Propos et entretiens divers

Où Alexandre Sokourov parle de Bruno Delbonnel, AFC, ASC, entre autres

A lire, des propos d’Alexandre Sokourov sur "le népotisme, la vilenie de l’intelligentsia, l’appauvrissement culturel, le délaissement de la province, la violence, la beauté, l’espoir, la musique, la littérature russe, Faust, Bruno Delbonnel, le format 4/3, l’absence de liberté en art, l’autodiscipline, l’agression, la peur de la mort, le suicide, le Printemps de Prague, Les Voix spirituelles, Confession, Le Deuxième cercle"...

"Le Futur" vu par les directeurs de la photographie

Début 2012, la Britannique Madelyn Most rassemblait les points de vue d’une douzaine de directeurs de la photographie anglo-saxons au sujet de l’impact que peuvent avoir les technologies numériques sur notre travail et nos responsabilités au quotidien. Son enquête s’enrichit aujourd’hui de propos similaires qu’elle a recueillis auprès de dix directeurs de la photo français, membres de l’AFC.

Le numérique, tous en scène !
Entretien avec Michel Abramowicz, AFC, par Alain Coiffier

D’emblée, lorsque je lui demande de se situer par rapport au numérique, Michel Abamowicz a une position claire : « Je ne suis pas pour la sacralisation de la pellicule. Je pense que cette révolution technique est – comme toutes les révolutions – une chance. En tous les cas, c’est comme cela que je l’accueille car, à moi, elle me permet de reprendre mon élan. »

Où Philippe Rousselot, AFC, ASC, parle de son travail...

A l’occasion de la rétrospective de trente de ses films, en partenariat avec l’AFC, du 28 mars au 3 mai, Philippe Rousselot, AFC, ASC, a accordé à la Cinémathèque française un entretien des plus passionnant qu’elle nous propose en grand format.

  • Voir cet entretien, sur le site de la Cinémathèque, dans la suite de cet article...

"Je ne suis pas sûr d’avoir un style"
Entretien avec Philippe Rousselot, AFC, ASC

Dans son édition datée du 23 mars 2012, l’hebdomadaire Le film français publie un entretien avec le directeur de la photographie Philippe Rousselot, AFC, ASC, à l’occasion de la rétrospective des films qu’il a photographiés qu’organisent ensemble la Cinémathèque française et l’AFC – du 28 mars au 3 mai 2012.

Responsabilité - et réputation - du directeur de la photographie
Des propos de Peter MacDonald, BSC

Dans une série de onze entretiens recueillis à Plus Camerimage 2011 par la journaliste britannique Madelyn Most, des directeurs de la photographie font part de leurs réactions concernant l’impact des technologies numériques sur leurs responsabilités et leur travail au quotidien.
Nous publions ici la traduction en français des propos du DP britannique Peter MacDonald, BSC.

Le numérique n’est plus le "parent pauvre" du cinéma
Des propos de Newton Thomas "Tom" Sigel, ASC

Dans une série de onze entretiens recueillis à Plus Camerimage 2011 par la journaliste britannique Madelyn Most, des directeurs de la photographie font part de leurs réactions concernant l’impact des technologies numériques sur leurs responsabilités et leur travail au quotidien.
Nous publions ici la traduction en français des propos du DP américain Tom Sigel, ASC.

Vieux jeu, mais amoureux de la pellicule
Des propos de John Seale, ACS, ASC

Dans une série de onze entretiens recueillis à Plus Camerimage 2011 par la journaliste britannique Madelyn Most, des directeurs de la photographie font part de leurs réactions concernant l’impact des technologies numériques sur leurs responsabilités et leur travail au quotidien.
Nous publions ici la traduction en français des propos du DP australien John Seale, ACS, ASC.

"La paternité de l’image" en péril
Des propos de Stephen Goldblatt, ASC, BSC

Dans une série de onze entretiens recueillis à Plus Camerimage 2011 par la journaliste britannique Madelyn Most, des directeurs de la photographie font part de leurs réactions concernant l’impact des technologies numériques sur leurs responsabilités et leur travail au quotidien.
Nous publions ici la traduction en français des propos du DP américain Stephen Goldblatt, ASC, BSC.

Cinematographer Romain Winding, AFC, speaks about his work on "Les Adieux à la Reine", a film by Benoît Jacquot

Les Adieux à la reine (after the eponymous novel by Chantal Thomas) tells the story of Sidonie (Léa Seydoux), who was Marie Antoinette’s (Diane Kruger) reader, who was fascinated by the Queen. The story unfolds at Versailles during the regime’s last days of July 14-16 1789.
This is the eighth film I’ve shot with Benoît Jacquot. We are used to and trust one another, which allows us to become even more creative every time we work together.

Le numérique bouleverse-t-il le travail et les responsabilités du directeur de la photo ?

Lors du dernier festival Camerimage, fin novembre 2011, pas mal de bruit aurait été fait non seulement autour des nouvelles caméras mais aussi de l’impact que peuvent avoir les technologies numériques sur le travail et les responsabilités des directeurs de la photographie au quotidien. Le film est-il réellement dépassé ? A ce sujet, la journaliste anglaise Madelyn Most a recueilli les propos des onze DoP anglo-saxons suivants...

Quand un grand quotidien britannique s’intéresse aux directeurs de la photographie

Dans son édition datée du jeudi 30 juin 2011, le quotidien britannique The Guardian a publié une série de petits entretiens, accordés par huit directeurs de la photographie anglo-saxons à la journaliste-écrivain Emine Saner, sous le titre " The artists’ artist : cinematographers – Leading lensers choose their favourite living cinematographer ".

Pour Kodak, "Film no compromise" est toujours d’actualité !

Dans le cadre de sa campagne "Film no compromise", Kodak a, cette fois, donné la parole au directeur de la photographie Wally Pfister, ASC, dont le nom est à tout jamais associé à celui du réalisateur Christopher Nolan avec qui il a collaboré sur de nombreux films, et non des moindres : Memento, Insomnia, Batman Begins, The Dark Knight (Le Chevalier noir) ou le plus récent Inception.

Entretien avec Diane Baratier, AFC, à propos de son documentaire "Portrait de mon père, Jacques Baratier"
L’envers du désordre

L’œuvre de Jacques Baratier est un continent méconnu, un archipel d’une dizaine de longs métrages et d’une vingtaine de documentaires, en attente d’être exploré.
De dix ans l’aîné des enfants terribles de la Nouvelle Vague (exception faite de Rohmer dont il est quasi contemporain), Jacques Baratier n’obtiendra jamais les faveurs des Cahiers du cinéma.