Hélène Cattet
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Articles (5)
Festival de Berlin 2025 Manu Dacosse, SBC, évoque les défis techniques de "Reflet dans un diamant mort", d’Hélène Cattet et Bruno Forzani "Permis de briller", par François Reumont, pour l’AFC

Conversations with cinematographers
Le couple formé par Hélène Cattet et Bruno Forzani produit, film après film, une œuvre singulière dont le cinéma bis des années 1960 et 1970 constitue la pierre angulaire. Reflet dans un diamant mort ne déroge pas à la règle dans leur filmographie. Plaçant au centre de l’affiche des yeux masqués de cuir noir tout droit issus de Danger Diabolik, de Mario Bava (1968), c’est en ligne de mire des bandes dessinées transalpines et films bis d’espions de cette époque (aussi appelés James Bond spaghetti) que Manu Dacosse, SBC, a pointé la caméra. Retour sur ce film très graphique qui est en sélection officielle en compétition à la Berlinale 2025. (FR)
Manu Dacosse, SBC, talks about his work on "Let the Corpses Tan", by Hélène Cattet and Bruno Forzani

Conversations with cinematographers
Director of photography Manu Dacosse, SBC, recently received the Magritte Award for Best Cinematography on the movie Laissez bronzer les cadavres (Let the Corpses Tan), by Hélène Cattet and Bruno Forzani. Adapted from the novel by Jean-Patrick Manchette and Jean-Pierre Bastid the film is a crossover between a western and Giallo, shot on film featuring colorful images and a very pop staging. (FR)
Manu Dacosse, SBC, parle de son travail sur "Laissez bronzer les cadavres", d’Hélène Cattet et Bruno Forzani

Conversations with cinematographers
Le directeur de la photographie Manu Dacosse, SBC, vient de recevoir le Magritte 2019 de la Meilleure image (l’équivalent belge de nos César) pour son travail sur le film Laissez bronzer les cadavres, d’Hélène Cattet et Bruno Forzani. Une œuvre étrange, entre western et "giallo", adaptée du roman de Jean-Patrick Manchette et Jean-Pierre Bastid. Retour sur ce film qui fait la part belle aux images colorées et à une mise en scène très pop. (FR)
Au palmarès des Magritte du Cinéma 2019

Les Magritte
La 9e édition des Magritte du Cinéma a révélé son palmarès le samedi 2 février 2019. Etaient en compétition pour le Prix de la Meilleure image : Frank van den Eeden, SBC, NSC, pour Girl, de Lukas Dhont, Manu Dacosse, SBC, pour Laissez bronzer les cadavres, d’Hélène Cattet et Bruno Forzani, et Jean-François Hensgens, AFC, SBC, pour Tueurs, qu’il a réalisé avec François Troukens.
5èmes Magritte du Cinéma

Autres prix
Présentée par l’Académie André Delvaux, la 5e cérémonie des Magritte du Cinéma s’est déroulée à Bruxelles samedi 7 février 2015. Le Meilleur film a été décerné à Deux jours, une nuit, de Jean-Pierre et Luc Dardenne, photographié par Alain Marcoen, SBC. Pour ce film, la Meilleure réalisation a été attribuée aux frères Dardenne. La Meilleure image est allée au directeur de la photographie Manu Dacosse, SBC, pour L’Etrange couleur des larmes de ton corps, d’Hélène Cattet.
Articles (30)
Présentation de la directrice de la photographie Josée Deshaies, nouvellement admise au sein de l’AFC

New members of the AFC…
La directrice de la photographie Josée Deshaies vient de rejoindre l’AFC, sur décision récente du CA de l’association, en tant que membre actif. Agnès Godard et Hélène Louvart, ses deux marraines AFC, présentent, dans des textes écrits au moment de proposer sa candidature à leurs pairs, cette nouvelle venue à qui l’on souhaite dès à présent la bienvenue !
Histoire orale de "L’Armée des ombres" (Jean-Pierre Melville, 1969), en partie racontée par Pierre Lhomme, AFC

Press and video interviews
La Cinémathèque française publie sur son site Internet un article dans lequel Hélène Lacolomberie, rédactrice, a réuni des propos recueillis lors de divers entretiens avec les principales personnalités du cinéma ayant participé au tournage de L’Armée des ombres, de Jean-Pierre Melville, film auquel le metteur en scène tenait le plus. Réalisateur, compositeur, interprètes, directeur de la photographie, monteuse... sont, entre autres, cités.
Présentation de Balthazar Lab, directeur de la photographie ayant rejoint l’AFC Par Lucie Baudinaud, AFC, et Hélène Louvart, AFC

New members of the AFC…
Récemment réuni, le CA de l’AFC a décidé d’admettre au sein de l’association le directeur de la photographie Balthazar Lab en tant que membre actif. Lucie Baudinad et Hélène Louvart, ses deux marraines AFC, présentent dans les textes qui suivent ce nouvel arrivant, que l’on accueille chaleureusement !
TSF à l’affiche et en tournage en octobre

Les films sur les écrans et en tournage
En octobre, onze sorties de films en salles tournés avec les moyens techniques de TSF, dont cinq photographiés par des membres de l’AFC, et quatorze longs métrages et fictions TV en tournage, dont deux photographiés par des membres de l’association.
81st edition of the Venice Film Festival Antoine Héberlé, AFC, discusses the shooting of "Aïcha", by Mehdi M. Barsaoui "The woman who wanted to live her life", by François Reumont for AFC

