Le troisième long métrage de Justine Triet est un nouveau portrait de femme incarné par Virginie Effira, comme pour Victoria. C’est la chute vertigineuse de Sibyl dans la vie de l’autre, Margot - Adèle Exarchopoulos -, et une mise en abyme dans ses propres souvenirs qui va lui permettre de renouer avec sa vie. Simon Beaufils signe ici une image hollywoodienne et jongle entre douceur de peau et effets de sodium dans la nuit urbaine. (BB)
Le réalisateur Yann Gonzalez concourrait pour la Caméra d’or à Cannes en 2013 avec Les Rencontres d’après-minuit. Son film Un couteau dans le cœur est en Compétition officielle de ce 71e Festival, événement assez rare pour un deuxième long métrage. Simon Beaufils, son fidèle directeur de la photographie, a travaillé récemment avec Julia Kowalski pour Crache cœur, Justine Triet pour Victoria et Christophe Regin pour La Surface de réparation. Il témoigne ici de l’engagement cinématographique de ce jeune réalisateur qu’il aime accompagner dans son grand plaisir de cinéma. (BB)
Simon Beaufils collabore à plusieurs reprises avec Vladimir Perisic (Ordinary People, Les Ponts de Sarjevo), Lucie Borleteau pour Fidélio, l’odyssée d’Alice, ou Yann Gonzalez pour Les Rencontres d’après-minuit. Il travaille dernièrement avec Julia Kowalski pour Crache cœur avant de rencontrer la réalisatrice Justine Triet qui avait été remarquée au Festival de Cannes 2013 dans la programmation de l’ACID avec La Bataille de Solférino.
Dans l’actualité d’avril de Panavision, on dénombre trois films qui sortent sur les écrans dans le courant du mois d’avril et sept dont le départ en tournage s’est effectué en mars dernier.
Dans l’actualité de Transpacam, Transpagrip et Transpalux, on notera des nouvelles du Super 16, un film en début de tournage, des courts métrages et fictions TV en tournage en décembre, et des films prévus sur les écrans en janvier.
L’actualité de Panavision en septembre se résume à l’arrivée des nouvelles caméras Red Dragon Weapon, au système de gestion de flux Outpost, aux sorties en salles du mois, aux départs de tournage en août et à la présence de Panavision dans deux festivals.
His first feature film, See How They Fall, was screened at Cannes, and three of Jacques Audiard’s subsequent films were selected to be in the Official Competition : A Self-Made Hero, Best Screenplay in 1996, A Prophet, Grand Jury Prize in 2009, and Rust and Bone, in 2012. For his seventh feature film, Dheepan, which is in the Official Competition of the 68th Cannes Film Festival, Jacques Audiard chose an unknown aspiring actor to play the lead role, like Tahar Rahim and Reda Kateb in A Prophet. (BB)
Déjà à Cannes pour son premier long métrage, Regarde les hommes tomber, Jacques Audiard présente par la suite trois autres films en Compétition : Un héros très discret, Prix du scénario en 1996, Un prophète, Grand Prix du jury en 2009, et De rouille et d’os, en 2012. Pour son septième long métrage, Dheepan, en Compétition officielle de ce 68e Festival cannois, Jacques Audiard a choisi un acteur débutant inconnu dans le rôle central, à la manière de Tahar Rahim et Reda Kateb dans Un prophète. (BB)
Thomas Favel, sorti du département Image de La fémis en 2007, travaille avec Jean-Sébastien Chauvin, Yann Gonzalez, Shanti Masud, Davy Chou..., des réalisateurs à la recherche d’un cinéma fantaisiste et non naturaliste, très influencés par l’art contemporain. C’est autour de cette inspiration commune qu’il rencontre Benoît Forgeard qui lui propose son premier long métrage, Gaz de France.
Après le reportage " officiel " que Pauline Maillet a réalisé sur le Micro Salon 2012 et que nous avons publié en trois volets, Vincent Jeannot, AFC, livre à son tour à votre curiosité les nombreux instantanés qu’il a pris ici et là au hasard de ses heureuses rencontres.
Cette année, l’AFC s’est adressée au chef opérateur Philippe Brelot pour qu’il vienne poser son regard sur ce 11e Micro Salon. Laissez-vous guider à travers La fémis au gré de ses rencontres, d’étage en étage, de stand en stand, et attardez-vous avec lui sur quelques-uns des visages, connus ou moins connus, qu’il a saisis à travers les lentilles de son objectif. La visite débute dans la cour et au rez-de-chaussée, se poursuit au sous-sol, en faisant le détour d’un plateau à l’autre, et se termine au 2e étage. Entrez, entrez, la visite va commencer...