Éric Faucherre

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Articles (1)

Se souvenir de Max Pantera, charmant et talentueux professionnel
Par Dominique Le Rigoleur, AFC

Max Pantera

J’ai eu le privilège de bénéficier des compétences et du talent de cadreurs assez rarement : Eric Faucherre, pour deux films de Jean-Charles Tacchella, et Max Pantera pour La Lectrice, de Michel Deville, par exemple. C’était à chaque fois des cadreurs qui avaient l’habitude de travailler avec ce réalisateur-là, ce qui rendait le travail beaucoup plus facile. Ils possédaient les clés de la collaboration et travaillaient avec beaucoup d’aisance. En outre, c’étaient des personnes extrêmement chaleureuses.

Articles (30)

Eric Gautier, AFC, a never-ending desire
by Ariane Damain Vergallo for Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

As a child, Eric Gautier spends a long time in his grandmother’s flower shop in the Paris suburb of Bondy. He daydreams while devouring the Tintin comic albums (conceived and designed by Belgian artist-auteur Hergé), not knowing yet that his desire for cinema would be born right there in the midst of mortuary crowns and that, much later, he would say : "I owe everything to Hergé".

"Éric Rohmer au temps 
de la convention collective"
Par Diane Baratier, AFC

Revue de presse

L’Humanité, 19 avril 2013

Films à petits budgets condamnés ? Récemment dans la presse, la démarche courageuse d’Éric Rohmer comme cinéaste a été utilisée pour défendre un point de vue personnel de production. Il a été dit que Rohmer, si la nouvelle convention collective était appliquée le 1er juillet 2013, n’aurait pas pu faire ses films.

Eric Gautier, AFC, un perpétuel désir
Par Ariane Damain Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

Quand il était enfant, Eric Gautier passait de longs moments à Bondy, dans le magasin de fleurs de sa grand-mère. Il rêvassait en dévorant les albums de Tintin, ne sachant pas encore que son désir de cinéma naîtrait là, au milieu des couronnes mortuaires, et qu’il dirait bien plus tard : « Je dois tout à Hergé ».

Où Éric Dumont, AFC, parle de son travail sur "Suprêmes", d’Audrey Estrougo

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Eric Dumont, AFC, a commencé sa carrière sur des documentaires, puis il a éclairé plusieurs films de Stéphane Brizé : La Loi du marché, En guerre, Un autre monde. Il poursuit sa carrière éclectique en signant l’image du dernier film d’Audrey Estrougo, Suprêmes, présenté en Sélection officielle (Séance de Minuit) au 74e Festival de Cannes. (BB)

Eric Gautier, AFC, à l’honneur dans les pages du quotidien "Libération"

Revue de presse

Le quotidien Libération, qui consacre habituellement sa dernière page au portrait d’une personnalité digne d’intérêt, trace, dans son édition du mardi 3 novembre, celui de notre confrère le directeur de la photographie Eric Gautier, AFC.
« Eric me fait penser au premier poisson qui a mis l’œil dehors car il avait par hasard des pattes », dit de lui avec humour le réalisateur Alain Resnais, dont Eric a photographié le dernier film, Les Herbes folles. Et Alain Resnais de s’expliquer : « Curieux et ouvert à tout, dépourvu d’a priori, Eric sort perpétuellement la tête pour voir si c’est mieux de vivre dans ou hors de l’eau ».

Cinematographer Eric Gautier, AFC, discusses his work on Xavier Giannnoli’s film “The Apparition”
Filming the invisible, by François Reumont on behalf of the AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Eric Gautier, AFC, answers a question regarding the potential paradox of filming a movie about a hypothetical apparition by the Virgin Mary with a smile and a recollection about the beginning of his adventure with Xavier Giannoli : “It’s a bit of a challenge to film the mystery of faith. The love of God is like any sort of love : there is no tangible proof, just the gift of oneself. Sincerity (and lies, like in other of Giannoli’s films) is at the heart of the story. The loneliness of the two characters, Jacques (Vincent Landon) and Anna (Galatea Bellugi) is the spark that sets the story in motion.”

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Se souvenir de Max Pantera, charmant et talentueux professionnel
Par Dominique Le Rigoleur, AFC

Max Pantera

J’ai eu le privilège de bénéficier des compétences et du talent de cadreurs assez rarement : Eric Faucherre, pour deux films de Jean-Charles Tacchella, et Max Pantera pour La Lectrice, de Michel Deville, par exemple. C’était à chaque fois des cadreurs qui avaient l’habitude de travailler avec ce réalisateur-là, ce qui rendait le travail beaucoup plus facile. Ils possédaient les clés de la collaboration et travaillaient avec beaucoup d’aisance. En outre, c’étaient des personnes extrêmement chaleureuses.