Denys Clerval

Denys Clerval, un homme délicat
Par Dominique Gentil, AFC

Homme délicat, ce sont les mots qui me viennent pour parler de toi, Denys Clerval.
Dans les années 1980, tu me téléphones pour me proposer de te remplacer pour un court métrage. J’accepte, honoré de ta confiance.

Denys, l’ami
Par Jean-Marc Selva, AFC

J’ai vu Denys Clerval le 8 juin. Il ne parlait que de vie. Que fais-tu ? Quels sont tes projets ? Comment vas-tu ? As-tu vu de beaux films... ? Pas un mot de ses souffrances. Puis, il s’en est allé le lendemain, discrètement, dans une élégance infinie.

Le directeur de la photographie Denys Clerval, AFC, nous a quittés

Les directeurs de la photographie de l’AFC ont la profonde tristesse de faire part du décès de leur confrère et ami Denys Clerval, survenu jeudi 9 juin 2016 des suites d’une longue maladie, à l’âge de quatre-vingt-deux ans. Très attaché à notre association, dans laquelle il fut bien longtemps impliqué, Denys aimait tant faire partie de la famille des opérateurs, dont il était particulièrement fier d’avoir été celui de Baisers volés (1968) et La Sirène du Mississipi (1969), de François Truffaut, de La Vieille dame indigne, de René Allio (1965), et d’Erendira, de Ruy Guerra (1983).