Luky Luc Drion
Par Yves Cape, AFC, SBCJ’ai beaucoup de mal à écrire sur toi, Luc. Cela fait 25 ans que nous nous connaissions. Tu as été mon professeur à l’INSAS, j’ai été ton stagiaire, ton deuxième, ton premier.
Tu n’étais pas mon " frère ", pas mon " père ", pas mon " maître ", pas un " ami ", mais un peu de tout ça, en même temps.
Tu n’étais pas mon " frère ", pas mon " père ", pas mon " maître ", pas un " ami ", mais un peu de tout ça, en même temps.
Ça fait beaucoup pour un seul homme, mais tu as toujours eu pour moi les bons mots, les bons gestes, de ceux qui font réfléchir, qui encouragent, qui poussent et finalement qui m’ont fait grandir.
Sous tes apparences " rustres ", tu étais d’une tendresse infinie, je donnerais tellement pour une de tes " accolades d’affection " brutale mais tellement chaleureuse !
Je ne peux pas penser à Manon, à Raphaël, à Edna, à Chantal sans un flot de larmes ininterrompu. J’espère que nos souvenirs leur apporteront un peu de paix et de réconfort.
Luky Luc, je t’embrasse fort, à un de ces jours sans doute, pleins de bises.