Gábor Szabó

Direction de la photographie

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Au palmarès du Zsigmond Vilmos International Film Festival 2018

Festivals divers

La deuxième édition du Zsigmond Vilmos International Film Festival s’est tenue à Szeged (Hongrie) du 9 au 12 mai 2018. Présidé par le directeur de la photographie Gábor Szabó, HSC, le jury de ce festival, qui s’attache particulièrement au travail des directeurs de la photographie, a attribué, entre autres prix, celui du Meilleur film à La Mort de Louis XIV, réalisé par Albert Serra et photographié par Jonathan Ricquebourg, AFC.

Articles (3)

Au palmarès du Zsigmond Vilmos International Film Festival 2018

Festivals divers

La deuxième édition du Zsigmond Vilmos International Film Festival s’est tenue à Szeged (Hongrie) du 9 au 12 mai 2018. Présidé par le directeur de la photographie Gábor Szabó, HSC, le jury de ce festival, qui s’attache particulièrement au travail des directeurs de la photographie, a attribué, entre autres prix, celui du Meilleur film à La Mort de Louis XIV, réalisé par Albert Serra et photographié par Jonathan Ricquebourg, AFC.

"Giuseppe Rotunno : la verità della luce" de Orio Caldiron
Un conseil de lecture de Marc Salomon, membre consultant de l’AFC

Livres et revues

Superbe album de 200 pages, richement illustré en noir et blanc et en couleurs (photogrammes, photos de tournage), sur un des plus grands directeurs de la photo italien qui revient ici, sous la forme d’un long entretien, sur son parcours depuis son enfance, ses années d’apprentissage à Cinecittà à partir de 1941 (La Couronne de fer de Blasetti), sa période d’assistanat puis de cadreur aux côtés de chef opérateurs comme Rodolfo Lombardi, Gabor Pogany, Leon Shamroy, Carlo Carlini, Aldo Tonti, Claude Renoir etc… jusqu’à sa rencontre déterminante avec G. R. Aldo, qu’il remplacera après sa disparition brutale sur le tournage de Senso.

Un "Petit Prince" nous a quittés
Par Philippe Houdart

Max Pantera

Beaucoup de ses proches, du moins professionnels, appelaient Max Pantera « Le Petit Prince » car sur les tournages, c’est lui qui avait pour habitude d’appeler comédiens et comédiennes, techniciens ou techniciennes, « Petit Prince » ou « Petite Princesse », ce qui, avouait-il, avait le gros avantages de lui permettre de ne pas avoir à mémoriser les prénoms de ses interlocuteurs. Et les comédiennes, en particulier, étaient souvent ravies par cette gentille intention qu’elles pensaient leur être réservée.