Jean Cocteau
Réalisation
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Articles (4)
Ouverture du Musée Méliès à la Cinémathèque française
Expositions et Musées
L’ouvrage Méliès : La magie du cinéma, de Laurent Mannoni, paru en novembre 2020, aurait dû accompagner l’ouverture – alors suspendue – du Musée Méliès à la Cinémathèque française. Celle-ci ayant repris son cours quasi normal depuis le 19 mai, c’est livre en mains et yeux grands ouverts que l’on pourra découvrir, tout au long du parcours, plus de trois cents machines, costumes, affiches, dessins et maquettes issus de sa collection Méliès et celle du CNC.
Parution d’"Henri Alekan - Le Vécu et l’Imaginaire" Un recueil de souvenirs présenté par José-Louis Bocquet et Philippe Pierre-Adolphe
Livres et revues
En avril 1987, Philippe Pierre-Adolphe et José-Louis Bocquet rencontraient Henri Alekan dans le cadre d’un reportage réalisé dans sa propriété en Bourgogne ; âgé de 78 ans, il était au sommet de sa carrière. Plus de dix ans après, en 1999, une première édition du Vécu et l’Imaginaire paraît aux éditions de La Sirène évoquant ses souvenirs. En octobre 2019, une réédition est publiée, complétée et enrichie de textes inédits bénéficiant d’une iconographie issue des archives d’Henri Alekan, déposées à la Cinémathèque française par son épouse Nada.
Projection à Cannes Classics de "Panique", de Julien Duvivier, photographié par Nicolas Hayer
Festival de Cannes 2015
Dans le cadre des projections Cannes Classics, le film Panique (1946), réalisé par Julien Duvivier et photographié par Nicolas Hayer, fut présenté par TF1 DA. Le négatif original ayant disparu, restauration en 2K chez Digimage, membre associé de l’AFC, à partir du marron nitrate. Marc Salomon, membre consultant de l’AFC, décrit la carrière de Nicolas Hayer, directeur de la photographie ayant photographié les films de Henri-Georges Clouzot, Julien Duvivier, Jean Cocteau, Jean-Pierre Melville.
Clermont-Ferrand : tempête sur la cérémonie de clôture
Festivals
Amis lecteurs et collègues (dans le sens où nous sommes tous dans le même paquebot).
La cérémonie de clôture du dernier Festival de Court Métrage de Clermont-Ferrand fut cette année un bric-à-brac symptomatique de la période délicate que traverse le cinéma dans son ensemble. Nous lisons dans la presse et entendons sur le sujet des échos confus. Ayant été témoin aux premières loges, il me semble nécessaire d’en démêler un peu l’écheveau car il n’y eu, ce soir-là, salle Jean Cocteau, pas un, mais au moins trois sujets de revendications et polémiques.
La cérémonie de clôture du dernier Festival de Court Métrage de Clermont-Ferrand fut cette année un bric-à-brac symptomatique de la période délicate que traverse le cinéma dans son ensemble. Nous lisons dans la presse et entendons sur le sujet des échos confus. Ayant été témoin aux premières loges, il me semble nécessaire d’en démêler un peu l’écheveau car il n’y eu, ce soir-là, salle Jean Cocteau, pas un, mais au moins trois sujets de revendications et polémiques.
Films (2)
Les Parents terribles
de Jean Cocteau
Photographié par
Michel Kelber, AFC
La Belle et la bête
de Jean Cocteau
Photographié par
Henri Alekan, AFC