For La Venue de l’avenir (Colours of Time), his 15th feature film, Cédric Klapisch, one of France’s most beloved filmmakers with seven films that have attracted over a million viewers, has assembled a star-studded cast. He tells the story – a bit of a fairy tale – of a family that brilliantly flits from one era to another to address topics close to the filmmaker’s heart : transmission and legacy.
Cinematographer Alexis Kavyrchine, who has already worked with Cédric Klapisch on several of his films, including Ce qui nous lie (Back to Burgundy) and En corps (Rise), has created a subtle visual style for his latest film, capturing both the contemporary era and the late 19th century. La Venue de l’avenir is being screened Out of competition at the 78th Cannes Film Festival. (BB)
Jérémy Stone
Machinerie
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Articles (3)
Alexis Kavyrchine talks about his approach to the different eras in Cédric Klapisch’s "La Venue de l’avenir" ("Colours of Time") By Brigitte Barbier for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
Alexis Kavyrchine parle de sa façon d’aborder les différentes époques de "La Venue de l’avenir", de Cédric Klapisch Par Brigitte Barbier pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
Pour La Venue de l’avenir, son 15e long métrage, Cédric Klapisch, l’un des cinéastes français le plus aimé du grand public avec sept films à plus d’un million d’entrées, convoque un casting de haute voltige. Il conte - car oui, c’est un peu un conte – l’histoire d’une famille qui virevolte avec brio d’une époque à une autre pour aborder des thèmes chers au cinéaste : l’héritage et la transmission. Le directeur de la photographie Alexis Kavyrchine, qui a déjà accompagné Cédric Klapisch pour signer l’image de plusieurs de ses films - Ce qui nous lie, En corps -, élabore pour son dernier film une image toute en finesse pour caractériser tour à tour l’époque contemporaine et la fin du XIXe siècle. La Venue de l’avenir est projeté Hors compétition au 78e Festival de Cannes. (BB)
Le directeur de la photographie Nicolas Gaurin parle de son travail sur "Hippocrate", de Thomas Lilti

Les entretiens au Festival de Cannes
Nicolas Gaurin a fait ses premiers pas comme directeur de la photographie auprès d’Anthony Cordier pour Douches froides, collaboration suivie d’un deuxième film, Happy Few. Entre ces deux longs métrages, il signe l’image de Notre étrangère, de Sarah Bouyain, et de Stella, troisième long métrage de Sylvie Verheyde qu’il retrouve quelques années plus tard pour Confessions d’un enfant du siècle (présent à Cannes en 2012). Sa carrière se poursuit avec Audrey Fouché pour Memories Corner et avec Marion Vernoux pour Les Beaux jours. Hippocrate, projeté en clôture de la Semaine de la critique, est le deuxième film de Thomas Lilti et l’occasion pour Nicolas Gaurin de travailler avec ce réalisateur pour la première fois.
Films (7)
Les Segpa au ski
de Ali et Hakim Bougheraba
Produit par Kallouche Cinéma, Apollo Films, Studio Canal, Mandarin Cinéma
Photographié par
Lubomir Bakchev, AFC
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Le Retour
de Catherine Corsini
Produit par Chaz Productions, Le Pacte, France 3 Cinéma
Photographié par
Jeanne Lapoirie, AFC
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Villa Caprice
de Bernard Stora
Produit par JPG Films, Bac Films, France 3 Cinéma, UMedia
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Une jeunesse dorée
de Eva Ionesco
Produit par Macassar Productions
Photographié par
Agnès Godard, AFC
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