"Tous les grands films devraient être pareils à des rêves" Entretien avec le directeur de la photographie Christopher Doyle

Revue de presse
En complément d’un article de sa correspondante hongkongaise intitulé "Hong Kong, et la lumière fuit" – relatant la dépose par centaines d’enseignes au néon qui ont été longtemps l’âme emblématique de la ville et l’un des éclats lumineux du cinéma hongkongais –, le quotidien Libération des 25 et 26 novembre publie un entretien dans lequel le directeur de la photographie Chistopher Doyle regrette la gentrification de Hong Kong, la disparition des néons et la fadeur des LEDs qui les remplacent désormais.