Hou Hsiao-hsien
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Le palmarès du 68e Festival de Cannes annoncé

Festival de Cannes 2015
Le Grand Prix a été décerné à László Nemes pour Saul Fia (Le Fils de Saul), photographié par Mátyás Ederly ; le Prix de la Mise en scène, à Hou Hsiao-Hsien pour Nie Yinniang (The Assassin), photographié par Mark Lee Ping-Bin ; le Prix du Scénario, à Michel Franco pour Chronic, photographié par Yves Cape, AFC, SBC (lire ou relire son entretien).
Revue de presse A mi-parcours, "Un certain regard" fait la part belle aux jeunes cinéastes par Jean-François Rauger
festival de Cannes 2007
Le Monde, 23 mai 2007
Après avoir débuté avec deux grands noms du cinéma d’auteur international, Hou Hsiao-hsien et Barbet Schroeder, la section Un certain regard de la Sélection officielle s’est davantage consacrée à la présentation d’oeuvres de jeunes cinéastes, prenant le pari de la découverte. Si l’on met à part Mon frère est fils unique, de Daniele Luchetti, chronique tragi-comique ultra-convenue de l’Italie des années 1970, il n’y eut, jusqu’à la fin de son premier week-end, que des premiers ou des seconds films de fiction proposés au public du festival.
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Le palmarès du 68e Festival de Cannes annoncé

Festival de Cannes 2015
Le Grand Prix a été décerné à László Nemes pour Saul Fia (Le Fils de Saul), photographié par Mátyás Ederly ; le Prix de la Mise en scène, à Hou Hsiao-Hsien pour Nie Yinniang (The Assassin), photographié par Mark Lee Ping-Bin ; le Prix du Scénario, à Michel Franco pour Chronic, photographié par Yves Cape, AFC, SBC (lire ou relire son entretien).
Revue de presse A mi-parcours, "Un certain regard" fait la part belle aux jeunes cinéastes par Jean-François Rauger
festival de Cannes 2007
Le Monde, 23 mai 2007
Après avoir débuté avec deux grands noms du cinéma d’auteur international, Hou Hsiao-hsien et Barbet Schroeder, la section Un certain regard de la Sélection officielle s’est davantage consacrée à la présentation d’oeuvres de jeunes cinéastes, prenant le pari de la découverte. Si l’on met à part Mon frère est fils unique, de Daniele Luchetti, chronique tragi-comique ultra-convenue de l’Italie des années 1970, il n’y eut, jusqu’à la fin de son premier week-end, que des premiers ou des seconds films de fiction proposés au public du festival.