La Cinémathèque française propose, du 22 avril au 1er juin 2015, une rétrospective des films de Buster Keaton. Né la même année que l’invention du cinématographe, il demeure l’un des plus grands burlesques de l’histoire du cinéma.
La Cinémathèque française a mis en ligne un compte-rendu, rédigé par Enrico Camporesi, des rencontres qui se sont tenues lors de la 3e édition du Festival Toute la mémoire du monde ainsi que quinze vidéos enregistrées au cours de chacune d’elles.
La Cinémathèque française publie en ligne en février 2015 son catalogue illustré des collections d’appareils de la Cinémathèque française et du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
La saison 2014-2015 coïncidera avec le 10e anniversaire de l’installation de La Cinémathèque au 51 rue de Bercy, dans l’immeuble conçu par Franck Gehry. Deux grandes expositions seront proposées cette saison : l’une consacrée à François Truffaut et l’autre à Michelangelo Antonioni.
En écho à l’hommage rendu à William Lubtchansky, AFC, vendredi 4 avril 2014 à la Cinémathèque française, nous publions ci-après in extenso un texte de Ralph Eue paru dans le catalogue de la Viennale 2010 (Festival International du Film de Vienne – Autriche) qui rendait également hommage, à l’époque, au directeur de la photographie.
La Cinémathèque française organise, du 23 avril au 25 mai 2014, une rétrospective de l’un des grands maîtres du cinéma japonais, Yasujiro Ozu. Découvert tardivement en France, il a débuté en 1927 et fera l’essentiel de sa carrière à la Shoshiku.
Comment approcher et saisir l’intimité extrême de personnages cinématographiques ? La directrice de la photographie Caroline Champetier, en 33 ans et environ 70 films, a su répondre à cette question en nouant des liens fidèles avec les cinéastes Xavier Beauvois, Jacques Doillon, Claude Lanzmann, Benoit Jacquot, établissant également des ponts entre Jean-Luc Godard, Arnaud Desplechin, Philippe Garrel et Leos Carax, sans oublier Nobuhiro Suwa ou Amos Gitai. Elle continue d’accompagner de jeunes cinéastes, comme le palestinien Tawfik Abu Wael ou récemment Hélène Zimmer.
Chef opérateur de Godard, Welles, Skolimowski, Pialat, Gainsbourg et plus récemment Garrel, Willy Kurant a suivi, depuis ses débuts dans les années 1950 comme reporter caméraman d’information, un parcours foisonnant, éclectique mais cohérent. Pour rendre compte de son expérience professionnelle, nous avons opté pour le choix forcément arbitraire de sept vies cinématographiques, reliées les unes aux autres.
A l’occasion de la rétrospective organisée, en partenariat avec l’AFC, par la Cinémathèque française du 2 mai au 3 juin 2013, Willy Kurant retrace dans cet article ses débuts, une période d’une dizaine d’années qui, pour beaucoup de directeurs de la photographie en général, est propice à bien des d’expériences.
Pour sa rentrée, le Conservatoire annonce son programme de conférences, pour la saison 2012-2013 – celles-ci ont lieu une fois par mois le vendredi à 14h30. Il est consacré, entre autres, aux différents métiers de la mise en scène : caméras numériques, scripte, effets spéciaux, microcinématographie, prise de son.
Denys Clerval, AFC a récemment offert à la Cinémathèque française une splendide photo de Rosita, qu’Ernst Lubitsch réalisa en 1923 avec Raoul Walsh bien que celui-ci ne soit pas crédité au générique.
La liste des cinéastes avec lesquels Philippe Rousselot a travaillé depuis quarante ans est aussi longue que diversifiée, et nous invite, en termes de programmation, à organiser des collisions d’époques et de styles que nous n’aurions pas forcément imaginées.
L’événement autour de Tim Burton à la Cinémathèque française est non seulement l’occasion jubilatoire de revoir tous ses films (dont ses courts métrages les plus confidentiels) mais aussi, grâce à l’exposition majeure conçue par le MoMA à New York en 2009 et accueillie ici ce printemps, de découvrir ses talents de dessinateur, peintre, vidéaste, photographe, inventeur de sculptures bigarrées et stupéfiantes.
Georges Méliès est né le 8 décembre 1861 à Paris. A l’occasion de cet anniversaire, la Cinémathèque française organise une journée d’études consacrée à ce cinéaste visionnaire, réalisateur de plus de 500 films entre 1896 et 1913.
Ouvert par Costa-Gavras, président de La Cinémathèque française, et Eric Garandeau, président du CNC, le colloque international autour du thème " Révolution numérique : et si le cinéma perdait la mémoire ? ", organisé par La Cinémathèque française et le CNC, en partenariat avec les laboratoires Éclair et Kodak, s’est tenu les 13 et 14 octobre à La Cinémathèque, en présence de nombreux intervenants et d’un très large public. Des délégations d’archives étrangères et régionales (Suisse, Serbie, Norvège, Slovénie, Catalogne, Corse, Grenoble…) ainsi que de la FIAF et de l’UNESCO étaient représentées dans la salle.
Deux journées incontournables vous attendent les 13 et 14 octobre prochains à la Cinémathèque française ! Organisé par le CNC et la Cinémathèque – en partenariat avec Kodak et les Laboratoires Eclair – un colloque au titre explicite réunira en effet les professionnels du monde du cinéma pour réfléchir, débattre et s’informer autour d’une question devenue majeure : " Révolution numérique : et si le cinéma perdait la mémoire ? "
De nombreuses conférences du Conservatoire des techniques cinématographiques, animées mensuellement par Laurent Mannoni, sont en ligne en vidéo sur le site de la Cinémathèque française. Voici quelques liens pour visionner ces vidéos enregistrées pendant les conférences...
Pour tous ceux qui n’auraient encore pu se rendre à la Cinémathèque française et n’auraient donc toujours pas visité l’exposition " Kubrick " dont Kodak est partenaire en vertu de son engagement historique au service de la création et de l’industrie cinématographiques, sachez qu’il vous reste un mois pour y remédier et profiter d’un événement reconnu par toute la profession comme " majeur ".