Marie-Jo et ses 2 amours de Robert Guédiguian, photographié par Renato Berta

« Robert m’avait proposé un de ses premiers films, je n’étais pas libre. On dit que si Robert sort de Marseille, il meurt, comme un poisson hors de son bocal, même si, pour ce film, on est allé jusqu’au Frioul ! Son cinéma est apparemment simple, proche d’un certain naturalisme, « je veux que mon père comprenne le film », dit-il. En fait, il existe une lecture à plusieurs niveaux, servie par une mise en scène simple et efficace, avec un bon travail de comédiens. Marie-Jo a deux amours. Nous nous sommes beaucoup interrogés sur la façon de (…)