Julien Le May

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Articles (30)

Julien Poupard : talent, disponibilité et inventivité
Par Pierre-William Glenn, AFC

Nouveaux venus à l’AFC

J’ai eu le plaisir de suivre l’évolution de Julien Poupard pendant ses quatre années d’étude à La fémis où il s’est montré l’un des élèves les plus brillants du département de prise de vues. Son film de fin d’études, qu’il avait écrit et réalisé, était un petit chef d’œuvre d’ingéniosité dans son traitement visuel d’une situation dramatique très originale.

Articles (30)

Le directeur de la photographie Julien Poupard, AFC, parle de son travail sur "Divines", de Houda Benyamina

Les entretiens au Festival de Cannes

Dès sa sortie de La fémis, en 2006, Julien Poupard éclaire de nombreux courts métrages puis se fait remarquer pour son travail sur Party Girl, Caméra d’or à Cannes en 2014. Collaborateur fidèle de premiers films et de jeunes réalisateurs – par exemple Terre battue, de Stéphane Demoustier, ou Les Ogres, de Léa Fehner –, il récidive avec Divines, premier long métrage de Houda Benyamina en sélection à la Quinzaine des réalisateurs. (BB)

Le directeur de la photographie Julien Hirsch, AFC, parle de son travail sur "Bird People", de Pascale Ferran
Fais comme l’oiseau

Les entretiens au Festival de Cannes

Julien Hirsch, AFC, retrouve cette année la cinéaste Pascale Ferran (avec laquelle il a obtenu le César de la Meilleure photo pour Lady Chatterley, en 2007). Après presque trois ans de fabrication, ils lèvent enfin le voile sur Bird People, un film étrange dont l’un des personnages principaux est un moineau...

Cinematographer Julien Poupard, AFC, discusses his work on Houda Benyamina’s film “Divines”

Les entretiens au Festival de Cannes

Upon graduating from La fémis in 2006 Julien Poupard designed the lighting on a number of short films and was noticed for his work on Party Girl, awarded a Golden Camera at Cannes in 2014. He is a faithful collaborator on first films and for young directors – for example 40-Love by Stéphane Demoustier, or Les Ogres, by Léa Fehner – now he is back with Divines, the first feature-length film by director Houda Benyamina, in selection at the Directors’ Fortnight.

Entretien avec le directeur de la photographie Julien Poupard, AFC, à propos d’"En Liberté !", de Pierre Salvadori

Les entretiens au Festival de Cannes

Julien Poupard, AFC, éclaire de nombreux premiers films dont Party Girl, de Claire Burger, Marie Amachoukeli et Samuel Theis, Les Ogres, de Léa Fehner, Divines, de Houda Benyamina ou encore Compte tes blessures, de Morgan Simon. Puis il rencontre un réalisateur confirmé, Pierre Salvadori, et va signer l’image de son dernier film, En Liberté !, sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs. (BB)

Interview with Julien Poupard, AFC, about “Langue étrangère”, by Claire Burger
"European friend", by François Reumont

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Selected for Berlinale 2024, Claire Burger’s Langue étrangère (Foreign Language) crosses paths between France and Germany through a first adolescent love story. Julien Poupard, AFC, reunites with the director (with whom he has already shot several films) to bring this story of sensual, amorous and political awakening to life between Leipzig and Strasbourg. The film is in official competition for the 74th Golden Bear. (FR)

Julien Poupard, AFC, les fées et les fous
Par Ariane Damain Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz

Chaque été, dans la maison près de Paris que son grand-père partageait avec sa famille, Julien Poupard, AFC, tournait un petit film avec des copains, comme lui passionnés de cinéma. Son père, producteur de films institutionnels, voyait d’un très bon œil cet engouement et mettait avec joie à disposition de son fils, outre son matériel, ses encouragements et ses conseils. L’été, le moment de l’année où il se sentait vraiment heureux, à sa place.

Julien Poupard, AFC, parle de son travail à l’image sur "Les Amandiers", de Valeria Bruni Tedeschi

Les entretiens au Festival de Cannes

Le film se passe dans les années 1980 et raconte l’histoire de Valeria lorsqu’elle était à l’école du Théâtre des Amandiers mais avec des acteurs d’aujourd’hui. Je voulais que l’on ressente ça aussi à l’image. Le souvenir des images est plus important que l’image elle-même. Quand on voit le film, on doit sentir les années 1980 et les années 2020. Car le film est une rencontre entre le passé et le présent.

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