Sur les écrans

A propos des "Silences de Johnny", documentaire de Pierre-William Glenn, AFC

Les entretiens au Festival de Cannes

Lorsqu’on interroge quelqu’un sur la carrière de Johnny Hallyday au cinéma, rares sont les personnes, même les fans, qui peuvent lister plus de cinq films sur les trente-quatre qu’il a interprétés. Et pourtant sa carrière d’acteur a commencé avant celle de chanteur, en 1954, dans Les Diaboliques, de Henry-Georges Clouzot. Il est même probable que Johnny ait découvert Elvis Presley et le Rock’n’roll en voyant Loving You (Amour frénétique) au cinéma à l’âge de 14 ans.

Le directeur de la photographie Thomas Favel parle de son travail sur "Yves", de Benoît Forgeard

Les entretiens au Festival de Cannes

Après Gaz de France et Philippe Katerine en président de la république en 2016, Benoît Forgeard retrouve le chanteur-comédien avec Yves, qui narre le trajet d’un réfrigérateur mélomane. Le directeur de la photographie Thomas Favel - déjà coéquipier du réalisateur sur son précédent film - nous parle de cette œuvre située dans l’esprit du réalisateur entre Jeanne Dielman, 40 quai du Commerce 1080 Bruxelles et 40 ans toujours puceau. (FR)

Angénieux rend hommage à Bruno Delbonnel, AFC, ASC

Nos associés à Cannes

Partenaire Officiel du Festival de Cannes depuis 2013, Angénieux rend cette année hommage au directeur de la photographie Bruno Delbonnel, AFC, ASC, lors de la Cérémonie "Pierre Angénieux ExcelLens in Cinematography", vendredi 24 mai à 20h. Pour cette occasion, il sera accompagné d’une délégation de ses plus proches collaborateurs.

La 58e Semaine de la Critique a décerné ses prix
Dont le Prix Découverte Leitz Cine du court métrage

Festival de Cannes 2019

Lors de la cérémonie de clôture de la 58e Semaine de la Critique, jeudi 23 mai, les prix, décernés par le Jury présidé par le réalisateur Ciro Guerra, ont été annoncés. Le Grand Prix Nespresso est allé au film d’animation J’ai perdu mon corps, de Jérémy Clapin, et le Prix Découverte Leitz Cine du court métrage à She Runs, de Qiu Yang, photographié par Constanze Schmitt.

Invisible
Entretien filmé avec Rui Poças, AIP, à propos de son travail sur "Frankie", d’Ira Sachs, par François Reumont pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes

Rui Poças est un chef opérateur portugais qui a déjà participé plusieurs fois au Festival de Cannes, que ce soit à la Quinzaine des Réalisateurs ou à Un Certain Regard. Cette année, il accompagne le réalisateur américain Ira Sachs avec Frankie en Compétition officielle. Un film hommage à Eric Rohmer, tourné à Sintra où Isabelle Huppert tient le rôle d’une comédienne à l’automne de sa vie... Il nous parle de ce film qui va totalement à l’encontre de son travail habituel. (FR)

Un tandem à Roubaix
Entretien avec la directrice de la photographie Irina Lubtchansky à propos de son travail sur “Roubaix, une lumière”, d’Arnaud Desplechin

Les entretiens au Festival de Cannes

C’est une histoire de fidélité entre Arnaud Desplechin et Irina Lubtchansky qui s’écrit ici avec leur quatrième collaboration pour Roubaix, une lumière, en Compétition officielle sur la Croisette. La directrice de la photographie a signé récemment l’image de L’Homme fidèle, de Louis Garrel, et de La Dernière folie de Claire Darling, de Julie Bertuccelli.

Anesthésié par la couleur
Darius Khondji, AFC, ASC, parle de son travail sur "Too Old To Die Young", de Nicolas Winding Refn

Les entretiens au Festival de Cannes

Retenu par le tournage nocturne du nouveau clip de Thom Yorke, Darius Khondji, AFC, ASC, n’a pu faire qu’un rapide aller-retour sur la Croisette pour voir des films. Trop tard, en tout cas, pour assister à la projection au Grand Théâtre Lumière d’une partie de la série "Too Old To Die Young", qu’il a photographiée, avec Diego Garcia, pour Nicolas Winding Refn. Il a quand même trouvé le temps de nous parler, au téléphone, de ce tournage à Los Angeles... (FR)

Quentin Tarantino et Robert Richardson, ASC, tournent "Once Upon a Time in Hollywood" en pellicule Kodak 35 mm

Nos associés à Cannes

Tourné en pellicule Kodak 35mm, Once Upon a Time in Hollywood, le drame très attendu de Quentin Tarantino sur l’ère des meurtres de Manson, sera présenté en première mondiale au Festival de Cannes 2019. Ce long métrage marque la sixième collaboration entre le réalisateur et le directeur de la photographie primé aux Oscars Robert Richardson, ASC.

La directrice de la photographie Maria von Hausswolff parle de son travail sur "A White, White Day", de Hlynur Pálmason
Höfn, entre les vivants et les morts

Les entretiens au Festival de Cannes

Après Winter Brothers, qui lui avait valu le prix du Premier long métrage à la photographie à Camerimage en 2017, la jeune directrice de la photo suédoise Maria von Hausswolff, DFF, refait équipe avec le réalisateur islandais Hlynur Pálmason. Un drame qui met en scène un ex-policier endeuillé par la mort de sa femme et qui entraîne sa petite fille dans une quête incertaine du passé. Aux cotés de l’impressionnant Ingvar Sigurðsson (pour lequel le film a été écrit), la fillette (la propre fille de Hlynur Pálmason), et surtout un dégradé entre brume et pluie autour de la ville côtière de Höfn (qui se traduit simplement par "port" en islandais) dans le sud-ouest de l’île. (FR)

De la nécessité du regard de l’autre
Entretien avec le directeur de la photographie Jonathan Ricquebourg, AFC, à propos de son travail sur "L’Angle mort", de Pierre Trividic et Patrick Mario Bernard

Les entretiens au Festival de Cannes

Pierre Trividic et Patrick Mario Bernard réalisent en duo depuis les années 1980. Leur filmographie reflète un goût pour l’étrange et le fantastique, Le Cas Lovecraft (documentaire), Dancing, L’Autre. Avec L’Angle mort, ils proposent un cinéma aux enjeux à la fois politiques et romanesques. Nous avions rencontré l’an dernier Jonathan Ricquebourg, AFC, pour le vigoureux Shéhérazade, de Jean-Bernard Marlin. Il a depuis signé l’image de Tijuana Bible, de Jean-Charles Hue, et accompagne aujourd’hui le tandem Trividic-Mario Bernard pour leur dernier film L’Angle mort. Ce film est présenté par l’ACID au Festival de Cannes 2019.

Un Road Movie au soleil
Le directeur de la photographie Kanamé Onoyama parle de son travail sur "Abou Leila", d’Amin Sidi Boumédiène

Les entretiens au Festival de Cannes

Arrivé en France en 2004 pour y étudier le cinéma, le directeur de la photographie japonais Kanamé Onoyama s’est depuis forgé une solide réputation dans le tournage de publicités et de clips. Abou Leila est son troisième long métrage à l’image, aux côtés du réalisateur algérien Amin Sidi Boumédiène pour sa première mise en scène de long métrage.