Annick Joffre

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Annick Mullatier nous a quittés

Annick Mullatier

Les directrices et directeurs de la photographie de l’AFC ont appris avec tristesse la nouvelle du décès d’Annick Mullatier, survenu à Paris, mardi 30 juin 2020, à l’âge de 72 ans. Avec sa disparition, le monde du cinéma - celui des tournages en particulier, de la production à la fabrication des images en passant par la réalisation - perd l’une des plus attachantes figures qui lui a été donné de rencontrer. Durant les quelque trente années passées chez Fiaji puis Fujifilm, Annick aura su tisser, entre bonne humeur et trésor d’humanité, des liens singuliers, parfois amicaux, avec nombre d’entre nous, prenant toujours soin de mettre au second plan son aptitude à faire commerce de la pellicule.

Annick Mullatier partie, vient le temps des témoignages

Annick Mullatier

Peu après la nouvelle du décès d’Annick Mullatier connue, de nombreux témoignages nous sont parvenus évoquant son souvenir et lui rendant hommage. Directrices et directeurs de la photographie, parfois ses amis, et anciens collaborateurs l’ayant côtoyée chez Fiaji puis Fuji éclairent d’une lumière particulière la personnalité d’Annick, dont l’une des qualités majeures fut la discrétion.

Chère Annick
par Eric Guichard

In memoriam

Chère Annick,

Alors jeune opérateur, je me souviens aujourd’hui comme hier du premier jour où je suis venu rue Pierre-Charron, sans rendez-vous, un peu perdu et anxieux, me présenter à vous et découvrir vos pellicules.

Chère Annick Mullatier
par Eric Guichard

Côté profession

Quand tu liras ces lignes, peut-être seras-tu déjà loin des pensées que chaque jour tu as eues pour nous, directeurs de la photographie.

Ton départ n’est pas seulement dommage pour Fujifilm, c’est avant tout une perte pour nous et je veux te dire combien je te remercie et combien d’autres que moi te remercient.

Raretés et carte blanche autour des métiers de l’image - Le chef op’ mis en lumière à L’industrie du rêve
par Annick Peigne-Giuly

Revue de presse

Libération, 8 décembre 2005

C’est par la projection du film de Laurent Cantet, Vers le sud, que s’est ouvert mardi le festival L’Industrie du rêve dédié aux techniciens du cinéma.

Cette sixième édition, consacrée à la lumière et placée sous l’égide d’Henri Alekan, mort en 2001, alterne projections et colloques. Après les monteurs ou les chefs déco, ce sont les techniciens de l’image dont l’art est ici distingué.

Merci César,
par Dominique Bouilleret

Billets d’humeur

Quand nous sommes sortis de la salle de cinéma, nous avons gentiment remercié nos hôtes, Annick et Christophe de Fujifilm, qui nous avaient conviés à une séance de 2046, de Wong Kar-wai, à l’UGC Bercy.
C’est en effet Christophe, comme tenait à le préciser Annick, qui a lancé l’idée de " spammer " ses contacts avec cette invitation autour d’un film tourné en Fuji et d’un déjeuner pour prolonger cet instant.