Diane Baratier

Director of photography

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Entretien avec Diane Baratier, AFC, à propos de son documentaire "Portrait de mon père, Jacques Baratier"
L’envers du désordre

Press and video interviews

L’œuvre de Jacques Baratier est un continent méconnu, un archipel d’une dizaine de longs métrages et d’une vingtaine de documentaires, en attente d’être exploré.
De dix ans l’aîné des enfants terribles de la Nouvelle Vague (exception faite de Rohmer dont il est quasi contemporain), Jacques Baratier n’obtiendra jamais les faveurs des Cahiers du cinéma.

La directrice de la photographie Diane Baratier, AFC, parle du travail de restauration de "Dragées au poivre", de Jacques Baratier

Interviews at Cannes

Diane Baratier a reçu en héritage de son père le soin de s’occuper de ses films. C’est après plusieurs années de travail juridique et de récupération des négatifs qu’elle présente à Cannes Classics Dragées au poivre, le film le plus populaire de ce cinéaste, poète et artiste peintre qu’était Jacques Baratier. (FR)

Parution du livre "Du pillage au don", de Diane Baratier et Jean Monod

Books and Magazines

« L’origine des États se perd dans un mythe auquel on doit croire et qu’on ne
doit pas discuter », écrivait Marx en 1848. En rapportant l’invention de la civilisation à la création des États il y a 5 500 ans à Uruk, Du pillage au don, ouvrage que Diane Baratier, AFC, a co-écrit avec Jean Monod et qui vient de paraître, aide à comprendre dans quel temps nous vivons.

Les marches du palais
par Diane Baratier

Cannes film festival 2005

Les codes du savoir-faire du festival de Cannes sont condensés dans la montée des marches.
C’était la première fois que je me rendais dans la capitale du cinéma et je m’y suis retrouvée le premier soir dans le rôle de la provinciale. Etant parisienne, cela m’a beaucoup plu. Je n’avais pas les bonnes chaussures. J’étais gauche. Je ne comprenais rien. Mais j’étais là.

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Kiss Me Deadly…
par Jean-Noël Ferragut

Cannes Film Festival 2009

Dans l’éditorial de la dernière Lettre, Caroline Champetier écrivait à propos du Festival qu’« il n’y a pas de limitation de vitesse à Cannes... ». Continuons sur sa lancée en usant, par métaphore et course automobile interposées, d’un style qui semble lui être cher.
Si la vitesse est effectivement de mise sur le circuit de la Croisette, les festivaliers ne carburent pas tous à plein régime... Question de mécanique, d’entraînement, de volonté, de chrono, ou tout simplement de pilote !

Paul Guilhaume, AFC, looks back at the technical challenges of shooting Jacques Audiard’s "Emilia Perez"
"Les Passantes", by François Reumont

Conversations with cinematographers at Cannes 2024

Successfully combining family drama, a narcotics thriller, and a musical ending with a Georges Brassens song is not an easy task. This is the extraordinary challenge that Jacques Audiard set himself with Emilia Perez, the strangest and most original film of the 77th Cannes selection. And since its 12-minute standing ovation at the Grand Théâtre Lumière, one of the most serious contenders for the Palme d’Or. Paul Guilhaume, AFC, who also worked on Audiard’s previous film, Paris, 13th District, shares the behind-the-scenes details of this unique project, which required nearly three years of preparation. He discussed, among other things, the reproduction of Mexico in a Paris studio and how rhythm influenced his visual approach to the film (FR).

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