Émilie Monier
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Articles (4)
Un journal de bord du tournage de "120 battements par minute", de Robin Campillo
Par Romain Baudéan
Bookshelf
Romain Baudéan, sorti de l’ENS Louis-Lumière en 2010, compte aujourd’hui plusieurs cordes à son arc : réalisateur, chef opérateur, premier assistant, photographe. Alors qu’il assistait à la caméra Jeanne Lapoirie, AFC, sur le tournage de 120 battements par minute, de Robin Campillo, il a tenu un journal de bord, publié sur son site Internet. A lire ci-après un extrait évoquant les trois premiers jours.
Entretien avec le directeur de la photographie Laurent Brunet, AFC, à propos du film "Pourquoi tu pleures ?" de Katia Lewkowicz
Conversations with cinematographers
Laurent Brunet, AFC a souvent tourné en Israël (Avanim de Raphael Najari, Mon trésor de Keren Yedaya ou Free Zone d’Amos Gitaï). En France, il a récemment signé l’image de films de Christophe Honoré, Lodge Kerrigan ou Martin Provost (Séraphine, César de la meilleure image en 2009). L’année passée à Cannes, c’est aussi lui qui avait signé l’image du Prix du jury (Un homme qui crie de Mahamat Saleh Haroun).
Interview with director of photography Laurent Brunet, AFC, about the film "A Screaming Man" by Mahamat-Saleh Haroun
Official Selection, 2010 Cannes Film Festival
Conversations with cinematographers
Laurent Brunet, who has photographed all of Raphael Nadjari’s films (including Tehilim, selected at Cannes in 2007), has a lot of experience filming abroad. But he didn’t know Africa, which he discovered while collaborating for the first time with Mahamat-Saleh Haroun, the only African to compete at Cannes 2010, with his fourth feature film, A Screaming Man. The original title was A Screaming Man is not a Dancing Bear a quote from The Notebook, Returning Home by the poet Aimé Césaire.
Entretien avec le directeur de la photographie Laurent Brunet, AFC, à propos du film "Un homme qui crie" de Mahamat-Saleh Haroun
Sélection officielle du Festival de Cannes 2010, en compétition
Conversations with cinematographers
Laurent Brunet, qui a photographié tous les films de Raphaël Nadjari (Téhilim, sélectionné à Cannes en 2007), a une grande habitude des tournages à l’étranger. Mais il ne connaissait pas l’Afrique et a découvert ce pays pour une première collaboration avec Mahamat-Saleh Haroun, le seul Africain de la compétition à Cannes avec Un homme qui crie, son quatrième long métrage. A l’origine, le titre complet était Un homme qui crie n’est pas un ours qui danse, une citation du Cahier d’un retour au pays natal du poète Aimé Césaire.
Articles (15)
Le directeur de la photographie Mathieu Bertholet parle du tournage de "L’Été éternité" pour Panavision France
Technical stuff
Le directeur de la photographie Mathieu Bertholet parle du tournage de L’Été éternité, d’Emilie Aussel, tourné avec les moyens techniques de Panavision Marseille.
Et la lumière fut !
Six chef(fe)s opérateurs et opératrices "nouvelle génération" ont la parole
Books and Magazines
Sous le titre quasi biblique "Que la lumière soit !", la revue Bref, éditée par L’Agence du court métrage, publie, dans son numéro 127 – sous-titré "De l’art d’éclairer le réel" –, un dossier donnant la parole à six directrices et directeurs de la photographie de la génération montante, dont le court métrage est le vivier. Des propos de Marine Atlan, Noé Bach, Fiona Braillon, SBC, Paul Guilhaume, AFC, Émilie Noblet et Martin Rit, voici quelques extraits...
Au palmarès du 12e Nikon Film Festival
Other Festivals
Présidé cette année par le réalisateur, acteur et scénariste Gilles Lellouche, le jury de la 12ème édition du Nikon Film Festival, composé de dix membres, a décerné onze prix parmi une sélection de 50 films finalistes. Le thème imposé était "Un rêve". Le Grand prix du jury a été attibué au film Nourrir les cygnes, de Christophe Idéal, et le Prix de la photographie, à Dans ses yeux, d’Adrien Parmentier, avec des images signées Emilie Rezai.
