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Réponse à la question posée dans la Lettre 144
par Fujifilm

Livres et revues

Quel est le lien entre Séverine Barde, Malik Brahimi, Irène Champedale, Julie Conte, Philippe Corday, Jean-Yves Delbreuve, Fabrizio Doerig, Nicolas Duchêne, Isabelle Dumas, Vincent Jeannot, Valentine Perrin, Antoine Pierlot, Vincent Plaidy, Gilles Porte, Nathalie Savale et Denis Siestrunck ?

Mettons les paillettes de côté
Cannes 2005 vu par Laurent Dailland

Billets d’humeur

Pour me rendre chez Fuji mes hôtes, une courte promenade sur la Croisette me replonge dans quelques souvenirs : mon premier passage au festival de Cannes... C’était en 1993. Comme beaucoup d’entre nous j’ai travaillé sur de nombreux films qui auraient dû " aller à Cannes " ! (Cela ne s’est d’ailleurs jamais présenté !). Accompagné de mon ami Pascal Gennesseaux et de deux caméras Panavision, nous étions là pour tourner les premières images de La Cité de la peur, le film des " Nuls ". Et c’est là que j’ai rencontré le comédien Alain Chabat, qui ne savait pas encore qu’il serait un jour réalisateur ! Je dois l’admettre : « On fait des rencontres, à Cannes. »

Cannes depuis ma fenêtre
par Hugo Boris, étudiant à l’ENS Louis Lumière

Billets d’humeur

Petit-déjeuner au Majestic avec les membres du jury du Prix Vulcain. On met en avant qu’il faut bien veiller à récompenser un technicien et non un film, afin d’éviter toute confusion. Un peu plus tard, on évoque la difficulté à discriminer la part d’un technicien dans une œuvre.
(Hugo Boris, étudiant à l’ENS Louis Lumière, était l’un des membres du jury du Prix Vulcain décerné par la CST.)

Cinéaste-cinéphile
par Alain Corneau

Billets d’humeur

Texte d’Alain Corneau lu en ouverture des 4es journées Répertoire-Patrimoine qui se sont tenues les 31 mars et 1er avril 2005 à La fémis.

Je suis de la race des " cinéastes-cinéphiles " ou, selon les moments, des " cinéphiles-cinéastes ". Je suis également d’une génération qui a grandi sous le soleil magique du faisceau des projecteurs, dans l’obscurité bénie d’une multitude de salles de cinéma qui, dans ma mémoire, n’enforme qu’une seule.

Un sucre ou deux ?
par Jean-Noël Ferragut

Billets d’humeur

Il y a trois mois environ, dans un billet de la Lettre de février, Agnès Godard interrogeait la cantonade sur l’éventualité de me proposer de " m’occuper " de la Lettre plutôt que d’engager pour cela une personne " spécialisée ". « Au moins », écrivais-tu Agnès, « me demander si cela me conviendrait »...

" Mysterious Skin ", mutant chez MK2
par Didier Peron

Revue de presse

Libération, 16 avril 2005

Le film de Gregg Araki est projeté en numérique alors qu’il a été tourné en 35 mm. La décision de sortir le film dans un format différent de son format d’origine ne va donc pas de soi. D’autant que l’auteur, Gregg Araki, et Fortissimo, le vendeur international, n’étaient pas au courant. Le public non plus.

A lire : " L’Intermittent du Spectacle "
de Frédéric Chhum (éditions Juris-Classeur Litec)

Livres et revues

Frédéric Chhum est avocat au Barreau de Paris. Il pratique le conseil et le contentieux en droit social. C’est le 1er guide juridique sur le statut des intermittents du spectacle depuis la réforme de 2003. L’ouvrage présente en 17 chapitres les différents aspects du régime juridique qui leur est applicable. Compte tenu du caractère évolutif de la matière, une mise à jour régulière de L’Intermittent du Spectacle est disponible gratuitement par téléchargement sur Internet.

Remue-méninges
rubrique animée par Charlie Van Damme

Billets d’humeur

La rubrique remue-méninges commence à prendre consistance et à voler de ses propres ailes.
Trois textes viennent ce mois-ci l’enrichir. L’un d’entre eux mérite un mea culpa.
Le mois dernier, Charlie Van Damme avait pris la peine de rédiger une NDLR pour nous permettre, en rappelant quelques informations basiques, de mieux digérer le Repas de tournage de Diane Baratier et de comprendre l’origine des gargouillis émis par certains projecteurs. Cette note devait prendre place dans ladite rubrique, mais cela n’a pas été fait, par omission. Aucune excuse, si ce n’est une légère surchauffe neuronale due à la préparation du Micro Salon...

Au premier siècle
par Francine Lévy

Billets d’humeur

Au premier siècle, Pline l’ancien, prenant sa plume pour écrire ce qui sera la première histoire de l’Art de notre ère, notait avec quelque amertume que les images n’étaient plus ce qu’elles avaient été, et que celles qu’on voyait maintenant étaient beaucoup moins " ressemblantes ". Quelles étaient ces images si ressemblantes qu’il semblait regretter ?