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Interview with Yves Cape, AFC, SBC, about "New Order", by Michel Franco, selected at the 2020 Venice Film Festival

Entretiens avec des directeurs de la photographie

The Mexican filmmaker Michel Franco (Después de Lucia, Les Filles d’Avril, Chronic…) portrays in his new film a popular revolt in the heart of the Mexican capital and its repercussions on society. Preferring a progressive narration from a single starting point (a big wedding party in high society), we observe the different layers of society coexist before suddenly everything explodes. For cinematographer Yves Cape, AFC, SBC, this film marks his fourth time alongside this director who has won several awards at Cannes. New Order is a film shot entirely in Mexico City in six weeks in the spring of 2019, and winner of the Silver Lion at the 2020 Venice Film Festival (FR)

Entretien avec Yves Cape, AFC, SBC, à propos de "Nuevo orden", de Michel Franco, sélectionné à la Mostra de Venise 2020
Les rêves de certains

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Le cinéaste mexicain Michel Franco (Después de Lucia, Les Filles d’avril, Chronic...) s’intéresse avec son nouveau film au portrait d’une insurrection populaire en pleine capitale du Mexique et à ses répercussions dans la société. Prenant le parti pris d’une narration progressive à partir d’un lieu unique de départ (une grande fête de mariage dans la haute société), on observe les différentes couches de la société cohabiter avant que soudain tout n’explose... C’est Yves Cape, AFC, SBC, qui signe pour la quatrième fois l’image au coté de ce réalisateur plusieurs fois primé à Cannes. Un film entièrement tourné à Mexico en six semaines au printemps 2019, sélectionné en compétition au Festival de Venise 2020, après avoir été dans la liste des films cannois. (FR)

L’éditorial de juin
Par Gilles Porte, président de l’AFC

Editoriaux de la Lettre

J’avais 20 ans… Le volcan colombien Nevado del Ruiz, situé à plus de 5 300 mètres d’altitude, entre en éruption après 140 ans de sommeil… La neige et la glace fondent sous l’effet de la chaleur... Des milliers de tonnes de boue et de cendres dévalent la pente et ensevelissent la ville d’Armero Guayabal... Omayra Sanchez, 13 ans, a les jambes coincées sous la boue, dans la structure en ciment du toit de sa maison… Je me souviens de ce qu’elle dit à un secouriste : « Je voudrais pouvoir sortir… J’ai déjà manqué l’école… Je vais perdre mon année… » L’agonie d’Omayra Sanchez dure 60 heures… Ces images font le tour du monde et bouleversent celles et ceux qui les découvrent…

A Chat with Filmmaker Phedon Papamichael, ASC, GSC
By François Reumont for the AFC

Les entretiens à Camerimage

Looking back at the beginnings of his career and his education, Phedon Papamichael admits that he didn’t attend a cinema school. “I was originally a photographer, and I learned to make movies on the job, by filming lots of short films using the Éclair 16 camera that I owned at the time.” Bit by bit, he went from short films to feature-length films under the guidance of Roger Corman of Concorde Pictures, for whom, beginning in 1989, he signed off on a number of low-budget B series films produced in a fortnight. At that time, he began to work with a number of his future colleagues, Raphel Sanchez, who was a key grip and later became a gaffer, Wally Pfister, who is one of his sparks, and Janusz Kaminski, who was also working as a gaffer at that time.

In his own words : A Conversation with Phedon Papamichael, ASC, GSC
By Madelyn Most

Propos et entretiens

After Cannes in May and Camerimage in November, Alexander Payne’s Nebraska, photographed by Phedon Papamichael, ASC, GSC, was honored at the American Society of Cinematographers Awards in February where many attending delighted in the rumor that Nebraska would upset Gravity and steal the top prize. Afterall, cinematographers were voting for what they recognize to be the year’s greatest achievement in lighting and photography, not visual effects. The rich black and white imagery has a raw and simple beauty that is unique today ; it defiantly counterpoints the glossy, artificial, commercial-advertising look found in most other Hollywood Studio movies.

Humour très noir à la cérémonie des Goyas
Par Sandrine Morel

Revue de presse

Le Monde, 20 février 2013
« Bonsoir Monsieur le Ministre. Comment va la famille ? Non, ce n’est pas une menace ! » Les rires fusent, dimanche 17 février, dans la salle du Palais des congrès de Madrid. Le ministre de l’éducation, de la culture et du sport, José Ignacio Wert, esquisse un sourire mal à l’aise, et la comique Eva Hache, présentatrice de la 21e cérémonie des Goyas, les César du cinéma espagnol, continue : « Félicitations ! On ne doit pas vous le dire souvent en ce moment. Mais félicitations ! Je le dis parce que c’est bientôt votre anniversaire. Pour le reste, non, bien sûr. »

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