Yves Brover Rabinovici

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Entretien avec Yves Cape, AFC, SBC, à propos de "Nuevo orden", de Michel Franco, sélectionné à la Mostra de Venise 2020
Les rêves de certains

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Le cinéaste mexicain Michel Franco (Después de Lucia, Les Filles d’avril, Chronic...) s’intéresse avec son nouveau film au portrait d’une insurrection populaire en pleine capitale du Mexique et à ses répercussions dans la société. Prenant le parti pris d’une narration progressive à partir d’un lieu unique de départ (une grande fête de mariage dans la haute société), on observe les différentes couches de la société cohabiter avant que soudain tout n’explose... C’est Yves Cape, AFC, SBC, qui signe pour la quatrième fois l’image au coté de ce réalisateur plusieurs fois primé à Cannes. Un film entièrement tourné à Mexico en six semaines au printemps 2019, sélectionné en compétition au Festival de Venise 2020, après avoir été dans la liste des films cannois. (FR)

Bienvenue à Jean-Yves Le Poulain !
Par Rémy Chevrin, AFC

Nouveaux venus à l’AFC

Qui n’a jamais eu l’occasion de croiser ses yeux pétillants et sa belle crinière blanche lors des derniers Micro Salons de l’AFC ?... Qui, de ma génération d’assistants opérateurs, n’a pas eu l’occasion d’échanger et de bavarder optiques, calages, profondeur de champ ?... Mais surtout qui n’a pas eu ce grand plaisir de disserter de longues heures avec Jean-Yves sur LE Cinéma et ces merveilleux films sur lesquels il a travaillé ?...

Yves Cape, AFC, SBC, wiping the slate clean
By Ariane Damain Vergallo for Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

In the 1960s, the combined peculiarities of the Belgian and American administrations deprived Yves Cape of any kind of citizenship until he was to turn 16. Born in Belgium, the only son of an American father and a Belgian mother, young Yves had to carry a ‘‘Stateless’‘ safe-conduct – a traumatizingly pink document - until he was ordered to choose between being Belgian or American. He went for Belgian. With no regret whatsoever.

Yves Cape AFC, SBC, larguer les amarres
Par Ariane Damain Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

Dans les années 1960, les bizarreries conjuguées des administrations belges et américaines avaient privé Yves Cape de nationalité jusqu’à l’âge de 16 ans. Né en Belgique, fils unique d’un père américain et d’une mère belge, Yves Cape avait trimballé le passeport des apatrides – de couleur rose, ça ne s’oublie pas – jusqu’à ce qu’il soit sommé de choisir entre la nationalité belge ou américaine. Il avait alors adopté la nationalité belge. Sans regret.

Yves Agostini

Jean Harnois

Belle tranche de Cinoche, Jean !
De la nouvelle vague jusqu’à nos jours ! Et que de bouleversements depuis les années 60, où il fallait tenir le cap, mais tu l’as bien tenu.
Ce métier "charnière", objet de tant de convoitises, tu l’as quand même très bien utilisé.
Il fallait le défendre pour l’avenir et tu l’as défendu, surtout pour les jeunes générations de cadreurs qui n’ont plus leur place assurée aujourd’hui. Mais on continuera dans cette voie, des cadreurs il en faudra toujours et des bons !
Allez Jean, merci et à plus tard... au pays des Manivelles

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