Conversations with cinematographers
At once the portrait of a woman, a tale and a political film, Mehdi M. Barsaoui’s Aïcha captures the mood of modern post Ben Ali Tunisia in the context of a multi-faceted thriller. While the journey of young Aya (Fatma Sfar) from her small town in southern Tunisia to the big city remains the main thread of the story, a host of secondary characters, both benevolent and malevolent, shape this coming-of-age tale in picaresque, social terms. Antoine Héberlé, AFC, returns to team up with the Tunisian director after his first film, Un fils, which won acclaim in 2019.
Aïcha has been selected in the Orizzonti section at Venice. (FR)
Aïcha has been selected in the Orizzonti section at Venice. (FR)
81e édition de la Mostra de Venise Antoine Héberlé, AFC, revient sur le tournage de "Aïcha", de Mehdi M. Barsaoui "La femme qui voulait vivre sa vie", par François Reumont pour l’AFC

Conversations with cinematographers
A la fois portrait de femme, conte et film politique, Aïcha, de Mehdi M. Barsaoui, est un film qui capte l’ambiance de la Tunisie moderne post Ben Ali dans le contexte d’un thriller aux multiples facettes. Si le trajet de la jeune Aya (Fatma Sfar), depuis sa petite ville du sud tunisien jusqu’à la métropole, reste le fil principal de l’histoire, une cohorte de personnages secondaires, bienfaisants ou malfaisants, scandent ce voyage initiatique tel un récit social et picaresque. Antoine Héberlé, AFC, refait équipe avec le réalisateur tunisien après son premier film Un fils, remarqué en 2019.
Aïcha est sélectionné à Venise dans la section Orizzonti. (FR)
Aïcha est sélectionné à Venise dans la section Orizzonti. (FR)
Benedict Spence, BSC, et le superviseur VFX français Jean-Louis Autret nous parlent de la production de la série Netflix "Eric", réalisée par Lucy Forbes et tournée en Zeiss Supreme Prime Par Hélène de Roux pour Zeiss

Lenses
La série "Eric" (Netflix) est une recréation du New-York de 1980 vue à travers les Zeiss Supreme. Située dans le Manhattan de 1980, la série "Eric" (6x1h), réalisée par Lucy Forbes et tournée à Budapest et à New York, commence avec la disparition d’un petit garçon qui détruit le couple formé par ses parents (Benedict Cumberbatch et Gaby Hoffmann). Les enquêtes parallèles de la police et du père nous font plonger dans des bas-fonds métaphoriques (la police et les édiles corrompus) et réels (les égouts) mais la poésie (noire) n’est pas absente, avec les visions qu’a le père d’une marionnette géante et velue baptisée Eric, qui incarne à la fois ses vices et son salut.
Articles (5)
Festival de Berlin 2025 Manu Dacosse, SBC, évoque les défis techniques de "Reflet dans un diamant mort", d’Hélène Cattet et Bruno Forzani "Permis de briller", par François Reumont, pour l’AFC

Conversations with cinematographers
Le couple formé par Hélène Cattet et Bruno Forzani produit, film après film, une œuvre singulière dont le cinéma bis des années 1960 et 1970 constitue la pierre angulaire. Reflet dans un diamant mort ne déroge pas à la règle dans leur filmographie. Plaçant au centre de l’affiche des yeux masqués de cuir noir tout droit issus de Danger Diabolik, de Mario Bava (1968), c’est en ligne de mire des bandes dessinées transalpines et films bis d’espions de cette époque (aussi appelés James Bond spaghetti) que Manu Dacosse, SBC, a pointé la caméra. Retour sur ce film très graphique qui est en sélection officielle en compétition à la Berlinale 2025. (FR)
Manu Dacosse, SBC, talks about his work on "Let the Corpses Tan", by Hélène Cattet and Bruno Forzani

Conversations with cinematographers
Director of photography Manu Dacosse, SBC, recently received the Magritte Award for Best Cinematography on the movie Laissez bronzer les cadavres (Let the Corpses Tan), by Hélène Cattet and Bruno Forzani. Adapted from the novel by Jean-Patrick Manchette and Jean-Pierre Bastid the film is a crossover between a western and Giallo, shot on film featuring colorful images and a very pop staging. (FR)
Manu Dacosse, SBC, parle de son travail sur "Laissez bronzer les cadavres", d’Hélène Cattet et Bruno Forzani

Conversations with cinematographers
Le directeur de la photographie Manu Dacosse, SBC, vient de recevoir le Magritte 2019 de la Meilleure image (l’équivalent belge de nos César) pour son travail sur le film Laissez bronzer les cadavres, d’Hélène Cattet et Bruno Forzani. Une œuvre étrange, entre western et "giallo", adaptée du roman de Jean-Patrick Manchette et Jean-Pierre Bastid. Retour sur ce film qui fait la part belle aux images colorées et à une mise en scène très pop. (FR)
Au palmarès des Magritte du Cinéma 2019

Les Magritte
La 9e édition des Magritte du Cinéma a révélé son palmarès le samedi 2 février 2019. Etaient en compétition pour le Prix de la Meilleure image : Frank van den Eeden, SBC, NSC, pour Girl, de Lukas Dhont, Manu Dacosse, SBC, pour Laissez bronzer les cadavres, d’Hélène Cattet et Bruno Forzani, et Jean-François Hensgens, AFC, SBC, pour Tueurs, qu’il a réalisé avec François Troukens.
5èmes Magritte du Cinéma

Autres prix
Présentée par l’Académie André Delvaux, la 5e cérémonie des Magritte du Cinéma s’est déroulée à Bruxelles samedi 7 février 2015. Le Meilleur film a été décerné à Deux jours, une nuit, de Jean-Pierre et Luc Dardenne, photographié par Alain Marcoen, SBC. Pour ce film, la Meilleure réalisation a été attribuée aux frères Dardenne. La Meilleure image est allée au directeur de la photographie Manu Dacosse, SBC, pour L’Etrange couleur des larmes de ton corps, d’Hélène Cattet.