Antoine-Basile Mercier

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Articles (30)

L’AFC accueille un nouveau membre actif, Antoine Héberlé, à qui elle souhaite la bienvenue !
Le parrain s’explique ou la présentation d’Antoine Heberlé par Jacques Loiseleux

New members of the AFC…

J’ai rencontré Antoine au Festival de Grenoble en 1997 je crois. Nous étions invités pour animer un " atelier image ". Nous nous sommes tout de suite entendus sur ce sujet, et les propos qu’il tenait sur l’image et le cinéma, ceux de sa génération, étaient très intéressants et démontraient déjà une grande maturité, beaucoup d’honnêteté et de clairvoyance.

Antoine Monod, changer de vie
Par Ariane Damain-Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar

Portraits of cinematographers from the angle of Leica

Le 22 mars 1968, Daniel Cohn-Bendit, âgé de vingt-trois ans, prononce un discours à la faculté de Nanterre dont on s’accorde à penser qu’il est l’élément déclencheur de ce mouvement mondialement connu comme celui de Mai 68, et qui va changer en profondeur la société française. Ce même jour, dans la mairie du quatorzième arrondissement de Paris, les parents d’Antoine Monod – Claude et Isabelle – se marient en secret. En apparence, les deux évènements sont sans rapport, et pourtant...

Bienvenue à Antoine Monod
par Laurent Dailland

New members of the AFC…

Le directeur de la photographie Antoine Monod, nouveau membre actif de l’AFC, nous est présenté par Laurent Dailland, l’un de ses parrains.

Antoine tourne actuellement son 6e long métrage. Il est devenu membre actif juste au début du tournage, nouvelle qui, m’a–t-il dit, lui a donné confiance, tout simplement…
Voilà quelqu’un qui croit à l’AFC et qui défendra bec et ongles la " cinématographie ".

Entretien CNC avec Antoine Héberlé, AFC, à propos de "Fièvre méditerranéenne", de Maha Haj
« Je n’ai aucune règle préétablie pour filmer la comédie » (Antoine Héberlé, AFC)

Press and video interviews

Le directeur de la photographie (Les gens normaux n’ont rien d’exceptionnel, Mademoiselle Chambon…) raconte sa collaboration avec Maha Haj sur Fièvre méditerranéenne. Primé pour son scénario à Un Certain Regard 2022, ce buddy-movie réunit, à Haïfa, un écrivain raté dépressif et un joyeux escroc à la petite semaine. Une comédie qui raconte un mal-être palestinien et la difficulté de trouver sa place en Israël.

Antoine Cormier évoque la fabrication du film "Le Royaume", de Julien Colonna
Par Brigitte Barbier pour l’AFC

Conversations with cinematographers at Cannes 2024

Julien Colonna, pour son premier long métrage, Le Royaume, désire retracer l’histoire d’une jeune fille qui découvre la véritable nature de son père et qui va tenter de l’aimer à tout prix. La relation ainsi tissée ressemble à un parcours initiatique sur les routes de l’île de Beauté. Un film avec des Corses, tourné en Corse, par un cinéaste corse. C’est avec le chef opérateur Antoine Cormier que nous allons nous immerger dans la fabrication de ce thriller à double facette. Après avoir enchaîné des tournages comme assistant caméra pendant trois ans, Antoine Cormier éclaire des courts métrages, des clips et des publicités. Sa passion : tourner en argentique. Lorsqu’il rencontre Julien Colonna sur une pub, ils partagent cette passion et le talent de faire "bien avec peu". Le Royaume est en Sélection officielle à Un Certain Regard au 77e Festival de Cannes. (BB)

Antoine Bonfanti
par Jean-François Robin

Antoine Bonfanti

(Difficile de ne pas écrire " je me souviens " comme le faisait Pérec)

Je me souviens d’Antoine Bonfanti, le premier ingénieur du son que j’aie rencontré dans le cinéma, auréolé d’une gloire toute neuve venue de la Nouvelle Vague. Homme silencieux, aux gestes suggestifs qui réduisaient la parole (la sienne) au minimum, il écoutait. Pour lui la vie n’était que son et bruits qu’il fallait enregistrer.

Je me souviens qu’il aimait bien manger et bien boire. En province, il savait tout des bonnes tables et du bon vin.

Antoine Bonfanti
par Chris Marker

Antoine Bonfanti

On ne résume pas en quelques phrases la complicité de toute une vie. Du moins, le fait d’adresser ces phrases à la Cinémathèque de Corse me permet-il en quelque sorte de boucler une boucle : le tout premier projet dont nous avons parlé, nous deux, quand Antoine était encore assistant aux studios de Boulogne et qu’il était évident, sans que nous ayons eu besoin de l’énoncer, que nous étions faits pour travailler ensemble, était un film sur la Corse. Projet jamais accompli, qui peut modestement figurer à côté d’autres fantômes de films, le (…)