François Ede
Direction de la photographie
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Articles (30)
Mélodie Preel, cheffe opératrice, et Jean Rabasse, ADC, chef décorateur, nous parlent du tournage de "Becoming Karl Lagerfeld", de Jérôme Salle "Le mercenaire de la mode", par François Reumont pour l’AFC

Les entretiens de Camerimage 2024
Dans la famille des séries biopics "Becoming Karl Lagerfeld" (diffusée par Disney+) plonge le spectateur dans le Paris des années 1970 en s’intéressant aux débuts du kaiser de la mode. Un projet co-écrit par la journaliste Raphaëlle Bacqué (dont la biographie Kaiser Karl était parue en 2019, quelques mois après la disparition du couturier). C’est le cinéaste Jérôme Salle ( L’Odyssée, autre biopic consacré à Jacques-Yves Cousteau, sorti en 2016) qui est aux commandes (relayé sur la série par Audrey Estrougo), l’image étant signée par la directrice de la photographie Mélodie Preel (relayée par Mahdi Lepart). Elle vient nous parler de ce tournage avec le chef décorateur Jean Rabasse, ADC, alors que cette série TV est en compétition à Camerimage 2024 pour la Grenouille d’or. (FR)
Juan Palacios revient sur "As the Tide Comes In", documentaire qu’il a réalisé et mis en images "L’île du roi Gregger", par François Reumont pour l’AFC

Les entretiens de Camerimage 2024
Entièrement filmé sur la petite île de Mandø, située sur la côte sud-ouest du Danemark, le documentaire du cinéaste basque Juan Palacios est à la fois un portrait tendre de ses habitants, et un témoignage de la vie qui continue tant bien que mal face à la montée des eaux et au réchauffement climatique. Tourné en format 2,35 sphérique par le réalisateur lui-même, le film oscille résolument entre le documentaire pour le fond et une certaine stylisation très cinématographique pour la forme. On revient avec lui sur ce tour de force de plusieurs années depuis la période pandémique entre les premiers contacts avec les autochtones, le tournage et la finalisation du film, projeté à Camerimage en Séance spéciale Documentaire. (FR)
Juan Palacios looks back at "As the Tide Comes In", the documentary he directed and lensed "The Island of King Gregger", by François Reumont for the AFC

Les entretiens de Camerimage 2024
Entirely filmed on the small island of Mandø, located on the southwest coast of Denmark, Basque filmmaker Juan Palacios’ documentary is both a tender portrait of its inhabitants and a testimony to life continuing against all odds in the face of rising sea levels and climate change. Shot in a 2.35:1 aspect ratio by the director himself, the film resolutely oscillates between a documentary approach in its content and a highly cinematic stylization in its form. We revisit with him this exploit, which took several years, spanning from the pandemic to the initial interactions with the locals, the filming, and the finalization of the film. This documentary is in competition for the Golden Frog award for Best Cinematography in Toruń.
Articles (11)
La couleur en question, quatre vidéos de la journée "Histoires de la couleur à l’écran" en ligne

Cinémathèque française
Début mars 2021, la Cinémathèque française mettait en ligne sur son site Internet les vidéos de quatre conférences programmées lors de la journée de rencontres internationales "Histoires de la couleur à l’écran", qui s’est tenue dans le cadre du festival Toute la mémoire du monde, en mars 2020. Pour résumer brièvement leur titre, il était question de "Vers la couleur", "La couleur en noir et blanc", "Les aventures de la pellicule Ferraniacolor" et "Des images tournées avec le procédé Keller-Dorian".
"Le Toit de la baleine", de Raoul Ruiz, photographié par Henri Alekan François Ede se souvient...

Histoire de la cinématographie
Dans le cadre de sa plateforme Internet "Henri", la Cinémathèque française propose de redécouvrir ce film de Raoul Ruiz, tourné en Hollande, en 1982. Le Toit de la baleine est une fable ethnographique censée se situer dans d’improbables paysages de Patagonie. Nous avons demandé à François Ede, qui participa au tournage ainsi qu’à la restauration du film en 2016, de se replonger dans ses souvenirs afin de revenir, en particulier, sur le travail d’Henri Alekan, toujours audacieux et inventif.
"À la recherche de la couleur perdue", la conférence est en ligne

