens avec des directeurs de la photographie

En sortant de La fémis en 1999, Celine Bozon débute avec Jean-Paul Civeyrac sur un film fait de manière très libre, avec très peu d’argent, une équipe toute petite et en vidéo. Cela a donné Fantômes, un long métrage qui est sorti en salle. Ensuite il y a eu Le Doux amour des hommes et Toutes ces belles promesses.
Parallèlement, elle tourne un moyen métrage Mods avec son frère Serge Bozon, puis deux films de Tony Gatlif (Exils et Transylvania). En 2007, la Quinzaine des réalisateurs a sélectionné deux films dont elle a fait l’image : La France, le second long métrage de son frère, et Un homme perdu de la cinéaste libanaise Danielle Arbid.

Josée Deshaies parle de son travail sur "Avant que j’oublie" et "La Question humaine"

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Josée Deshaies est québécoise. Après des études d’histoire de l’art en Italie, elle attaque une formation classique à Montréal en tant que deuxième assistante opératrice, puis passe à la direction de la photo sur des documentaires et courts métrages.
C’est sa rencontre avec Bertrand Bonello qui lui permet de passer au long métrage sur Quelque chose d’organique en 1998.
Depuis, elle a signé l’image de films comme Royal bonbon de Charles Najman, Cache cache d’ Yves Caumon, Les Invisibles de Thierry Jousse ou Tiresia et Le Pornographe de Bertrand Bonello.
Cette année, Josée est à l’affiche de deux films présentés à la Quinzaine des réalisateurs, Avant que j’oublie de Jacques Nolot et La Question humaine de Nicolas Klotz.

Entretien avec le directeur de la photo brésilien Mauro Pinheiro Jr

Entretiens avec des directeurs de la photographie

A l’occasion du soixantième anniversaire du Festival de Cannes, l’AFC a reçu quelques opérateurs étrangers au pavillon que nous partagions avec la CST, présidée par Pierre-William Glenn.
Dans un endroit chaleureusement organisé et animé par Laurent Hébert, délégué général de la CST, nous avons eu l’occasion de rencontrer Mauro Pinheiro Jr, un jeune directeur de la photographie brésilien. Ce n’est pas la première fois qu’il se trouve au festival : il y a de cela deux ans, un des films qu’il avait photographiés était en sélection parallèle Cinema, aspirinas e urubus (Cinéma, aspirines et vautours), premier film de Marcelo Gomes.
Cette année, il est de nouveau sur la Croisette.

A propos du travail de Gérard de Battista sur "Roman de gare" de Claude Lelouch
Sélection officielle, hors compétition

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Roman de gare est le quarantième film de Claude Lelouch en cinquante ans de carrière. Il s’inscrit dans le paysage cannois de l’année 2007 pour un hommage rendu à ce cinéaste français connu dans le monde entier. Et aussi connu par de nombreuses générations – au moins deux ! – puisque Cannes fête, lors de cet hommage, ses cinquante ans de cinéma !
C’est une deuxième collaboration pour Gérard de Battista qui avait déjà tourné Les Parisiens en 2004. Claude Lelouch a fait appel à Gérard surtout pour son expérience des tournages en HD et parce qu’il avait remarqué son excellent travail sur La Petite Lili de Claude Miller.