Jacques Loiseleux
Direction de la photographie
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Le directeur de la photographie Jacques Loiseleux, AFC, nous a quittés

Jacques Loiseleux
C’est avec une profonde tristesse que nous avons appris la nouvelle du décès, lundi 17 mars 2014, de notre confrère directeur de la photographie Jacques Loiseleux, AFC. A la fois l’un des membres fondateurs de l’association, l’un de ses piliers, l’une de ses âmes, Jacques en fut le secrétaire général pendant une dizaine d’années et l’un des vice-présidents. Il avait quatre-vingt-un ans.
Jacques Loiseleux ou générosité et humanité dispensées Par Pierre Novion, AFC

Jacques Loiseleux
Certaines expériences cinématographiques créent une vraie complicité entre nous, techniciens qui y participons. Ce fut le cas de deux tournages auxquels j’ai participé en collaborant, comme premier assistant, avec Jacques Loiseleux.
For Jacques Loiseleux By Pierre-William Glenn, AFC

Jacques Loiseleux
It is with deep sadness that we received news of the passing of our colleague, director of photography Jacques Loiseleux, AFC, on Monday, 17 March 2014. A founding member of our association and one of its pillars, one of its souls, Jacques served as its General Secretary for over ten years and was one of its Vice-Presidents. He was eighty-one years old.
A Jacques Loiseleux, "les AFC" reconnaissants Par Jean-Noël Ferragut, AFC
Jacques Loiseleux
Cher Jacques, évoquer ta mémoire, c’est tout naturellement faire un saut dans le temps d’à peine plus de vingt ans. Nous sommes au printemps 1993. S’engage une conversation au téléphone dont les termes sont à peu près les suivants : « Bonjour ! J’aimerais savoir, en tant que tout nouveau membre actif, s’il y a quelque chose que je puisse faire pour l’AFC. »
Jacques Loiseleux, l’ami enthousiaste et généreux Par Jean-Jacques Bouhon, AFC
Jacques Loiseleux
Mon cher Jacques, c’était il y a une vingtaine d’années, à Levallois-Perret, dans l’appartement de Gervaise, secrétaire de l’AFC de l’époque, où l’association avait installé son siège. Tu nous avais accueillis Jean-Noël et moi pour parler des activités de l’AFC, de la Lettre et de la manière dont nous pourrions nous rendre utiles. C’est ce jour-là qu’est née en moi pour longtemps la " fibre associative " que tu as su nous transmettre, avec tout l’enthousiasme et la générosité dont tu étais capable.
Jacques Loiseleux, au regard doux et bienveillant Par Antoine Héberlé, AFC
Jacques Loiseleux
J’ai rencontré Jacques Loiseleux pour la première fois en 1997 au festival de Grenoble, ma ville d’origine. Quelle chaleur, quelle écoute attentive pour le jeune directeur de la photo que j’étais. Impressionné par la carrière de Jacques et la beauté de son travail sur les derniers film de Maurice Pialat, j’avais enfin l’occasion d’échanger en toute simplicité avec un prestigieux confrère.
Jacques Loiseleux parti, sa lumière reste sur l’écran Par Tony Gatlif, réalisateur
Jacques Loiseleux
Jacques Loiseleux était chef opérateur et cadreur de mon film Les Princes, tourné en 1982 dans des conditions pas faciles, souvent en lumière du soir, lumière d’hiver sans beaucoup de projecteurs. Jacques est venu dans le film comme un sauveteur.
Jacques Loiseleux, généreux, toujours militant pour la bonne cause Par Richard Andry, AFC
Jacques Loiseleux
Comment parler de Jacques sans le revoir, Caméflex à la main, effectuer un steeple chase entre les fauteuils de la salle de projection de l’IDHEC, alors dirigé par Louis Daquin et sis à l’époque rue des Vignes. C’était la première de ses interventions " caméra " à laquelle j’assistais avec mes camarades de la 26e promotion.
Pour Jacques Loiseleux Par Pierre-William Glenn, AFC
Jacques Loiseleux
J’ai connu Jacques sur un feuilleton de Telfrance, en 1967, où j’étais acteur, chef de bande d’une horde de motards au titre significatif : Les Oiseaux rares. Le courant est tout de suite passé entre le chef opérateur-cadreur et le jeune idiot que j’étais à l’époque, à la tête d’une bande de futurs pilotes du championnat du monde, faisant fi de toute limitation de vitesse, de toute sécurité élémentaire et dont beaucoup sont morts de leur passion maintenant.
Articles (30)
A la mémoire de Jacques Loiseleux et d’une passion commune d’"authentique filmeur" Par Jimmy Glasberg, AFC
Jacques Loiseleux
Salut Jacques,
Tu viens de nous quitter après une longue maladie. Je t’avais eu au téléphone, il y a quelques temps, au sujet de tes prestations à l’école de cinéma de Cuba. Tu ne pouvais plus assurer tes cours et tu m’avais demandé de te remplacer. Hélas, je ne pouvais pas.
Tu viens de nous quitter après une longue maladie. Je t’avais eu au téléphone, il y a quelques temps, au sujet de tes prestations à l’école de cinéma de Cuba. Tu ne pouvais plus assurer tes cours et tu m’avais demandé de te remplacer. Hélas, je ne pouvais pas.
Rencontre avec Jacques Loiseleux à l’ENS Louis Lumière le samedi 20 janvier 2007
Rencontres, Projections, Diffusions
C’est à l’initiative d’une élève de Louis Lumière, rencontrée lors d’une conférence que je donnais à l’Ecole du Louvre sur " Le Cinéma dans la Ville ", que j’ai été invité à venir parler du travail de directeur de la photographie devant des étudiants des trois années.
La Lumière en cinéma par Jacques Loiseleux

