En
Fr
" La Disgrâce de Jean-Sébastien Bach "
de Jean François Robin (éditions Climats)
« Un roman, loin du cinéma et des caméras. Un autre moyen de faire d’autres images, simplement avec des situations et des mots. Plus d’équipe et plus de plan de travail, une discipline quotidienne et solitaire.
Le livre parle de musique et d’histoire, plus précisément de Jean-Sébastien Bach, un Jean-Sébastien Bach de trente-deux ans, qu’un prince de Weimar aigri et maladroit a mis aux arrêts, en novembre 1717, pendant quatre semaines. Pour des raisons obscures. De cette période, on ne sait rien, sinon les dates de l’enfermement et de la libération. Un vide biographique inespéré où il suffisait de s’engouffrer pour imaginer le fil de ces 25 jours, avec jubilation et rigueur, après avoir beaucoup lu sur le sujet et après avoir enfin trouvé un style qui fût conforme à celui de cette époque où les princes font des caprices, le pouvoir est absolu et la liberté fragile.
Dans ce livre, j’ai essayé d’imaginer comment Bach, face aux stupidités, aux turpitudes et aux intrigues des petites cours comme celle de Weimar, a pu survivre, résister et fasciner Lucas Traum, son gardien (imaginaire).
Puisse ce roman en forme de chronique vous donner l’envie, entre deux tournages, d’écouter cette sublime musique et de vous suggérer encore et encore des images. »
(Jean-François Robin)
Le livre parle de musique et d’histoire, plus précisément de Jean-Sébastien Bach, un Jean-Sébastien Bach de trente-deux ans, qu’un prince de Weimar aigri et maladroit a mis aux arrêts, en novembre 1717, pendant quatre semaines. Pour des raisons obscures. De cette période, on ne sait rien, sinon les dates de l’enfermement et de la libération. Un vide biographique inespéré où il suffisait de s’engouffrer pour imaginer le fil de ces 25 jours, avec jubilation et rigueur, après avoir beaucoup lu sur le sujet et après avoir enfin trouvé un style qui fût conforme à celui de cette époque où les princes font des caprices, le pouvoir est absolu et la liberté fragile.
Dans ce livre, j’ai essayé d’imaginer comment Bach, face aux stupidités, aux turpitudes et aux intrigues des petites cours comme celle de Weimar, a pu survivre, résister et fasciner Lucas Traum, son gardien (imaginaire).
Puisse ce roman en forme de chronique vous donner l’envie, entre deux tournages, d’écouter cette sublime musique et de vous suggérer encore et encore des images. »
(Jean-François Robin)
