Gaël Lemire-Vienne
Assistanat caméra
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Articles (24)
Une peau de chagrin Catherine Schwartz, chef monteuse

Intermittence, Convention collective, Assurance-chômage
Dans ce climat délétère qui règne autour de l’extension de la Convention collective à la production cinématographique, je ne peux m’empêcher de revisiter mes trente années passées dans les salles de montage et ressentir une profonde amertume, voire un certain écœurement qui pourrait me laisser sans voix mais continuant à aimer mon métier, je choisis d’écrire ces quelques lignes.
Le Micro Salon 2012 en images, 3e et dernière partie Reportage photographique de Pauline Maillet

2012
Dans le troisième et dernier volet de son reportage photographique, Pauline Maillet termine sa visite guidée du 12e Micro Salon en s’attachant aux stands situés sur les deux plateaux du niveau + 2 de La fémis.
- Voir ou revoir la première partie et la deuxième partie du reportage de Pauline Maillet.
Le Micro Salon 2011 en images Reportage photographique de Philippe Brelot pour l’AFC

2011
Cette année, l’AFC s’est adressée au chef opérateur Philippe Brelot pour qu’il vienne poser son regard sur ce 11e Micro Salon. Laissez-vous guider à travers La fémis au gré de ses rencontres, d’étage en étage, de stand en stand, et attardez-vous avec lui sur quelques-uns des visages, connus ou moins connus, qu’il a saisis à travers les lentilles de son objectif.
La visite débute dans la cour et au rez-de-chaussée, se poursuit au sous-sol, en faisant le détour d’un plateau à l’autre, et se termine au 2e étage. Entrez, entrez, la visite va commencer...
La visite débute dans la cour et au rez-de-chaussée, se poursuit au sous-sol, en faisant le détour d’un plateau à l’autre, et se termine au 2e étage. Entrez, entrez, la visite va commencer...
Agenda du lundi 21 mai
Agendas
- Le film AFC du jour
Sélection officielle, hors compétition
Boxes de Jane Birkin, photographié par François Catonné
Lire l’entretien que François a accordé à Brigitte Barbier à propos de son travail sur Boxes.
- Les films non AFC du jour...
Quinzaine des réalisateurs
Après lui de Gaël Morel, photographié par notre confrère Jean-Max Bernard.
- Contact AFC : +33 (0)6 03 50 09 28
Billy Wilder est mort personne n’est parfait
In memoriam
Né Samuel Wilder, près de Vienne, le 28 juin 1906, il avait été surnommé Billy par sa mère. Après des études de droit, il s’oriente vers le journalisme, croise le chemin de personnalités de l’époque, dont Schnitzler et Freud. Installé ensuite à Berlin, il gagne sa vie comme danseur mondain, avant d’entrer aux studios de l’UFA en 1927. On l’y emploie à polir ou à écrire des scénarios.
Lorsque Hitler accède au pouvoir en 1933, Billy Wilder prend aussitôt le train pour Paris. Il y réalise "Mauvaise graine", comédie avec la toute jeune Danielle Darrieux, puis gagne les Etats-Unis. A Hollywood, Ernst Lubitsch fait appel à lui pour écrire, avec Charles Brackett, l’adaptation d’une pièce de boulevard d’Alfred Savoir, "La Huitième femme de Barbe-Bleue". Il fera de nouveau équipe avec Brackett en 1939 pour une autre comédie de Lubitsch, "Ninotchka", et pour "La Baronne de minuit", de Mitchell Leisen.
De cette époque, il gardera toujours le souvenir du génie de Lubitsch, avec lequel il partage un passé berlinois. Wilder expliquait que tout au long de sa carrière de metteur en scène, il n’a jamais cessé de se poser une seule question : « Comment Lubitsch aurait tourné cette scène ? »
Lorsque Hitler accède au pouvoir en 1933, Billy Wilder prend aussitôt le train pour Paris. Il y réalise "Mauvaise graine", comédie avec la toute jeune Danielle Darrieux, puis gagne les Etats-Unis. A Hollywood, Ernst Lubitsch fait appel à lui pour écrire, avec Charles Brackett, l’adaptation d’une pièce de boulevard d’Alfred Savoir, "La Huitième femme de Barbe-Bleue". Il fera de nouveau équipe avec Brackett en 1939 pour une autre comédie de Lubitsch, "Ninotchka", et pour "La Baronne de minuit", de Mitchell Leisen.
De cette époque, il gardera toujours le souvenir du génie de Lubitsch, avec lequel il partage un passé berlinois. Wilder expliquait que tout au long de sa carrière de metteur en scène, il n’a jamais cessé de se poser une seule question : « Comment Lubitsch aurait tourné cette scène ? »