Jean Rouch
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Jean-Pierre Beauviala (1937-2019) La ville criminogène, le son concomitant et... un chat sur l’épaule

Jean-Pierre Beauviala
L’histoire d’Aaton fut d’abord et toujours celle d’un homme, Jean-Pierre Beauviala, au parcours singulier et unique dans l’histoire du cinéma et de ses techniques. Certes son nom vient s’ajouter à une liste de pionniers et industriels français, d’Etienne-Jules Marey et Louis Lumière à André Coutant et Pierre Angénieux, mais il incarne plus que les autres un certain génie français, cartésien et intuitif, considérant que trouver les bonnes réponses exige de se poser d’abord les bonnes questions afin de fournir les outils adaptés aux besoins de chacun.
Les gentils ronrons de l’Aaton Par Gérard de Battista, AFC

Jean-Pierre Beauviala
En février 1973, Jean Rouch me demande de participer à un tournage "évènement" à l’occasion du Festival de courts métrages de Grenoble : un film sur ce festival, tourné avec une toute nouvelle caméra, en pellicule noir et blanc inversible envoyée au labo chaque soir à Paris et montée dès son retour développée pour que le film soit montré terminé à la fin du festival.
Les archives Aaton à la Cinémathèque française Par Laurent Mannoni, membre consultant de l’AFC

Jean-Pierre Beauviala
« Je suis le Ciné-Œil. Je suis un bâtisseur. Je me libère de l’immobilité humaine. Mon chemin mène à la création d’une perception inédite du monde. C’est pourquoi je déchiffre d’une manière nouvelle un monde qui vous est inconnu… »
(Dziga Vertov, juin 1923).
(Dziga Vertov, juin 1923).
"Et Beauviala réinventa la caméra" Entretien avec Jean-Pierre Beauviala, par Clarisse Fabre

Revue de presse
Le Monde, 12 octobre 2016
Louis Malle, Jean Rouch, Eliane de Latour, Peter Greenaway, Raymond Depardon, Xavier Beauvois... Tous ont tourné au moins une fois avec une Aaton. Cette petite caméra sur l’épaule, révolutionnaire, est née au début des années 1970, après les Caméflex d’Eclair utilisées par les cinéastes de la Nouvelle Vague.
Louis Malle, Jean Rouch, Eliane de Latour, Peter Greenaway, Raymond Depardon, Xavier Beauvois... Tous ont tourné au moins une fois avec une Aaton. Cette petite caméra sur l’épaule, révolutionnaire, est née au début des années 1970, après les Caméflex d’Eclair utilisées par les cinéastes de la Nouvelle Vague.
Entretien avec le directeur de la photographie Jean-Louis Vialard à propos de "17 Filles" de Delphine et Muriel Coulin

Entretiens avec des directeurs de la photographie
Jean-Louis Vialard, AFC, ne s’est intéressé qu’assez tard au cinéma. Originaire du Cantal, il avoue lui-même qu’il n’était pas allé plus de vingt fois au cinéma avant ses vingt-deux ans. Après une formation d’ingénieur interrompue et de nombreux voyages, il décide de tenter le concours de l’Ecole Louis-Lumière et parvient à y entrer.
Sa passion pour la nature, doublée de son admiration pour les films de Jean Rouch, le pousse également à faire du documentaire à travers le monde. Depuis il partage son temps entre les tournages de publicités, des collaborations avec des artistes plasticiens et les longs métrages Dans Paris de Christophe Honoré, Qu’un seul tienne et les autres suivront de Léa Fehner ou Tropical Malady d’Apitchatpong Weerasethakul. Il revient à Cannes en 2011 avec un long métrage coréalisé par sa compagne et la sœur de cette dernière, Delphine et Muriel Coulin.
Un premier film intégralement filmé avec des appareils photo Canon 1D et 5D.
Sa passion pour la nature, doublée de son admiration pour les films de Jean Rouch, le pousse également à faire du documentaire à travers le monde. Depuis il partage son temps entre les tournages de publicités, des collaborations avec des artistes plasticiens et les longs métrages Dans Paris de Christophe Honoré, Qu’un seul tienne et les autres suivront de Léa Fehner ou Tropical Malady d’Apitchatpong Weerasethakul. Il revient à Cannes en 2011 avec un long métrage coréalisé par sa compagne et la sœur de cette dernière, Delphine et Muriel Coulin.
Un premier film intégralement filmé avec des appareils photo Canon 1D et 5D.
Où Claude, Evelyne et bien d’autres cessèrent de se languir au fond d’une boîte à chaussures... par Eric Dumage, AFC, et Jean-Noël Ferragut, AFC

Actualités AFC
Le hasard fait parfois bien les choses. Nous sommes un dimanche soir, juste avant la fermeture du dernier Salon des vieux papiers – il s’est tenu en février, pour la première fois cette année sous la Halle Freyssinet (Paris 13e) –, quand une boîte en carton rectangulaire ne payant pas de mine, à première vue, du genre boîte à chaussures passablement écornée, attire notre attention.
Sur celle-ci, remplie à ras bord d’une pile de petits tirages photographiques (13 x 18 au plus), de toute évidence d’époque, on peut lire, écrit en travers de la main du marchand qui la propose, la mention " Collection Chevereau ". Ça alors !
Sur celle-ci, remplie à ras bord d’une pile de petits tirages photographiques (13 x 18 au plus), de toute évidence d’époque, on peut lire, écrit en travers de la main du marchand qui la propose, la mention " Collection Chevereau ". Ça alors !
Héritiers de Jean Rouch par Gérard de Battista

In memoriam
Jean Rouch est mort le 18 février, il y a plus d’un mois maintenant. J’aurais dû écrire quelque chose dans la Lettre du mois de mars, tout de suite après, encore sous le choc.
J’écris rarement. J’ai du mal à poser quatre mots sur un papier pour vous présenter les films au moment de leur sortie, alors là...
J’écris rarement. J’ai du mal à poser quatre mots sur un papier pour vous présenter les films au moment de leur sortie, alors là...
Jean Rouch par Jimmy Glasberg Vendredi 20 février 2004.

Jean Rouch
Assis dans le TGV qui me conduit vers Avignon, je lis \" Libé \" qui rend hommage à un de nos Ciné-Père : Jean Rouch.
Il vient de nous quitter victime d’un accident de la route sur le sol de sa chère Afrique...
Il vient de nous quitter victime d’un accident de la route sur le sol de sa chère Afrique...
Films (1)
Paris vu par...
de Claude Chabrol, Jean Douchet, Jean-Luc Godard, Jean-Daniel Pollet, Eric Rohmer et Jean Rouch
Photographié par
Alain Levent, AFC