Vidéos des conférences du Conservatoire des techniques
La Cinémathèque française a mis en ligne sur son site Internet la vidéo de la conférence "À la recherche de la couleur perdue : le procédé Keller-Dorian-Berthon sur film lenticulaire", tenue le 3 mai 2019 dans le cadre du Conservatoire des techniques cinématographiques et animée par François Ede.
Jean-Pierre Beauviala (1937-2019) La ville criminogène, le son concomitant et... un chat sur l’épaule

Jean-Pierre Beauviala
L’histoire d’Aaton fut d’abord et toujours celle d’un homme, Jean-Pierre Beauviala, au parcours singulier et unique dans l’histoire du cinéma et de ses techniques. Certes son nom vient s’ajouter à une liste de pionniers et industriels français, d’Etienne-Jules Marey et Louis Lumière à André Coutant et Pierre Angénieux, mais il incarne plus que les autres un certain génie français, cartésien et intuitif, considérant que trouver les bonnes réponses exige de se poser d’abord les bonnes questions afin de fournir les outils adaptés aux besoins de chacun.
Les archives Aaton à la Cinémathèque française Par Laurent Mannoni, membre consultant de l’AFC

Jean-Pierre Beauviala
« Je suis le Ciné-Œil. Je suis un bâtisseur. Je me libère de l’immobilité humaine. Mon chemin mène à la création d’une perception inédite du monde. C’est pourquoi je déchiffre d’une manière nouvelle un monde qui vous est inconnu… »
(Dziga Vertov, juin 1923).
(Dziga Vertov, juin 1923).
Journée "Pour une histoire des laboratoires cinématographiques"

Conférences, tables rondes, colloques, séminaires, Leçons de cinéma
L’équipe de l’unité de recherche Arts : Pratiques et Poétiques de l’UFR ALC* - université Rennes 2 - organise, vendredi 5 octobre 2018, une journée d’études intitulée "Nuits rouges : pour une histoire des laboratoires cinématographiques". En présence de François Ede, Jean-Pierre Neyrac et Vanessa Nicolazic, il y sera question de fusions et acquisitions, de Super 16, de tireuses, des débuts de l’étalonnage, de métol-hydroquinone, de pyrogallol et autres mystérieuses formules...
"Derrière le miroir, trucages, jeux d’optique et effets d’étrangeté dans les films de Raoul Ruiz", conférence en ligne sur le site de la Cinémathèque française

Vidéos des conférences du Conservatoire des techniques
"Derrière le miroir, trucages, jeux d’optique et effets d’étrangeté dans les films de Raoul Ruiz", l’avant-dernière conférence de la saison 2015-2016 du Conservatoire des techniques cinématographiques, est désormais en ligne – en vidéo – sur le site Internet de la Cinémathèque française.
Derrière le miroir, trucages, jeux d’optiques et effets d’étrangeté dans les films de Raoul Ruiz Conférence de François Ede et Elodie Boin-Zanchi, dans le cadre de la rétrospective Raoul Ruiz

Conservatoire des techniques cinématographiques
Les expérimentations techniques sont au cœur de nombreux films de Raoul Ruiz car il aimait faire des jeux d’images comme on fait des jeux de mots. Nombre de ses films ont été tournés avec des budgets souvent dérisoires, parfois avec des chutes de pellicule, une caméra prêtée et le concours bénévole d’amis acteurs et techniciens.
Films génétiquement modifiés Lettre ouverte de François Ede, réalisateur et chef opérateur

Billets d’humeur
Les films tournés en Scope et en 1,85 seront désormais recadrés en 14/9 (1:1,55) sur les chaînes du service public.
Jusqu’à présent les chaînes publiques diffusaient les films au format Scope avec des caches noirs en bas et en haut de l’image pour conserver la largeur du cadre (" letterbox "), ce n’était évidemment pas la panacée, mais au moins le format d’origine des films était respecté.
Le 21 août, France 3 diffusait Paris brûle-t-il ? de René Clément. Ce film tourné en CinémaScope a été mutilé par recadrage dans un format qui n’a jamais existé au cinéma : le 14/9 ou 1:1,55 !
Jusqu’à présent les chaînes publiques diffusaient les films au format Scope avec des caches noirs en bas et en haut de l’image pour conserver la largeur du cadre (" letterbox "), ce n’était évidemment pas la panacée, mais au moins le format d’origine des films était respecté.
Le 21 août, France 3 diffusait Paris brûle-t-il ? de René Clément. Ce film tourné en CinémaScope a été mutilé par recadrage dans un format qui n’a jamais existé au cinéma : le 14/9 ou 1:1,55 !