Le directeur de la photographie Laurent Desmet revient sur "Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait", d’Emmanuel Mouret
Conversations with cinematographers
C’est par le biais de sa longue amitié avec le producteur Frédéric Niedermayer que Laurent Desmet a rencontré le réalisateur Emmanuel Mouret en 2005. Même s’ils sont tous les trois issus de La Fémis (mais dans des promotions séparées), ils forment, depuis maintenant huit films, une équipe solide. Avec Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait (sorti en salle en septembre 2020), le réalisateur marseillais signe un nouvel opus autour des relations amoureuses. En faisant se rencontrer cette fois-ci à l’écran Niels Schneider, Camélia Jordana, Emilie Dequenne et Vincent Macaigne. Un film tout en douceur à l’image, où l’héritage photographique de la Nouvelle Vague est très présent. (FR)
L’éditorial de novembre
Par Gilles Porte, président de l’AFC
The Letter’s editorials
« Mon invention sera exploitée pendant un certain temps comme une curiosité scientifique, mais à part cela elle n’a aucune valeur commerciale quelle qu’elle soit. » (Auguste Lumière)
« Tu ne pourras pas te tromper, il y aura une croix qui t’indiquera très précisément l’emplacement de la caméra, juste devant une gouttière... » Les mots de Pierre-William Glenn résonnent dans le train à grande vitesse qui m’emmène en direction de Lyon. Je ne fais pas le voyage seul. Willie m’a confié son plus fidèle lieutenant pour mener à bien une opération que tous les deux connaissent par cœur : La Sortie des usines Lumière 2020...
« Tu ne pourras pas te tromper, il y aura une croix qui t’indiquera très précisément l’emplacement de la caméra, juste devant une gouttière... » Les mots de Pierre-William Glenn résonnent dans le train à grande vitesse qui m’emmène en direction de Lyon. Je ne fais pas le voyage seul. Willie m’a confié son plus fidèle lieutenant pour mener à bien une opération que tous les deux connaissent par cœur : La Sortie des usines Lumière 2020...
Un journal de bord du tournage de "120 battements par minute", de Robin Campillo
Par Romain Baudéan
Bookshelf
Romain Baudéan, sorti de l’ENS Louis-Lumière en 2010, compte aujourd’hui plusieurs cordes à son arc : réalisateur, chef opérateur, premier assistant, photographe. Alors qu’il assistait à la caméra Jeanne Lapoirie, AFC, sur le tournage de 120 battements par minute, de Robin Campillo, il a tenu un journal de bord, publié sur son site Internet. A lire ci-après un extrait évoquant les trois premiers jours.
La directrice de la photographie Emilie Noblet parle de son travail sur "Jeune femme", de Léonor Serraille
Par François Reumont pour l’AFC
Interviews at Cannes
Camarades de promotion 2013 à La fémis, Léonor Seraille et Emilie Noblet ont eu le temps de se côtoyer et travailler ensemble sur des projets d’études. À sa sortie, la réalisatrice a l’opportunité de présenter son scénario de fin d’études à la Cinémathèque pour lequel Emilie Noblet s’est immédiatement sentie attachée. Proposant de l’accompagner sur ce premier long métrage, les deux jeunes femmes se sont lancées dans l’aventure. Jeune femme en est le résultat, projeté en Sélection officielle, section Un certain regard, et concourant pour la caméra d’or... (FR)
Le palmarès de la sélection Un certain regard
65th Cannes Film Festival
Présidé cette année par Tim Roth, le jury de la sélection Un Certain Regard a décerné le Grand Prix à Después de Lucia de Michel Franco, photographié par Chuy Chávez.
Le Prix Spécial du jury a été attribué au Grand soir, réalisé par Benoît Delépine et Gustave Kervern et photographié par Hugues Poulain.
Une Mention spéciale a été décernée au film Djeca (Enfants de Sarajevo), d’Aida Bejic, photographié par Erol Zubcevic.
Les actrices ont eu le beau rôle dans le cru 2012 d’Un Certain Regard. Le jury a préféré ne pas remettre de prix d’interprétation masculin et distinguer ex-aequo Emilie Dequenne pour son rôle dans A perdre la raison de Joachim Lafosse, photographié par Jean-François Hensgens, AFC, SBC, et Suzanne Clément pour son interprétation dans Laurence Anyways de Xavier Dolan, photographié par Yves Bélanger.
Le Prix Spécial du jury a été attribué au Grand soir, réalisé par Benoît Delépine et Gustave Kervern et photographié par Hugues Poulain.
Une Mention spéciale a été décernée au film Djeca (Enfants de Sarajevo), d’Aida Bejic, photographié par Erol Zubcevic.
Les actrices ont eu le beau rôle dans le cru 2012 d’Un Certain Regard. Le jury a préféré ne pas remettre de prix d’interprétation masculin et distinguer ex-aequo Emilie Dequenne pour son rôle dans A perdre la raison de Joachim Lafosse, photographié par Jean-François Hensgens, AFC, SBC, et Suzanne Clément pour son interprétation dans Laurence Anyways de Xavier Dolan, photographié par Yves Bélanger.
