Guillaume Rocheron

Effets spéciaux

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Guillaume Rocheron, superviseur d’effets spéciaux "oscarisé"

Revue de presse

Dans son édition du samedi 22 février 2020, le quotidien Le Parisien a publié un article dans lequel Renaud Baronian revient sur l’Oscar des Effets visuels obtenu par Guillaume Rocheron (partagé avec Greg Butler et Dominic Tuohy) pour le travail effectué sur 1917, de Sam Mendes, « le seul Français récompensé le 9 février, après avoir déjà remporté une statuette en 2013 pour L’Odyssée de Pi, d’Ang Lee ».

Articles (30)

Le tournage de "La Sortie des usines Lumière" par Wim Wenders sous le regard de Guillaume Le Grontec, AFC

Billets d’humeur

Les frères Lumière tournent le premier plan de cinéma en filmant la sortie de leur usine, à Lyon, en 1895. Il en existe trois versions : c’est donc bien la première mise en scène de cinéma, ce hangar : son premier décor. Ce qu’ils ignoraient, c’est que plus d’un siècle après eux, d’autres reproduiraient, adapteraient leur scène, le premier plan.

Guillaume Deffontaines : The Laughing Man
By Ariane Damain Vergallo, for Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

The time : the 1980s. The place : A commuter train between Paris and the suburb of Chaville. On one of the faux-leather seats, lies a Leica R6 camera its owner must have left behind. A photo-loving teenager stares at it as if it were the Holy Grail. Honesty, however, along with the secret hope of - perhaps - recovering it some day, compels Guillaume Deffontaines to bring it to the railway company’s Lost and Found Department. His exceptional memory also brings him back to the Department — just in case ! — exactly a year and a day later.

Guillaume Schiffman, the order - and concept - of merit
By Ariane Damain-Vergallo for Leitz Cine Weltzar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

In 2017, the Ministry of Culture offered cinematographer Guillaume Schiffman to honor him by making him “Knight of the National Order of Merit.” Being offered that so-evocatively named reward pleased the man no end... but he never finished filling the proper documents and never went to fetch it.

Le rire de Guillaume Deffontaines, AFC
Par Ariane Damain Vergallo, pour Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

Dans les années 1980, abandonné sur la banquette de moleskine du train de banlieue Paris-Chaville, il y a un appareil photo Leica R6, un objet incroyablement attirant pour un adolescent passionné de photo. L’honnêteté, doublée du secret espoir de le récupérer un jour, commande alors à Guillaume Deffontaines de le signaler aux objets trouvés de la SNCF et une excellente mémoire lui commande également de venir rechercher l’objet un an après, pile poil.

À propos d’"Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu", de Guillaume Canet
"André Chemetoff, l’art de l’extrême", par Ariane Damain-Vergallo

Rencontres, Projections, Diffusions

Ce 29 juillet 2021, le soleil commence à disparaître de l’horizon teintant le ciel de couleurs mordorées. Après 65 jours de tournage, le réalisateur Guillaume Canet tourne la dernière séquence du film le plus attendu et le plus cher de l’année : Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu.

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Guillaume Rocheron, superviseur d’effets spéciaux "oscarisé"

Revue de presse

Dans son édition du samedi 22 février 2020, le quotidien Le Parisien a publié un article dans lequel Renaud Baronian revient sur l’Oscar des Effets visuels obtenu par Guillaume Rocheron (partagé avec Greg Butler et Dominic Tuohy) pour le travail effectué sur 1917, de Sam Mendes, « le seul Français récompensé le 9 février, après avoir déjà remporté une statuette en 2013 pour L’Odyssée de Pi, d’Ang Lee ».