Douglas Law

Le site de Kodak propose à ses visiteurs internautes une série d’entretiens en anglais avec plus d’une trentaine de cinéastes, réalisateurs pour certains mais directeurs de la photographie pour la majorité. Chaque entretien est illustré d’un portrait du photographe Douglas Kirkland.
Ainsi, on pourra lire les propos, entre autres, d’Affonso Beato, ABC, ASC, Christian Berger, AAC, Raoul Coutard ou encore Chris Menges, BSC, ASC.

• Prenez connaissance de la liste complète des entretiens mis en ligne et, ci-après, de la page consacrée à Raoul Coutard...

• Journée du mardi 23 mai 2006

• Les films AFC du jour
• En Sélection officielle
• Flandres de Bruno Dumont, photographié par Yves Cape
  Projections à 12h et 22h30 au Grand Théâtre Lumière.

  Lire l’entretien accordé par Yves Cape à propos de Flandres

• En Sélection officielle Un certain regard
• Bihisht faqat baroi murdagon (Pour aller au ciel il faut mourir) de Djamshed Usmonov, photographié par Pascal Lagriffoul.
  Projection à 16h30 au Théatre Claude Debussy.

  lire le texte que nous a fait parvenir Pascal Lagriffoul.

• Hors compétition
• Zidane, un portrait du 21^e siècle de Philippe Parreno et Douglas Gordon, photographié par Darius Khondji

  A lire, le texte de Darius Kondji.

• Membres de l’AFC présents à Cannes

  Michel Amathieu, Jean-Jacques Bouhon, président de l’AFC, Jean-Noël Ferragut, vice président de l’AFC, Pierre-William Glenn, président de la CST, Jean-Michel Humeau, Darius Khondji, Pierre Milon, Jean-Louis Vialard et toujours, bien sûr, Nathalie d’Outreligne, qui sera présente pendant toute la durée du Festival.

  Suite de l’agenda(...)

L’idée de départ de Zidane, un portrait du 21^e siècle n’a jamais été de réaliser un documentaire, mais une œuvre conceptuelle d’une heure et demie - le temps précis d’un match de foot - réalisée par deux artistes vidéo : Philippe Parraino et Douglas Gordon. (...)

La ressortie sur les écrans, le 21 novembre 2018, dans une version restaurée, de The Fallen Idol (Première désillusion), un film de Carol Reed datant de 1948, nous offre l’opportunité de revenir sur la carrière exemplaire d’un chef opérateur français dont le parcours, comme le travail, ont marqué le premier demi-siècle de l’histoire du cinéma, d’abord en France puis en Grande-Bretagne.