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Alain Bergala responsable du plan " Le cinéma à l’école " en résume les enjeux et la situation actuelle

Revue de presse

Le Monde, 26 mars 2002

Avant la mise en place du plan, il y avait, d’une part, un petit nombre de classes spécialisées du secondaire à thématique cinéma, menant à cette option au bac, et, d’autre part, des dispositifs mixtes mis en place conjointement par l’éducation nationale et le ministère de la culture, avec le partenariat de salles mobilisées par ces objectifs.

Du cahier pratique au DVD
Jean-Michel Frodon

Revue de presse

Le Monde, 26 mars 2002

La mise en place du plan " Cinéma à l’école " s’accompagne de l’édition de documents de travail, imprimés ou sur écran. La version la plus classique est fournie par Les Petits Cahiers, coédités par les Cahiers du cinéma et le Centre national de la documentation pédagogique (CNDP).

La rédemption d’Hollywood cinquante ans après, une exposition sur le maccarthysme

Revue de presse

Libération, 6 février 2002

" Les Rouges et la liste noire ", exposition sur la chasse aux sorcières dans les années d’après-guerre est installée au cœur d’Hollywood, dans l’immeuble des Oscars et de la vénérable Academy of Motion Picture Arts and Sciences. Il aura fallu un demi-siècle pour que l’institution officielle du cinéma américain s’offre un retour sur cette période sombre.

Jeanne Lapoirie de Ozon à Ozu

Propos et entretiens divers

Le paysage cinématographique est mutant. L’importance de bouleversements technologiques incessants n’échappe pas aux techniciens français. Les yeux de la nouvelle génération des « chefs op’ » sont souvent sans visage, quasiment sans voix. Et Jeanne Lapoirie, l’une de ses chefs de file, d’avouer elle-même « ne pas aimer parler de son travail ».
C’est pourtant à elle que nous avons demandé deux ou trois choses. Pour son parcours, symptomatique d’une position de curiosité et d’ambivalence revendiquée.

Caroline Champetier
La femme invisible

Propos et entretiens divers

A lire dans le Télérama du 26 janvier 2002, un entretien intitulé La femme invisible, que Caroline Champetier a accordé à la revue. Elle y évoque longuement le tournage de Cet amour-là de Josée Dayan.
Revenant sur son parcours, elle précise, également, les influences qui déterminent ses choix de lumière.
« Je trouve que les mots font peur aux images. Les plus beaux plans de Bergman ou Antonioni n’ont sûrement pas été déflorés par des mots... »
Caroline Champetier