Livres et revues
Notre ami et vice-président Jacques Loiseleux vient de publier un ouvrage sur notre spécialité, édité par les Cahiers du cinéma et le CNDP, dans la collection "Les petits cahiers" plus particulièrement destinée aux élèves des collèges et lycées.
Trois jours aux Rencontres d’Alençon les 8, 9 et 10 juin 2006 par Jacques Loiseleux

Festivals
Le directeur des " 17es Rencontres Ornaises du Cinéma d’Alençon ", Thierry Delamotte, avait sollicité la présence d’un directeur de la photographie " AFC " pour assurer la fonction de " fil rouge " pendant ces trois journées, consacrées cette année aux " Coulisses de l’image ".
Il s’agissait de dialoguer, sur le thème de la Lumière et du Cadre, avec les directeurs photo des films présentés, devant un large public de cinéphiles de 7 à 77 ans, assidu et nombreux.
Il s’agissait de dialoguer, sur le thème de la Lumière et du Cadre, avec les directeurs photo des films présentés, devant un large public de cinéphiles de 7 à 77 ans, assidu et nombreux.
J’entends plus les sifflets ! par Jacques Loiseleux
Maurice Pialat
Quand Maurice Pialat a reçu la Palme d’or à Cannes pour "Sous le soleil de Satan", quelques rangs de siffleurs professionnels lui ont fourni l’occasion d’être, en une phrase, totalement lui-même. Le poing levé, il a dit : « Si vous ne m’aimez pas, sachez que je ne vous aime pas non plus. » Avec ceux qui applaudissaient, j’ai entendu : « Si vous m’aimez, sachez que je vous aime aussi. »
C’est dans cette perpétuelle contradiction que s’est écrite cette grande page du cinéma mondial qu’est l’œuvre de Maurice Pialat. Il nous reste à la (…)
Festival International del Cine Pobre par Jacques Loiseleux
Festivals
La 3e édition du Festival International del Cine Pobre de Gibara à Cuba s’est déroulée du 16 au 26 avril.
Inventé par le réalisateur cubain Humberto Solas (Un hombre de exito, Lucia, Gente de pueblo), ce festival est une vraie fête cubaine du cinématographe, plus proche de Lussas que de Cannes.
Inventé par le réalisateur cubain Humberto Solas (Un hombre de exito, Lucia, Gente de pueblo), ce festival est une vraie fête cubaine du cinématographe, plus proche de Lussas que de Cannes.
L’AFC accueille un nouveau membre actif, Antoine Héberlé, à qui elle souhaite la bienvenue ! Le parrain s’explique ou la présentation d’Antoine Heberlé par Jacques Loiseleux
Nouveaux venus à l’AFC
J’ai rencontré Antoine au Festival de Grenoble en 1997 je crois. Nous étions invités pour animer un " atelier image ". Nous nous sommes tout de suite entendus sur ce sujet, et les propos qu’il tenait sur l’image et le cinéma, ceux de sa génération, étaient très intéressants et démontraient déjà une grande maturité, beaucoup d’honnêteté et de clairvoyance.
Le parrain s’explique ou la présentation d’Antoine Heberlé par Jacques Loiseleux
Nouveaux venus à l’AFC
J’ai rencontré Antoine au Festival de Grenoble en 1997 je crois. Nous étions invités pour animer un " atelier image ". Nous nous sommes tout de suite entendus sur ce sujet, et les propos qu’il tenait sur l’image et le cinéma, ceux de sa génération, étaient très intéressants et démontraient déjà une grande maturité...
L’éditorial de la Lettre d’octobre 2009 par Gérard de Battista, Caroline Champetier, Jacques Loiseleux, Robert Alazraki
Editoriaux de la Lettre
A la fin de la projection des Tontons flingueurs organisée par L’AFC et Gaumont avec le soutien de Kodak pour le serveur 2K, quelqu’un a posé innocemment la question à Maurice Fellous, directeur de la photographie du film :
« - Monsieur Fellous, comment trouvez-vous l’image ?
- Les blancs sont trop blancs ! », a-t-il répondu, et tous de se rendre compte qu’il découvrait ce nouvel état du film. Et sa réduction de dynamique.
« - Monsieur Fellous, comment trouvez-vous l’image ?
- Les blancs sont trop blancs ! », a-t-il répondu, et tous de se rendre compte qu’il découvrait ce nouvel état du film. Et sa réduction de dynamique.
Films (34)
Suzanne
de Viviane Candas
Photographié par
Jacques Loiseleux, AFC
Lire la fiche technique
El camino
de Ishtar Yasin
Photographié par
Jacques Loiseleux, AFC
Les Baigneuses
de Viviane Candas
Produit par Gemini Films
Photographié par
Jacques Loiseleux, AFC
Gaétan et Rachel en toute innocence
de Suzy Cohen
Photographié par
Jacques Loiseleux, AFC
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