Le parcours ouvert sur diverses cinématographies de Stephan Massis

Par Charlie Van Damme, AFC

par Charlie Van Damme La Lettre AFC n°248

Je connais Stephan depuis longtemps, depuis le milieu des années 1990, alors qu’il était élève à La fémis. Son désir d’image m’apparaissait alors comme une évidence. Plus que cela, comme un choix mûrement réfléchi, une volonté de vivre activement le cinéma.
Il était un de mes élèves les plus prometteurs, un de ceux et celles qui vous donnent le sentiment que ce n’est pas en vain que vous consacrez une partie de votre temps à l’enseignement. Promesses tenues : Stephan à déjà parcouru un beau bout de chemin.
Ce qui me frappe dans son parcours, c’est son ouverture sur des registres cinématographiques différents : fictions, pubs, clips et, en particulier, la pratique répétée du documentaire qui est à mes yeux, avec la photographie, comme un nécessaire retour aux sources de nos métiers.
Je n’ai qu’un regret : ne jamais avoir eu l’occasion de travailler avec lui.
Je ne doute pas que Stephan se forgera une place active au sein de l’AFC.