Éric Faucherre

J’ai eu le privilège de bénéficier des compétences et du talent de cadreurs assez rarement : Eric Faucherre, pour deux films de Jean-Charles Tacchella, et Max Pantera pour La Lectrice, de Michel Deville, par exemple. C’était à chaque fois des cadreurs qui avaient l’habitude de travailler avec ce réalisateur-là, ce qui rendait le travail beaucoup plus facile. Ils possédaient les clés de la collaboration et travaillaient avec beaucoup d’aisance. En outre, c’étaient des personnes extrêmement chaleureuses.

Eric Guichard est en Namibie pour tourner le nouveau film d’Eric Valli.
Avant de partir il nous a confié quelques photos de repérage.

Il nous a envoyé quelques photos de tournage, prises dans le décor dont nous avions publié des images de repérage sur notre site.

Nous avons appris avec tristesse le décès du premier assistant réalisateur Eric Pujol, à l’âge de 63 ans. Il a travaillé auprès, entres autres réalisateurs, de Mathieu Kassovitz, Cédric Klapisch, Samuel Benchetrit ou encore Jalil Lespert ; il était membre de l’AFAR. Cells et ceux qui l’auront côtoyé garderont de lui son professionnalisme, sa générosité sans faille et son extrème disponibilité. Pierre Aïm, AFC, et Romain Lacourbas, AFC, ASC, témoignent.

Lors des préparatifs de la voiture travelling Oldsmobile Sky Rocket 1961 de Bernard Chateau exposée dans la cour de La fémis et de la caméra Panavision R 200° installée sur sa plate-forme arrière, Gérard de Battista, AFC, et Jean-Noël Ferragut, AFC, ont rassemblé leurs souvenirs et joué les assistants opérateurs. Eric Dumage, AFC, qui passait par là, en a fixé les meilleurs moments...

Sur France Culture à l’heure du déjeuner, des convives – artistes, personnalités du monde de la culture et des idées – prennent place à table. Ce lundi 23 décembre 2019, le directeur de la photographie Eric Gautier, AFC, était l’invité d’Olivia Gesbert, productrice de La Grande table, le magazine culturel de la mi-journée sur France Culture. Il y a parlé, comme tout invité, de ses pratiques artistiques, de ses passions créatrices, le tout avec un regard subjectif sur le monde qui l’entoure.

As a child, Eric Gautier spends a long time in his grandmother’s flower shop in the Paris suburb of Bondy. He daydreams while devouring the Tintin comic albums (conceived and designed by Belgian artist-auteur Hergé), not knowing yet that his desire for cinema would be born right there in the midst of mortuary crowns and that, much later, he would say: "I owe everything to Hergé".

Eric Garandeau, président du CNC, a présenté ce mardi 22 mai, dans le grand salon de l’hôtel Majestic, le bilan 2011 du CNC à l’ensemble des professionnels et à la presse, en présence d’Aurélie Filippetti, ministre de la Culture et de la Communication.

• Lire le texte de l’intervention d’Eric Garandeau sur le site du CNC.

Quand il était enfant, Eric Gautier passait de longs moments à Bondy, dans le magasin de fleurs de sa grand-mère. Il rêvassait en dévorant les albums de Tintin, ne sachant pas encore que son désir de cinéma naîtrait là, au milieu des couronnes mortuaires, et qu’il dirait bien plus tard: « Je dois tout à Hergé ».

Le prix Vulcain de l’Artiste - Technicien a été décerné à l’unanimité par le jury de la CST à Eric Gautier, directeur de la photographie de deux longs métrages présentés à Cannes en compétition officielle: Clean d’Olivier Assayas et Diarios de motocicleta (Carnets de voyage) de Walter Salles.

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J’ai eu le privilège de bénéficier des compétences et du talent de cadreurs assez rarement : Eric Faucherre, pour deux films de Jean-Charles Tacchella, et Max Pantera pour La Lectrice, de Michel Deville, par exemple. C’était à chaque fois des cadreurs qui avaient l’habitude de travailler avec ce réalisateur-là, ce qui rendait le travail beaucoup plus facile. Ils possédaient les clés de la collaboration et travaillaient avec beaucoup d’aisance. En outre, c’étaient des personnes extrêmement chaleureuses.