Cinematographer JF Hensgens AFC, SBC talks about his collaboration on Joachim Lafosse’s last movie “A perdre la raison”
Conversations with cinematographers
Jean François Hensgens SBC, who joined the AFC in 2010, began his career as First AC on the Dardenne’s brothers movies La Promesse, Rosetta and Le Fils. He was then assisting Alain Marcoen SBC, long time cinematographer of the famous directors.
He photographed his first movie in 2004: Fratricide a film by Yelmas Arslan and then started his collaboration with Olivier Van Hoofstad on the 2 movies: Dikkenek and Go Fast.
Later he shot Banlieue 13-Ultimatum by Patrick Alessandrin, Tête de Turc by Pascal Elbé, Cat Run and Darktide by John Stockwell.
Joachim Lafosse’s last script is based on a real tragic story: a mother of five, killed her children by cutting their throat. This horrible story shocked whole Belgium five years ago.
For this drama, Emilie Dequenne ( Rosetta in the Dardenne’s film) and the partners from Le Prophète , Jacques Audiard’s actors , Niels Arestrup and Tahar Rahim joined the casting.
He photographed his first movie in 2004: Fratricide a film by Yelmas Arslan and then started his collaboration with Olivier Van Hoofstad on the 2 movies: Dikkenek and Go Fast.
Later he shot Banlieue 13-Ultimatum by Patrick Alessandrin, Tête de Turc by Pascal Elbé, Cat Run and Darktide by John Stockwell.
Joachim Lafosse’s last script is based on a real tragic story: a mother of five, killed her children by cutting their throat. This horrible story shocked whole Belgium five years ago.
For this drama, Emilie Dequenne ( Rosetta in the Dardenne’s film) and the partners from Le Prophète , Jacques Audiard’s actors , Niels Arestrup and Tahar Rahim joined the casting.
Articles (3)
Entretien avec le directeur de la photographie Laurent Brunet, AFC, à propos du film "Pourquoi tu pleures ?" de Katia Lewkowicz
Conversations with cinematographers
Laurent Brunet, AFC a souvent tourné en Israël (Avanim de Raphael Najari, Mon trésor de Keren Yedaya ou Free Zone d’Amos Gitaï). En France, il a récemment signé l’image de films de Christophe Honoré, Lodge Kerrigan ou Martin Provost (Séraphine, César de la meilleure image en 2009). L’année passée à Cannes, c’est aussi lui qui avait signé l’image du Prix du jury (Un homme qui crie de Mahamat Saleh Haroun).
Interview with director of photography Laurent Brunet, AFC, about the film "A Screaming Man" by Mahamat-Saleh Haroun
Official Selection, 2010 Cannes Film Festival
Conversations with cinematographers
Laurent Brunet, who has photographed all of Raphael Nadjari’s films (including Tehilim, selected at Cannes in 2007), has a lot of experience filming abroad. But he didn’t know Africa, which he discovered while collaborating for the first time with Mahamat-Saleh Haroun, the only African to compete at Cannes 2010, with his fourth feature film, A Screaming Man. The original title was A Screaming Man is not a Dancing Bear a quote from The Notebook, Returning Home by the poet Aimé Césaire.
Entretien avec le directeur de la photographie Laurent Brunet, AFC, à propos du film "Un homme qui crie" de Mahamat-Saleh Haroun
Sélection officielle du Festival de Cannes 2010, en compétition
Conversations with cinematographers
Laurent Brunet, qui a photographié tous les films de Raphaël Nadjari (Téhilim, sélectionné à Cannes en 2007), a une grande habitude des tournages à l’étranger. Mais il ne connaissait pas l’Afrique et a découvert ce pays pour une première collaboration avec Mahamat-Saleh Haroun, le seul Africain de la compétition à Cannes avec Un homme qui crie, son quatrième long métrage. A l’origine, le titre complet était Un homme qui crie n’est pas un ours qui danse, une citation du Cahier d’un retour au pays natal du poète Aimé Césaire.
movies (8)
Annie Colère
by Blandine Lenoir
Produced by Aurora Films
Cinematography by
Céline Bozon, AFC
Read the technical data
Selon la police
by Frédéric Videau
Cinematography by
Céline Bozon, AFC
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Énorme
by Sophie Letourneur
Produced by Avenue B Productions, Vito Films
Cinematography by
Laurent Brunet, AFC
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Les Estivants
by Valeria Bruni-Tedeschi
Produced by Ad Vitam, Agat Films & Cie / Ex Nihilo
Cinematography by
Jeanne Lapoirie, AFC
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