Jacek Laskus

Direction de la photographie

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Caroline Champetier, AFC, s’entretient avec Boris Levy (chef opérateur) et Tessa Louise-Salomé (réalisatrice) à propos du documentaire "The Wild One"

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Le film de Tessa Louise-Salomé, The Wild One, documentaire sur Jack Garfein, initiateur avec Elia Kazan de l’Actors Studio, est filmé par Boris Levy avec une sensibilité ingénieuse qui m’a éblouie. C’est un travail où l’image est intimement liée à ce que le film raconte. Comment ramener un homme âgé, à l’enfance tragique et à la vie trépidante, au cœur de ses souvenirs. Film de dispositifs risqués et inventifs, The Wild One, qui sort en salles le 10 mai prochain, a reçu le Prix de la cinématographie au festival Tribeca, en 2022. J’ai eu envie d’en parler avec Boris Levy. (CC)

Mise en ligne de la captation de l’Appel à des États généraux du cinéma 2022, en formats courts ou longs

Actualités AFC

Vendredi 6 octobre 2022, des professionnels du cinéma, des organisations et des associations du secteur se sont réunies pour lancer un "Appel à des États généraux du cinéma", faisant suite à une tribune publiée en mai dernier dans Le Monde et intitulée "Les choix politiques de nos institutions fragilisent gravement le cinéma". Plus de 1 500 personnes ont suivi les débats à l’Institut du monde arabe et sur la plateforme YouTube. Ces échanges sont maintenant accessibles ici sous forme de trois modules de plus ou moins 40 minutes reprenant les thématiques de la journée, précédés de 24 "capsules" de quelques minutes reprenant les points forts des interventions.

Un "Focus" du CNC sur le 70 mm

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Dans un article paru sur son site Internet, le CNC (Centre national du cinéma et de l’image animée) revient sur l’histoire et les spécificités de ce format qu’il qualifie de « monumental ». De sa naissance en Italie, en 1911, à un premier revers à la fin des années 1930, de sa renaissance dans les années 1950 jusqu’aux années 1980-90, le 70 mm aura, durant cette période, connu son heure de gloire, pour être, ces dernières années, l’apanage de quelques cinéastes passionnés par les possibilités offertes par ce format.

"Nos 100 premières années"
Un livre publié par l’ASC

Livres et revues

En honneur de son 100e anniversaire, l’ASC a publié Our First 100 Years (Nos 100 premières années), un ouvrage de 154 pages où figurent en bonne place des douzaines de photos d’archive de qualité aux côtés des histoires personnelles de soixante-dix-sept membres de l’association.

Cinq des premiers films d’Alfred Hitchcock sur Arte.TV
Par Marc Salomon, membre consultant de l’AFC

Lire, voir, entendre

Le site Internet de la chaîne Arte propose de voir ou revoir jusqu’au 17 ou 21 mars 2019, cinq des premiers films anglais d’Alfred Hitchcock, qui n’était pas encore le "maître du suspense". Ces films - dont deux muets - ont en commun d’avoir tous été photographiés par Jack Cox, un des grands pionniers de la cinématographie britannique, un peu trop oublié aujourd’hui. Il s’agit de The Ring (1927), de L’Homme de l’île de Man (The Manxman, 1929), de Chantage (Blackmail, 1929), de Meurtre (Murder, 1930) et d’À l’Est de Shanghaï (Rich and Strange, 1931).

"Portrait of a serial killer", by François Reumont for the AFC Cinematographer Manuel Alberto Claro, DFF, discusses Lars Von Trier’s “The House That Jack Built”

Les entretiens au Festival de Cannes

In 2018, amidst a new and youthful selection of directors, one of Cannes’ seasoned filmmakers is back after been "persona non grata" at the Festival since 2011 as a result of his statements regarding Hitler during the press conference for Melancholia. Lars von Trier is definitely not a neo-Nazi, but his sin was to have made a particularly ill-advised attempt at Scandinavian humour. The House That Jack Built portrays a serial killer played by Mat Dillon, starring alongside Bruno Ganz and Uma Thurman. This is cinematographer Manuel Alberto Claro’s, DFF, third film in a row with the Copenhagener director. (FR)

"Portrait d’un tueur en série", par François Reumont pour l’AFC Le directeur de la photographie Manuel Alberto Claro, DFF, parle de "The House That Jack Built", de Lars von Trier

Les entretiens au Festival de Cannes

Au milieu d’une sélection assez neuve et rajeunie, 2018 marque aussi le retour d’un des grands cinéastes cannois, déclaré persona non grata du Festival depuis 2011 pour ses propos sur Hitler lors de la conférence de presse de Melancholia. Certes, Lars Von Trier n’est pas un authentique néo-nazi mais il semble avoir pêché par une tentative d’humour scandinave très mal négociée. The House That Jack Built offre le portrait d’un tueur en série interprété par Mat Dillon, aux côtés de Bruno Ganz et Uma Thurman. Manuel Alberto Claro, DFF, signe les images de ce troisième film de suite avec le cinéaste de Copenhague. (FR)

Ces merveilleux collectionneurs fous dans leurs drôles de cabines
Ou la vie résumée de six mordus de pellicule embobinée

Revue de presse

La période estivale est généralement propice à la publication d’articles de presse qui, en se succédant, permettent au lecteur à la fois de s’instruire et de se divertir, ou vice-versa. Le Monde, dans ses feuillets intitulés "L’été en sériés", a tracé cet été, sous la plume de Samuel Blumenfeld, six portraits de collectionneurs de films : Nicolas Winding Refn, Serge Bromberg, Joe Dante, Jack Stevenson, Kevin Brownlow et Quentin Tarantino.