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Articles (30)

Entretiens autour de la création de la série "Emma", photographiée par Jérôme Alméras, AFC.

Propos et entretiens divers

Le Groupe 25 images, Association de Réalisateurs de Films de Télévision, propose régulièrement des entretiens vidéo concernant des fictions réalisées par ses membres. Il annonce la mise en ligne des deux entretiens relatifs à la nouvelle série policière "Emma", réalisée par Alfred Lot et photographiée par Jérôme Alméras, AFC.

Le directeur de la photographie Denis Rouden, AFC, parle de son travail sur "Zulu", de Jérôme Salle

Les entretiens au Festival de Cannes

Denis Rouden, AFC s’est illustré notamment auprès de Olivier Marchal, en signant l’image de plusieurs polars assez sombres (36 quai des Orfèvres, MR73, Les Lyonnais...). Il est aussi le fidèle collaborateur de Laurent Tirard avec qui il a fait deux films, dont le dernier Astérix, l’un des plus gros budgets de l’année 2012. Zulu est également son quatrième film avec Jérôme Salle, après Anthony Zimmer et les Largo Winch.

Que sont devenus Magali, Benoît, Jérôme, Nathalie, Brahim… ?
Par Frédéric Serve, AFC

Billets d’humeur

Il y a une quinzaine d’années (déjà…), j’ai travaillé sur un beau documentaire qui explorait la langue mystérieuse des sourds–aveugles. Ce très beau film, réalisé par Laetitia Mikles, montrait toute l’humanité d’individus qui, simplement, ne communiquent pas comme nous, n’agissent pas comme nous : hors de nos repères visuels et sonores, leur façon d’être pouvait paraître surprenant, voire dérangeante.

Mélodie Preel, cheffe opératrice, et Jean Rabasse, ADC, chef décorateur, nous parlent du tournage de "Becoming Karl Lagerfeld", de Jérôme Salle
"Le mercenaire de la mode", par François Reumont pour l’AFC

Les entretiens de Camerimage 2024

Dans la famille des séries biopics "Becoming Karl Lagerfeld" (diffusée par Disney+) plonge le spectateur dans le Paris des années 1970 en s’intéressant aux débuts du kaiser de la mode. Un projet co-écrit par la journaliste Raphaëlle Bacqué (dont la biographie Kaiser Karl était parue en 2019, quelques mois après la disparition du couturier). C’est le cinéaste Jérôme Salle ( L’Odyssée, autre biopic consacré à Jacques-Yves Cousteau, sorti en 2016) qui est aux commandes (relayé sur la série par Audrey Estrougo), l’image étant signée par la directrice de la photographie Mélodie Preel (relayée par Mahdi Lepart). Elle vient nous parler de ce tournage avec le chef décorateur Jean Rabasse, ADC, alors que cette série TV est en compétition à Camerimage 2024 pour la Grenouille d’or. (FR)

Retour sur l’"Arri Big Screen Experience" où quatre chefs opérateurs étaient invités
Par Margot Cavret

Camerimage 2022

Mardi 15 décembre, lors de son "Arri Big Screen Experience", dans la grande salle du CKK à Camerimage, le constructeur a pu présenter les travaux de différents chefs opérateurs qui se sont vus confier la mission de tourner des images avec les optiques Signature Arri. Josua Stäbler, Jérôme de Gerlache, Stijn Van Der Veken, ASC, SBC, et Setu (Satyajit Pande), ISC, ont commenté leurs images et partagé avec l’audience leurs impressions. (MC)

Cinematographer Alexis Kavyrchine evokes his collaboration with Albert Dupontel on "Bye Bye Morons"
Albert’s Little World

Entretiens avec des directeurs de la photographie

For his seventh film as director, actor and director Albert Dupontel chose a rather pessimistic dark comedy in which, as is usual in his films, contemporary social reality sometimes slips into an expressionist world that is akin to that of comic books. Alexis Kavyrchine (Perdrix, La Douleur, Ce qui nous lie) was in control of the cinematography. He discusses the way the filmmaker works in order to construct his unique and personal universe. (FR)

Alexis Kavyrchine évoque sa collaboration avec Albert Dupontel sur "Adieu les cons"
Le petit monde d’Albert

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Pour son septième film en tant que metteur en scène, le comédien et réalisateur Albert Dupontel a choisi une comédie noire assez pessimiste où, comme à son habitude, la réalité sociale contemporaine vient parfois déraper au gré d’un univers expressionniste souvent proche de la bande dessinée. C’est Alexis Kavyrchine (Perdrix, La Douleur, Ce qui nous lie...) qui est cette fois-ci aux commandes de l’image. Il nous parle de la méthode de travail de ce cinéaste qui a su se construire un univers bien à lui. (FR)

Précisions sur "La Marche de l’empereur"
Par Jérôme Maison

Billets d’humeur

Permettez-moi d’apporter quelques précisions quant à mon rôle sur le film La Marche de l’empereur qui nourrit les discussions les moins informées. Je n’étais pas l’assistant de Laurent Chalet comme cela figure dans l’un de vos derniers courriers. Ni figurant, ni réalisateur, j’étais au même titre que Laurent Chalet, chef opérateur.

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