Contre-Champ N°109
On Screen
Fujifilm au Festival de Cannes 2002 du 15 au 26 mai prochain
Apéritifs Fujifilm et Déjeuners de la Quinzaine au nombre des festivités...
L’Oscar de la meilleure photographie

Né en Australie en 1956, Andrew Lesnie a également éclairé, entre autres,
"Babe" (1995), "Babe : Pig in the City" (1998), "The Sugar Factory" (1999).
Fuji au Long Court
Festival " En Lumière " au Cinéma des Cinéastes à l’initiative de Kodak

Chacune des soirées de la semaine sera dédiée à l’un des " couples " directeur de la photographie et cinéaste présent dans l’ouvrage.
About the French Film Festival, par Dominique Le Rigoleur

Fuji Tous Courts
18 h 15 au Cinéma des cinéastes.
Technical stuff
A propos d’ " Amen " de Costa Gavras par L’EST

Méthodes de correction de sources d’appoint lors de prises de vues sous un éclairage public par Rosco
Ces recommandations vont de paire avec un article de Rosco dressant un état des lieux des diverses sources d’éclairage public.
Véhicules en mouvement et trucages numériques sur " Amen " par François Vagnon

Démonstration du système de cinéma numérique Kodak

Swiss Effects

Prises de vues sous un éclairage public les aides proposées par Rosco

Un Oscar technique pour Christian Lurin
Bookshelf
Autour de... Fuji donne rendez-vous dans le " Technicien " du mois de mai
Bienveillance risquée des politiques pour le cinéma par Jean-Michel Frodon
Le Monde, 20 mars 2002
« La République nous aime, nous respecte et nous protège », se félicitait, sur la scène des César Daniel Toscan du Plantier, au soir du 1er mars. C’est vrai, et depuis longtemps.
Alain Bergala responsable du plan " Le cinéma à l’école " en résume les enjeux et la situation actuelle
Le Monde, 26 mars 2002
Avant la mise en place du plan, il y avait, d’une part, un petit nombre de classes spécialisées du secondaire à thématique cinéma, menant à cette option au bac, et, d’autre part, des dispositifs mixtes mis en place conjointement par l’éducation nationale et le ministère de la culture, avec le partenariat de salles mobilisées par ces objectifs.
Du cahier pratique au DVD Jean-Michel Frodon
Le Monde, 26 mars 2002
La mise en place du plan " Cinéma à l’école " s’accompagne de l’édition de documents de travail, imprimés ou sur écran. La version la plus classique est fournie par Les Petits Cahiers, coédités par les Cahiers du cinéma et le Centre national de la documentation pédagogique (CNDP).
Jacques Rouveyrollis, Molière 2002 des meilleures lumières

Billy Wilder est mort, personne n’est parfait par Jacques Siclier
Le Monde, 29 mars 2002
Billy Wilder appartenait à cette génération de cinéastes européens qui, chassés par le nazisme, apportèrent à Hollywood un regard critique, une conception du monde opposée à l’idéalisme et à la sophistication de " l’usine à rêves ".
Professional life
L’investissement des chaînes et des SOFICA
L’investissement des chaînes en clair a connu une hausse de 17 % mais des différences existent naturellement selon la chaîne. Cet investissement est constitué à 72 %, en progression, par des préachats.
Les SOFICA sont intervenues sur 59 films en 2001, nombre qui demeure stable. En revanche, l’investissement global chute de plus de 36 % avec 24,78 millions d’euros.
Bertrand Chatry par Eric Gautier

Patrick Schulmann par Dominique Gentil
Loi n° 2002-311 du 5 mars 2002 relative au régime d’assurance-chômage des intermittents du spectacle
Record pour la production cinématographique 2001
Billy Wilder est mort personne n’est parfait
Lorsque Hitler accède au pouvoir en 1933, Billy Wilder prend aussitôt le train pour Paris. Il y réalise "Mauvaise graine", comédie avec la toute jeune Danielle Darrieux, puis gagne les Etats-Unis. A Hollywood, Ernst Lubitsch fait appel à lui pour écrire, avec Charles Brackett, l’adaptation d’une pièce de boulevard d’Alfred Savoir, "La Huitième femme de Barbe-Bleue". Il fera de nouveau équipe avec Brackett en 1939 pour une autre comédie de Lubitsch, "Ninotchka", et pour "La Baronne de minuit", de Mitchell Leisen.
De cette époque, il gardera toujours le souvenir du génie de Lubitsch, avec lequel il partage un passé berlinois. Wilder expliquait que tout au long de sa carrière de metteur en scène, il n’a jamais cessé de se poser une seule question : « Comment Lubitsch aurait tourné cette scène ? »