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De retour d’IBC 2023 à Amsterdam
Par Michel Benjamin, AFC

IBC

Imaginez tous les pavillons (ou plus) de la porte de Versailles dédiés à l’Image : sa fabrication, sa diffusion, son transport et son exploitation. 45 000 visiteurs de 170 pays avec plus de 1 250 exposants sur 4 jours (15 au 18 septembre 2023), c’est dire l’engouement et le nombre de personnes et de sociétés que peut rassembler un tel salon : rassemblés sur 15 Halls, j’avoue n’en avoir visité que 4 et principalement un où était regroupés l’essentiel de nos membres associés et des exposants directement liés à la fabrication de l’Image, le domaine qui nous concerne.

Dans l’actualité du mois de TSF

Technique

TSF félicite les douze œuvres sélectionnées au Festival de la Fiction TV tournées avec les moyens techniques du Groupe, dont quatre photographiées par des membres de l’AFC. En septembre 2023, huit sorties au cinéma de films tournés avec les moyens techniques de TSF, dont trois photographiés par des membres de l’association, et vingt-quatre longs métrages et fiction TV en tournage, dont dix photographiés par des membres de l’AFC.

Robert Yeoman, ASC, partage ses choix sur "Asteroid City", de Wes Anderson, Greg Fromentin complétant ses propos
"Sous le soleil exactement", par François Reumont pour l’AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Après la France et la région d’Angoulême (The French Dispatch), Wes Anderson et son équipe ont planté cette fois-ci leur barnum en Espagne. Asteroid City est pourtant un film qui transpire l’Amérique des années 1950 à 200 % à l’image, avec une mise en scène résolument théâtrale assumée dès le prologue. Robert Yeoman, ASC, dont la carrière a démarré en 1985 au côté de William Friedkin sur le mythique Police fédérale, Los Angeles, vient partager les grands choix de mise en scène et de photographie de cette nouvelle fable nostalgique où le désert fordien et la SF viennent se télescoper. (FR)

Robert Yeoman, ASC, shares his choices on Wes Anderson’s "Asteroid City", Greg Fromentin adding to his words
"Cuando calienta el sol", by François Reumont for the AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie

After shooting The French Dispatch in France in Angoulême, Wes Anderson and his crew decided to set their new film in Spain’s desert. For Asteroid City is therefore a very brilliant hommage to 1950’s America and to stage play, as the prologue says. Robert Yeoman, ASC, whose long filmography notably includes William Friekin’s masterpiece To Live and Die in L.A. (1985) shares his lensing and lighting choices on this new nostalgic fable, where John Ford’s desert and SF imagery are sometimes meeting. (FR)

Director of photography Pierre Dejon discusses his work on Just Philippot’s "Acide"
Death from above, by François Reumont, for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

What if rain suddenly became deadly ? In the context of global warming, and worries increasing about this upcoming’s summer water reserves, this initial idea holds a meaning of its own.
This is Acide’s take, Just Philippot’s second feature film, screened during the Official Selection, at the Midnight showing, this year, at the Cannes Film Festival. Guillaume Canet plays a divorced father, living under probation with an electronic tagging device, trying to protect his daughter in the midst of a sudden eco-climatic disaster. Pierre Dejon, the film’s director of photography, talks to us about the challenges of such a project, and in particular the difficulty of filming in the rain... when it’s sunny. (FR)

Le directeur de la photographie Pierre Dejon parle de son travail sur "Acide", de Just Philippot
"La mort qui vient du ciel", par François Reumont pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

Et si la pluie devenait mortelle ? En ces temps de réchauffement climatique et de questionnement sur les réserves d’eau pour l’été qui arrive, cette idée de départ prend une tournure encore plus terrifiante. C’est l’argument d’Acide, deuxième long métrage de Just Philippot projeté en Sélection Officielle en Séance de minuit cette année au Festival de Cannes. Guillaume Canet y incarne un père divorcé, vivant sous bracelet électronique, tentant de protéger sa fille au milieu d’une catastrophe éco-climatique soudaine. Pierre Dejon, qui a signé les images du film, vient nous expliquer les enjeux d’un tel projet, et notamment la difficulté de tourner sous la pluie... en plein soleil. (FR)

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